91 Nouvelles mamans de Novembre 2009 - 92 bébés!!!

Apple : Je viens juste de lire ton message et la première chose qui me vient en tête c'est "ton département RH, c'est n'importe quoi". Comment justifient-ils qu'ils "ne peuvent rien faire" quand c'est justement ça leur travail? Je ne connais pas la situation que tu vis, mais la job des RH, c'est aussi de la gestion de conflits et de situations délicates!

De t'offrir une job de 3 jours, c'est prendre le bord des fautifs dans le département qui est problématique! C'est comme toi qui devient "punie" parce que les RH choisissent l'inaction.

Personnellement, je leur ferais une "contre-offre" en spécifiant que je ne peux pas subir préjudice de fait de leur inaction.

Genre travailler 3 payer 4. Un plan de redressement avec lequel tu acceptes de travailler 3 jours semaine pendant le plan, 4 ou 5 jours pour la suite.

Dans ce genre de contexte, tu affirmes ta bonne foi et tu demandes aux autres (incluant les RH!) comment s'expriment concrètement la leur. T'arrête de parler, et t'attend la réponse. Et si t'as pas réponse, tu reposes la même question. 15 fois.

Je ne sais pas ce que tu peux faire dans ton contexte mais, tu es en position de force, pas de faiblesse.

Ok, paraît que je suis un peu hardcore des fois.

Ceci étant dit, si d'accepter le 3 jours est ta seule issue, et que tu est en mesure de le faire, fais-le! Une maman heureuse pour un tipou c'est important. Tu ne peux pas être malheureuse 8 heures par jour et penser être disposée pour ta famille par la suite. Et encore moins pour une grossesse...

Bonne réflexion!

 

Allo!
Tout d'abord, un GROS MERCI à Azurdemai, Sarahmay et Luciole d'être venue donner votre commentaire à propos de mon dernier message. C'est vraiment très apprécié, vous avez pas idée! Mon chum et moi, on n'a pas encore pris de décision. En fait, les RH ne m'ont pas encore donné de délai (j'vais le savoir demain). En fait, peut-être qu'il est déjà trop tard pour prendre une décision. Mais si on a une date, on va y réfléchir. Je sais que ma santé prime. Même si je ne faisais pas de dépression avant de tomber enceinte, ça ne faisait aucun doute, j'étais incapable de me retrouver dans cet endroit de travail. Je me sentais bien que dans l'autre département. J'ai dû aller chez le médecin pour pouvoir me sortir de là, y'avait pas d'autres solutions. Si on m'offrait 4 jours/semaine dans le département où je suis bien, probablement que je n'hésiterais pas...mais 3 jours...ça commence à être moins évident. Je sais plus...
Je vais revenir vous donner des nouvelles à ce propos.

Sur un autre sujet, mon allaitement est pas mal terminé. J'avais coupé le boire du matin, et on n'avait pas vu de différence. Mais j'avais continué celui du soir, que je vais couper aussi. De toute façon, il ne sort plus grand chose maintenant. Je me demandais maintenant si je devais offrir quelque chose à boire à Étienne avant son dodo? Il n'a jamais bu au biberon, et boit peu de lait 3,25% et il l'a toujours bu froid, lors du repas. Celles qui ont allaité, vous donnez quoi?

J'espère que vous passerai toutes un beau temps des fêtes! 

Bon matin!

Je passe pour Apple...
Je te comprends tellement! Et je pense exactement comme Azurdemai! Tsé, je travaille dans le domaine de la santé mentale donc je connais! Puis si tu étais déjà en congé de maladie avant même de tomber enceinte, si tu veux un 2e enfant, ben tu as besoin d'avoir une bonne santé mentale!

Moi j'accepterais le 3jrs/semaine! Ok oui c'est des sous de moins lorsqu'arrivera le retrait/RQAP, mais au moins tu seras plus en forme! Et tomber enceinte, ben malheureusement ça peut être très long, comme ça peut aller vite! Tu as besoin d'être forte pour Étienne, pour toi, pour ton conjoint... C'est pas facile je le comprends, car moi aussi je vis ça depuis mon retour de travail - l'atmosphère du bureau était assez dégueux avant mon départ et honnêtement, ça n'a pas changé du tout! Je me sens hyper seule dans mon environnement de travail, j'ai l'impression de ne pas exister... et c'est pas facile! Je suis à fleur de peau depuis 3 mois, j'ai pas beaucoup de patience... etc.. etc.. j'essaye de garder le moral et je me dis qu'un jour je trouverai un nouveau travail. Mais si j'avais la possibilité de faire du 3jrs/semaine mon dieu que je le ferais!

Tiens bon ma belle et comme on dit, ce qui est le plus important c'est TA santé à toi!

