Chloé Finiels, s’est tournée vers l’accompagnement émotionnel et relationnel en 2011. Ayant un profil neuro-atypique et étant hypersensible, elle s’est intéressée à offrir des ressources alternatives. Elle a fait un parcours académique universitaire et est diplômée depuis 2006 en psychologie clinique. Elle a étudié en biologie, psychologie et embryologie. Elle s’est faite connaître via les réseaux sociaux grâce à ses billets et chroniques sur les éducations alternatives, la normalisation des difficultés parentales, mais surtout sa vision très moderne de la parentalité : comprendre en profondeur nos émotions, ce qui les réactivent, nos déclencheurs et comment accepter nos fluctuations émotionnelles. Elle est chroniqueuse pour plusieurs médias, superviseure dans l’accompagnement relationnel et émotionnel et formatrice pour les familles et professionnels qui souhaitent comprendre la famille neuro-atypique, la parentalité créative. Elle est passionnée et se forme en continu dans divers domaines : la périnatalité, les éducations alternatives, les neuro-sciences, le deuil périnatal, la communication efficace, la neuro-psychologie, la neuro-biologie, la psychothérapie d'engagement et d'acceptation, l’endocrinologie.
La société, les réseaux sociaux nous bombardent de cette image mentale de la mère en extase, à l'extérieur de son corps qui vit une expérience paisible qui coule de source.
Est-ce que je vais rendre mon enfant dépendant si je le prends dans mes bras? Voilà la question que j’ai reçue d’une lectrice. Son bébé d’un an traverse une phase très « maman » ; elle se demande comment gérer la situation.
Vivre avec un enfant malade représente un défi de taille. Cela impose un rythme hors-norme à la famille puisque cela implique des émotions hors-normes qui incluent de l'inquiétude, de la culpabilité et une vie différente qui est à apprivoiser.
Aux Fêtes, nos enfants sont exposés à la consommation, aux jouets et à l’euphorie des magasins. Nos cerveaux ne sont pas faits pour être autant stimulés; dans la nature, les couleurs, les stimuli et le rythme ne sont pas aussi denses et instantanés.
On l’entend sans cesse ce terme, baby blues, et pourtant il est si mal connu du grand public et même des professionnels de la santé. On l’utilise sans bien le comprendre alors que, pourtant, jusqu’à 80 % des femmes en connaissent un épisode plus ou moins difficile.
Les cadeaux, le temps en famille, le père Noël, sont des facteurs de motivation pour les enfants, c’est alors que les parents utilisent cette voie facile du chantage pour obtenir la collaboration sans négociation de leurs enfants. Qu’en est-il des conséquences liées à cette habitude?
Pour nous, adultes, l’heure du repas est un vrai bonheur, un rassemblement quotidien. La table, ce n’est pas que manger : c’est tout un code culturel, chargé de bonnes manières et signaux induits.
On dit, on lit, on s’informe sur l’allaitement, et le verdict est sans appel: c’est le mieux pour maman et son bébé. Les études sont probantes, mais quand il s’agit d’accompagnement, il n’y a plus personne pour aider les statistiques. Quand l’allaitement va mal, le sujet est tabou.
La rentrée scolaire est une période d’adaptation. Il est normal de rencontrer des défis qui nous sortent de notre zone de confort. Avec un peu de recul, il est possible d’agir différemment pour retrouver l’équilibre et l’apaisement.
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