Rédactrice web, stratège, gestionnaire de communauté, artiste et mère de trois garçons, elle déteste les étiquettes. Ses enfants le confirment ; Annie est une attachante maman zarb (ce qui veut dire bizarre en verlan) qui déborde d’imagination et qui adore se mettre en déséquilibre. Toujours un peu dans la marge, elle habite l’autoroute 15 à cheval entre la rive nord et Montréal. Ses billets sont souvent le fruit de ses longues heures à jouer dans le trafic. Confrontée au TDAH, elle s’est intéressée au sujet et tient un blogue sur le sujet. Si non, vous pouvez la suivre sur sa page Facebook.
Le 21 janvier, c’est la Journée internationale des câlins et plus que jamais on en a tous besoin! C’est le moment parfait pour devenir un peu gaga et se raconter tous ces petits riens qui nous explosent le cœur et nous poussent à étreindre nos enfants, peu importe leur âge!
On aime ça, nous les humains, les petites boîtes. On y range nos idées et nos perceptions, par catégorie. On y enferme même nos congénères. Et nos enfants, malheureusement.
Certains parents passent leur vendredi soir aux urgences. C’est comme ça. C’est de la faute à personne, sauf aux mains du petit dernier. Elles étaient occupées à tenir une peluche lorsqu’il a chuté…
Enfant, je tournais les pages du catalogue Sears, avec une frénésie peu commune. Tous ces jouets, je devais les posséder! D’une année à l’autre, je les réclamais avec ferveur, dans une longue lettre (pleine de supplications) adressée au père Noël.
Les mois se succèdent à la cadence des dettes qui s’accumulent. Savoir qu’on est incapable de régler les factures, pas parce qu’on ne sait pas compter, mais parce que la vie nous a joué un sale tour, c’est l’enfer.
Je ne voulais pas, moi, plonger dans l’aventure des lutins coquins. Je me refusais à embarquer dans ce piège-marketing, comme on tombe dans une boîte à biscuits, juste pour mettre un petit sucré dans l’amertume de la journée. J’étais contre. Et pourtant.
Personne ne peut savoir. Personne. Ça vous tord les tripes. Souvent, vous vous sentez aspirée. Clouée au plancher. Vous l’aimez, ça oui! Plus que tout et plus que vous. Mais vous n’en pouvez plus.
Toutes les familles sont gratifiées d’une (très) désagréable tante Albertine. Parfois, elle s’appelle Ginette, Julie ou Sonia, mais sur le fond, ça ne change rien. Acerbes au plus haut point, ses mots et ses remarques laissent des traces.
Rédactrice, impliquée dans ma communauté, peintre et maman de trois garçons, je fais le saut en politique municipale. Mais parmi toutes mes compétences et mes expériences de vie, c’est ma maternité qui fait souvent (trop) jaser. Pourquoi?
L’éducation : un tout petit mot, pas trop complexe et qui, pourtant, est le pilier d’une société en santé. C’est la clé de voûte des adultes autonomes, indépendants et capable de jouir le de leur libre arbitre.
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