Il faut planifier les repas et les déplacements pour que toute la petite famille soit bien organisée dès les premiers jours d’école.
Évidemment, quand il s’agit d’une toute première rentrée scolaire, l’événement est encore plus important. On veut que notre enfant se fasse des amis rapidement, qu’il aime son enseignant, mais surtout qu’il aime aller à l’école, tout simplement.
Quand on pense à tout organiser pour la rentrée, on peut parfois oublier que l’avenir de notre enfant se prépare aussi à plus long terme. Pourtant, plus on économise tôt pour financer les études post-secondaires, plus on donne des chances à notre enfant de réaliser ses rêves.
Le régime enregistré d’épargne-études : un choix payant
Saviez-vous que les gouvernements fédéral et provincial accordent de généreuses subventions à l’épargne-études? En effet, grâce à la Subvention canadienne pour l’épargne-études et l’Incitatif québécois à l’épargne-études, les sommes versées dans un REEE sont automatiquement bonifiées de 30 %[1]. C’est notamment pour cette raison qu’il est souvent conseillé, pour les familles, de prioriser ce véhicule d’épargne dès la naissance de l’enfant. Pour une famille québécoise dont les revenus sont modestes, l’apport gouvernemental à un REEE peut atteindre 12 800 $[2] par enfant.
Mieux vaut tard que jamais
Heureusement, si votre enfant a atteint l’âge de la rentrée scolaire et que vous n’avez pas encore souscrit à un REEE, tout n’est pas perdu. Il est en effet possible de rattraper le temps passé en effectuant des versements plus importants. Ce qu’il faut retenir, c’est que les subventions sont versées annuellement, il est donc essentiel de cotiser chaque année pour tirer le maximum des bonifications que les gouvernements vous offrent pour financer les études postsecondaires de vos enfants.
Lentement, mais sûrement
Les périodes de l’année où les dépenses augmentent sont nombreuses. Vacances, temps des fêtes, rentrée, achat d’une voiture, toutes les raisons sont bonnes pour remettre à plus tard les projets d’épargne. En choisissant de cotiser régulièrement dans un REEE, on évite aussi de se laisser distraire par les petits aléas du quotidien. En quelques années, on accumule des sommes intéressantes et il est toujours possible de faire des versements forfaitaires ou d’ajuster le niveau des versements quand votre situation financière change.
La rentrée, c’est un nouveau départ, le début d’une nouvelle aventure. C’est aussi le moment parfait pour réfléchir à l’avenir de nos enfants et pour commencer à le préparer, dès maintenant.
Publication initiale août 2016
[1] Sur les premiers 2 500 $ annuellement seulement. Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE) de 20% à 40%. Selon le revenu net familial rajusté. Incitatif québécois à l’épargne-études (IQEE) de 10% à 20%. Selon le revenu net familial rajusté. Certaines conditions s’appliquent. Consultez notre prospectus.
[2] Subvention canadienne pour l’épargne-études (SCEE) de 20% à 40% et Incitatif québécois à l’épargne-études (IQEE) de 10% à 20%. Selon le revenu net familial rajusté. Le montant maximum annuel versé en SCEE est de 600$ et de 300$ en IQEE. Le montant maximum versé à vie par bénéficiaire est de 7200$ en SCEE et de 3600$ en IQEE. BEC : Bon d’études canadien, pouvant atteindre 2000$ par bénéficiaire, pour un enfant né après le 31 décembre 2003 et dont la famille est financièrement admissible. Certaines conditions s’appliquent. Consultez notre prospectus.