
3 consignes pour mieux vivre avec son ado
Peut-être que le bonheur de vivre et côtoyer nos ados ne dépend pas de quelque chose que nous devrions faire davantage, mais bien de quelques petites choses que nous devrions cesser de faire.
Peut-être que le bonheur de vivre et côtoyer nos ados ne dépend pas de quelque chose que nous devrions faire davantage, mais bien de quelques petites choses que nous devrions cesser de faire.
Enfant, je tournais les pages du catalogue Sears, avec une frénésie peu commune. Tous ces jouets, je devais les posséder! D’une année à l’autre, je les réclamais avec ferveur, dans une longue lettre (pleine de supplications) adressée au père Noël.
Les mois se succèdent à la cadence des dettes qui s’accumulent. Savoir qu’on est incapable de régler les factures, pas parce qu’on ne sait pas compter, mais parce que la vie nous a joué un sale tour, c’est l’enfer.
Je ne voulais pas, moi, plonger dans l’aventure des lutins coquins. Je me refusais à embarquer dans ce piège-marketing, comme on tombe dans une boîte à biscuits, juste pour mettre un petit sucré dans l’amertume de la journée. J’étais contre. Et pourtant.
Pour nous, adultes, l’heure du repas est un vrai bonheur, un rassemblement quotidien. La table, ce n’est pas que manger : c’est tout un code culturel, chargé de bonnes manières et signaux induits.
À quelques semaines du temps des Fêtes, vous vous demandez comment vous pourrez tout payer sans faire gonfler votre carte de crédit? Voici des trucs pour vous aider à dégager une marge de manœuvre dans votre budget à temps pour Noël!
Que ce soit notre emploi, nos enfants, notre conjoint ou même le trafic, plusieurs aspects de la vie testent notre patience. On se sent tous, un jour ou l’autre sur le point d’exploser.
Comme on aime l’automne! Les feuilles qui changent de couleurs, les nuits qui rafraîchissent et… l’Halloween! Irrésistible, cette fête, adorée des enfants, est aussi l’occasion de découvrir quelques livres qui sauront vous faire frissonner.
Dans les deux précédents billets, je vous invitais à reconsidérer le modèle d’éducation qui est standardisé selon une norme établie. Dès qu’un jeune n’entre pas dans cette normalité éducative et qu’il éprouve des difficultés d’apprentissage, nous sommes rapidement enclins à lui poser un diagnostic de trouble d’apprentissage ou neurologique.
L’autisme se résume souvent aux défis sociaux et communicatifs. Cependant, l’autisme est beaucoup plus profond et complexe. Nous ne voyons que la fine pointe de l’iceberg.
Aujourd'hui, je n'ai pas tant envie de faire un article qui parle d'à quel âge on devrait introduire la nourriture chez le bébé ou de quelle est la meilleure méthode pour ça...
« Lorsque votre enfant a fait une erreur, il également besoin d'être entendu sans être jugé, afin de pouvoir prendre lui-même ses responsabilités... » C'est Agnès Dutheil qui s'exprime ainsi dans son livre La psychologie positive avec les enfants.