Bonne journée!
SArahmay 

Salut!
Ahhhhh, faut que je parle et je sais pas où, alors je suis venue ici. Mais c'est pas à propos d'Étienne. Je sais, c'est un post de maman...mais bon j'me lâche, faut que je parle.

J'vous avais dit que je travaillais à temps partiel avec des gens super et l'autre partie du temps, avec des gens pas super. Tellement pas super, que même pendant mon congé de maladie (avant d'être enceinte) et pendant mon retrait préventif et mon congé de maternité, les gens qu'ils ont engagé pour me remplacer, ont pas toffé. Et bien, j'ai rencontré ce matin, les gens des ressources humaines et mon boss, question de tâter le pouls avant mon entrée en janvier. Ouff, ça pas été facile. J'ai pleuré. J'ai pas été capable de me retenir. Tsé, j'suis partie de mon travail dévastée, et après 2 ans, je dois y retourner et y'a rien qui a changé. Juste de me présenter là-bas, le coeur me vire à l'envers, et j'ai envie de pleurer. Faudrait que je change de job. Mais j'aimerais tomber enceinte....disons que le timing fitte pas pentoute. Et comme j'peux pas décider que c'est ce mois-ci que je tombe enceinte (ce qui m'arrangerait, je tomberais en retrait préventif!), ben je peux pas me fier là-dessus.

Les RH et mon boss savent qu'il y a un problème à cet endroit de travail, mais ils ne peuvent pas faire grand chose...ça doit faire au dessus de 25 ans qu'il y a un problème! Pendant ma rencontre, on m'a offert un horaire à temps partiel. Donc, ne travailler seulement que dans l'endroit où ça va bien avec mes collègues. Ce serait 3 jours/semaine. Ça me donnerait en $ plus que ce que je recevais pendant mon RQAP...mais crime, c'est pas super non plus. Mon chum me dit que je serais dans un meilleur "état mental" pour tomber enceinte et que tout le monde serait plus heureux...que je pourrais faire ça le temps que je me trouve une autre job ou que je tombe enceinte. Mais crime, si je tombe enceinte, je vais tomber en retrait préventif, à 90% de mon salaire qui sera à 3 jours par semaine...ça réduit encore les $$ qui entrent. Et pis après, j'imagine que mon RQAP sera calculé en fonction de mon salaire de 3 jours/semaine?! Ce qui réduit encore et encore les $$. Ça me chicotte... Je me dis que je serais plus heureuse comme cela, le temps de me rendre jusqu'à l'été (je suis au chômage temporaire à chaque été, j'ai une job dans un cégep, donc pas de cours l'été, donc encore moins de $$). Et je serais dans un meilleur état pour tomber enceinte...ou je me trouverais un autre travail...mais si je tombe enceinte, j'aurai moins de $$. Et pis, en même temps, j'ai comme "honte" de pas retourner travailler à temps plein...

Y'a pleins de questions dans ma tête. J'feel mottons. Soupir.
 

Salut les filles!
J'aurais un service a vous demander!!! Est-ce que vous pourriez aller voter pour mon homme!!!
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Merci beaucoup!
bonne journée!
Isabel_05 

J'avais écris un énorme message et le système a buggé et je n'ai plus de temps.... Je vais devoir revenir  

Que pensez-vous du rappel massif en france concernant les casse-tete-tapis de mousse ??? Retirez-vous les vôtres ?

 

apple: voici le taxte car il ne fonctionnait pas


Les gros chagrins du matin :'(

Les gros chagrins du matin


Le retour au travail des nouvelles mamans s'accompagne bien souvent de tristesse et de culpabilité.


À la pouponnière, Sophie enveloppe son petit Alexandre de ses bras maternels. Elle tente de consoler le bébé qui s'agrippe à elle en pleurant. Les mots rassurants ont de la difficulté à sortir de sa bouche. Les souvenirs du premier sourire, de l'odeur si douce de du poupon langé, de la chaleur du petit corps endormi, repu, lové dans le creux de son épaule rejaillissent et lui noue la gorge. Toute la journée, elle ressentira cette tristesse au travail. De nombreuses inquiétudes la poursuivent : Les éducatrices auront-elles le temps de bercer Alexandre ? Sauront-elles le langer avec des gestes doux en lui parlant amoureusement comme elle le fait ? Et si son chérubin ne s'adaptais pas ?


Pour de nombreux parents, le retour au travail suppose l'intégration de leur petit à la garderie. L'adaptation à ce nouveau milieu dépend de plusieurs facteurs.




