
L’hypersensibilité perceptive des autistes
La majorité des gens croient que l’hypersensibilité des autistes est liée à un système d’intégration sensorielle défaillant et que ces derniers doivent être stimulés pour éveiller leurs sens.
La majorité des gens croient que l’hypersensibilité des autistes est liée à un système d’intégration sensorielle défaillant et que ces derniers doivent être stimulés pour éveiller leurs sens.
Saviez-vous que les coaches de basketball de son école secondaire n’ont pas voulu de Michael Jordan dans l’équipe?
Avec des jeunes enfants, c’est parfois périlleux de faire l’épicerie, je ne vous apprends rien. Pour y remédier, seriez-vous prêts à passer à l’épicerie en ligne?
Pour la majorité des gens, lorsqu’un autiste parle et s’exprime, c’est signe que tout va relativement bien et que la personne a très peu de défis.
Que ce soit pendant la préparation du souper, en pliant une brassé de vêtements ou en répondant à un dernier courriel entre la vaisselle et l’heure du bain, cette phrase est inévitable et surtout…culpabilisante.
La relâche est un moment vraiment plaisant pour décrocher avec nos enfants, si on le peut. Au contraire des vacances de Noël où l’on court les fêtes et les visites chez la parenté, la relâche, comme son nom le dit bien, est synonyme de relaxation, de plaisir et de moments en famille.
En fait ils sont qui ces autres ? J'ai réalisé qu'en parlant toujours « des autres » j'étais renvoyée à un concept flou et anxiogène.
Les enfants dont l’intelligence est atypique (autistes, TDAH, DYS, HP) sont hypersensibles. Ils ont un grand besoin de sécurité. Un besoin mal compris surtout chez les garçons.
La société, les réseaux sociaux nous bombardent de cette image mentale de la mère en extase, à l'extérieur de son corps qui vit une expérience paisible qui coule de source.
Avez-vous déjà pensé au parent que vous seriez sans la fatigue, la culpabilité ou les attentes blessées?
On aime ça, nous les humains, les petites boîtes. On y range nos idées et nos perceptions, par catégorie. On y enferme même nos congénères. Et nos enfants, malheureusement.
« J’ai d’la misère au calvaire ». Toi qui lis ces lignes, tu dois commencer à le savoir : je n’aime pas ça « top » les transitions.