
Les petits coups de pieds
La première chose qui nous manque quand on a un enfant, ce sont les petits coups complices qu’on était seule à recevoir pendant toute la fin de la grossesse. Quand on a d’autres enfants et qu’on sait que l’accouchement approche, on n’a pas hâte que ces petits soubresauts arrêtent et on les savoure le plus possible.

La fin de l’allaitement
Quand on a beaucoup aimé allaiter, on en redoute la fin. On sait que le contact privilégié en duo avec bébé tire à sa fin et on ne voudrait jamais que ça s’arrête. Quand on sait que c’est notre dernier enfant, c’est encore pire!

Les fous rires de bébé
Il n’y a rien de plus extraordinaire qu’un bébé qui rit aux éclats parce qu’il a vu ou entendu quelque chose qu’il trouvait drôle. C’est si spontané et sincère qu’on voudrait l’écouter encore et encore. On essaie de répéter l’expérience, de filmer au bon moment et on espère qu’il rira comme ça encore souvent, même quand il sera grand.

L’époque du porte-bébé
Tant qu’on peut transporter notre enfant dans un porte-bébé ou une écharpe, il est tout serré contre nous et on a encore l’impression de ne faire qu’un. Quand il apprend à marcher et qu’il veut tout découvrir ou qu’il devient trop lourd, c’est fini, alors on en profite pendant que ça passe…

Les petits pas
Les petits pas d’un enfant tout fier de marcher et qui a toujours l’air de gérer une chute contrôlée sont aussi vraiment mignons. C’est vrai qu’ils sont bien plus en sécurité une fois que cette période est passée, mais on aime tant les voir faire de petits progrès! Et que dire du bruit de leurs pieds nus courant sur le plancher? Ça ne dure vraiment pas assez longtemps!

Les mots mignons
Bien sûr, on a hâte que notre enfant apprenne à s’exprimer clairement et on apprécie chaque nouvelle pensée que notre enfant réussit à extérioriser, mais on espère quand même que les petits mots mignons comme « apoille » pour « j’ai peur » et « Patosse » pour « Marie-Claude » continueront de nous faire sourire encore longtemps.

Qu’il s’endorme dans nos bras…
Se bercer en regardant son enfant s’endormir lentement dans nos bras ne dure pas toujours, mais chaque fois que ça nous arrive, on voudrait rester là, à se bercer ensemble pendant des heures.

Les câlins spontanés
Il vient toujours un temps dans la vie d’un enfant où les câlins sont moins spontanés, moins fréquents. Quand on remarque une diminution dans la fréquence, on profite à fond de chaque câlin qui passe, en espérant que ça durera encore longtemps. On apprécie aussi les petits pas du matin quand notre enfant vient nous rejoindre pour nous réveiller. Heureusement, il existe aussi des enfants affectueux qui le demeurent même à l’adolescence.

La lecture du soir
Lire des histoires à son enfant pour l’endormir est un beau rituel qu’on voudrait voir durer toujours. Malheureusement, on se sent un peu exclue quand il apprend à lire et qu’on n’a plus besoin de le faire. Au moins, on peut se reprendre en famille avec des livres de l’avent à lire quotidiennement avant Noël.

L'accompagner le matin à l’autobus, à l’école…
Un jour, notre enfant n’a plus besoin de nous pour le reconduire à l’école ou l’accompagner jusqu’à l’autobus; comme il a grandi, il réclame qu’on le laisse y aller tout seul. On profite donc des derniers jours où sa sécurité nous donne une excuse pour passer un peu de temps ensemble avant d’aller travailler.