5 croyances qui nuisent à notre bonheur maternel
Nous sommes nombreuses à avoir des croyances qui nuisent à notre bonheur maternel et ce, sans toujours en être conscientes. Et si de les identifier nous permettait d’alléger notre vie de maman?
Nous sommes nombreuses à avoir des croyances qui nuisent à notre bonheur maternel et ce, sans toujours en être conscientes. Et si de les identifier nous permettait d’alléger notre vie de maman?
Ici, nous avons une petite qui fréquente le CPE et qui a changé de groupe au début du mois de septembre. La transition s’est bien déroulée malgré un petit rhume qui a couru dans son groupe.
En plus du poids de leurs responsabilités quotidiennes, bien des mamans vivent avec des remords et des complexes qui pèsent lourd dans leur quotidien. Êtes-vous de ces mères qui se sentent toujours coupables?
Peu importe les raisons, certaines femmes doivent vivre avec la réalité qu’elles n’auront jamais d’enfant. Comme tout deuil, la route vers l’acceptation peut être longue et tumultueuse.
Y a-t-il trop de trucs qui alourdissent votre vie? Trop d’activités, de choses à ranger, de rendez-vous, de personnes qui comptent sur nous, d’obligations et surtout pas assez de temps?
Conjuguer maman avec femme est un projet réalisable et fort souhaitable. Être bien dans sa peau et se sentir belle... c'est une question d’attitude!
Gants de toilette, galette, queue de castor, ou ballons de basket et montgolfières : tant de surnoms humoristiques pour désigner notre poitrine d’après-grossesse. Parfois, avez-vous l’impression que votre poitrine d’avant s’est sauvée en courant?
S’épanouir pleinement en tant que maman, voilà un souhait que plusieurs d’entre nous partagent! Or pour y arriver, nous devons d’abord apprivoiser les obstacles à notre épanouissement maternel!
Nous avons toutes expérimenté cet écart entre ce que nous sommes et qui nous voudrions être. Est-ce possible de réconcilier les deux, en valorisant chaque aspect? Bien sûr!
Il faut apprendre le lâcher-prise et se rendre compte que ce qui nous guette, c’est l’épuisement et même la dépression. Futures mères et mamans, réagissez!
C’est agréable de vivre la maternité avec sa meilleure amie. Ce l’est moins quand elle compare le développement, les traits et l’attitude de nos bébés. Pourquoi est-ce qu’elle fait ça?
Qui sont ces autres en fait? Réaliser qu'en parlant toujours "des autres" cela renvoie à un concept flou et anxiogène. Pas de balises, pas de contrôle, pas de capacité à se positionner.
Tous les enfants naissent avec le besoin primordial d’établir un lien stable et sécurisant avec une figure maternelle ou paternelle. C’est ce qu’on appelle « l’attachement ».
Parce que la vie n’est pas toujours rose et qu’on ne devient pas insensible en devenant maman (au contraire!), il peut nous arriver de verser des larmes… devant les enfants. Est-ce bien grave?
Votre premier Noël après la séparation sera certes le plus difficile. Voici les petits gestes simples que vous pouvez poser pour adoucir ce moment de l’année et y trouver un peu de plaisir et de sens malgré tout.
Pour certaines personnes, cette période de l’année s’accompagne d’une augmentation marquée du stress, lequel peut se transformer facilement en dépression.
Votre bébé vous comble et vous n’imaginez plus la vie sans lui. L’idée d’agrandir la famille se fait sentir, mais vous angoissez : et si j’aimais moins mon 2e enfant?
Devant la maladie, beaucoup de gens fuient. Lorsque le mot «mentale» s’y juxtapose, c’est encore pire. Pour démystifier la maladie mentale, il faut oser l’exposer. Rencontre avec Véronique Bannon, une femme forte et lumineuse.
L’envie de connaître le bonheur maternel nous inspire à avoir un enfant et les promesses de ce bonheur sont si grandioses. Être maman nous permettra d’expérimenter l’amour inconditionnel.
Plutôt que de rager sur leurs différences, de leur reprocher leurs façons d’être et de faire, souvent à l’opposée de celles des nôtres, que diriez-vous de vous inspirer de leurs qualités?
« Se laisser emporter par une multitude de problèmes conflictuels, répondre à trop de sollicitations, s’engager dans trop de projets, vouloir aider tout le monde en toute chose, c’est succomber à la violence de notre époque. »