Tous les ans, c’est le même rituel. À la fin du mois de septembre, chacun dessine le costume dont il rêve. Les semaines suivantes, on court les friperies et les magasins de tissus pour que prennent vie les monstres, vampires et autres personnages imaginés de toutes pièces.
À la lueur d'une (fausse) bougie
Bien entendu, les déguisements rêvés sont toujours sombres, longs, vaporeux et ensanglantés. À mon grand désespoir, l’époque où l’on se costumait en Pac-Man est révolue; le jaune fluorescent n’a plus trop la cote. En ce moment, la tendance est aux zombies, à tout ce qui est glauque, vampirique ou cadavérique. Bref, à tout ce qui est très peu voyant. Pour la mère que je suis, c’est là que commence l’angoisse. Je dois m’assurer que mon vampire, mon pirate-de-la-mort et mon zombie-police seront visibles lorsqu’ils déambuleront dans le quartier, à la tombée de la nuit.
Pour ne pas gâcher le plaisir qu’ils éprouvent à être terrifiants, je dois user d’imagination pour les rendre (très) visibles, tout en les laissant du côté obscur de la fête. Je ne peux donc pas les affubler de dossards et de lumières clignotantes comme je le souhaiterais. Heureusement, j’ai plus d’un tour dans mon sac (rires d’Halloween). En plus des traditionnels paniers à bonbons phosphorescents, des lampes de poche et des rubans réflecteurs collés partout sur mes trois gamins, mon vampire se promènera dans les rues « armé » d’une bougie!
Oui, oui, vous avez bien lu : Une chandelle. Pas une vraie, une fausse qui fonctionne avec des batteries Duracell et qui dure très, très, très, longtemps. C’est probablement le bidule le plus chouette que j’ai découvert dans la dernière année. L’extérieur est en cire, ça sent la bougie et ça éclaire comme le ferait une petite flamme vacillante. L’illusion est parfaite. Le vampire de mon cœur pourra donc se balader, baigné par la douce lumière de sa chandelle à pile Duracell. Ambiance et sécurité incluses.
Une fois la question des costumes réglée, Il faut décorer notre chaumière. Là, tout le monde participe. Notre plus grand plaisir : sculpter des citrouilles effroyables et échafauder de sinistres mises en scène. Et devinez ce que j’utilise pour rendre l’œuvre encore plus horrible? Exactement! Les bougies à piles Duracell! De cette manière, l’ambiance est assurée et les risques d’incendie nuls. On ne voudrait surtout pas que la soirée de l’Halloween se termine en buchée catastrophique…
Une semaine avant l’heure, on fait une générale, question d’être fin prêts pour le jour H. On enfile nos costumes, on teste nos maquillages et on s’assure que les lampes de poches et les chandelles sont munies de batteries qui fonctionnent. Je saute sur l’occasion pour passer tous mes messages de sécurité aux enfants, tel un vieux disque qui répète année après année les mêmes consignes. J’avoue, sans mentir, que je suis aussi dingue de l’Halloween que mes enfants peuvent l’être. La mise en place de cette générale, c’est un peu pour nous préparer et beaucoup pour nous permettre de fêter l’Halloween deux fois… plutôt qu’une.
Pour une soirée sans pépins, voici les conseils de l’Association canadienne des chefs pompiers en prévision du 31 octobre au soir.
Conseils de sécurité
- Utilisez une lampe de poche ou une chandelle à piles dans vos citrouilles.
- Évitez les surtensions et optez pour une alimentation à piles
- En ce qui concerne les costumes, optez pour les couleurs vives et/ou ajoutez des rubans réfléchissants
- Lors de la tournée, ayez tous une lampe de poche en main
- Passez l’Halloween en groupe
- Limitez la tournée aux quartiers connus et sécuritaires
- Inspectez la récolte de vos enfants
Le 31 octobre au soir, lorsque les enfants et moi cognerons aux portes pour récolter bonbons et sourires, je m’assurerai de mettre en pratique tous ces conseils de sécurité. J’utiliserai aussi des piles Coppertop dans nos lampes de poche car je sais qu’elles procurent une puissance fiable et longue durée qui nous permettra de renter à la maison en toute quiétude.
*Cette publication comporte une divulgation de commanditaire Duracell.