Attachés pour mieux se séparer

Les recherches démontrent qu'il existe un lien entre la qualité de l'attachement à sa mère et la capacité du très jeune enfant à s'adapter aux relations avec d'autres adultes et d'autres enfants. Si la mère est chaleureuse, fiable, si elle sait répondre à ses besoins physiques et affectifs de façon stable et prévisible, l'enfant acquiert un sentiment de sécurité. Il devient confiant et convaincu que les adultes peuvent être bons pour lui.


La qualité des premières relations facilite donc l'intégration au milieu de garde. L'enfant attaché à ses parents réagit à la séparation du matin, mais cet attachement lui permet également de se détacher et d'élargir son univers social. L'éducatrice devient une nouvelle figure d'attachement. Le séjour à la garderie n'affaiblira pas la relation d'attachement primaire : le lien privilégié et unique entre la mère ou le père et l'enfant est indissoluble. Certains parents vivent la perte de l'exclusivité des liens avec leur enfant comme une perte d'amour. Or, son sourire et ses bras tendus vers son éducatrice sont des manifestations de son adaptation et ne doivent pas être interprétés comme un signe de l'appauvrissement des liens parents-enfant.




La relation enfant-éducatrice

L'adaptation harmonieuse de l'enfant dépend de la qualité de la relation éducative. La stabilité du personnel de garde est importante pour l'établissement d'un lien affectif. S'il peut prévoir comment on répondra à ses besoins, l'enfant se sent sécurisé : qui prends soins de moi ? Combien de temps devrais-je attendre ? L'éducatrice devient une personne significative si elle manifeste au jeune enfant de la chaleur et de la sensibilité. Cette sensibilité s'exprime par une approche lente douce accompagnée de paroles qui nomment ses intentions, qui décodent les émotions de l'enfant.




L'indispensable communication

La communication entre les parents et l'éducatrice est importante pour faciliter la transition entre le milieu familiale et le milieu de garde. Pour permettre à l'éducatrice de respecter le rythme biologique et les habitudes de l'enfant, les parents lui raconte qui il est, quels sont ses goûts, ses centres d'intérêts, ses peurs. Ils mentionnent également les moyens qu'ils ont découverts jour après jours pour l'endormir, le consoler, le rassurer ou l'amuser.


Bercement pour Alexandre, câlins pour Sophie, Chansons pour Julie, sucette pour Antoine, une éducatrice sensible reconnaît les besoins personnels des enfants. En multipliant les contacts avec elles, les parents apprennent à la connaître et sont rassurés quant à ses interventions. Ainsi s'établit entre eux une relation de confiance. L'enfant ressent ce climat et s'en imprègne.


Les changements de la vie quotidienne

Si l'intégration se fait progressivement, l'adaptation est plus facile. Comme la rupture est moins brutale, l'enfant a moins l'impression d'être abandonné et impuissant.


Il existe de réelles différences entre le fonctionnement du milieu familiale et celui du milieu de garde. Pour répondre aux besoins d'un groupe d'enfants, le temps de la garderie est structuré en périodes fixes. Si on veut éviter du stress à l'enfant, il est donc important de prévoir un entraînement au nouvel horaire avant même l'intégration proprement dite : Habillage, déjeuner, transport et surtout période d'accueil à la garderie.


Les rituels

Le rituel du départ des parents est un moment très important pour prévenir les crises de larmes. Les parents doivent respecter le même rituel tous les matins : gestes de tendresse, baisers et mots d'amour rassurants («Maman et papa s'en vont au travail. Bonne journée, mon trésor. Nous reviendrons te chercher après ton dodo. »). Ce rituel permet à l'enfant de prévoir les évènements et de savoir que ses parents reviendront le chercher. Les parents doivent présenter le déroulement de la journée : collation, jeu, dîner, sieste, jeu, retour à la maison. Certaines éducatrices illustrent ces périodes à l'aide de pictogrammes, ce qui permet à l'enfant de se situer dans le temps.




Une transition en douceur

La transition entre le milieu familiale et le milieu de garde se fera mieux si le temps passé à la garderie se prolonge graduellement. Par exemple, le premier jour, les parents prennent la collation avec l'enfant avant de le ramener à la maison. Le deuxième jour, ils peuvent le laisser pour la collation et la période de jeu, puis le ramener manger à la maison. Le troisième jour, L'enfants restera pour le repas du midi et la sieste Enfin, il pourra passer toute la journée à la garderie.


L'entrée en garderie signifie l'adaptation non seulement à un nouvel horaire mais aussi à un nouvel environnement. S'il s'agit d'un très jeune enfant, on lui fera visiter la pouponnière. On lui présentera la salle de repos, la table à langer, le coin repas, le coin jeu. Quant au petit trottiner il veut voir la salle de jeu, les toilettes, la cuisine, la cours extérieure ou toute aire de jeu accessible à son groupe.


Il est très important d'apporter un objet familier de la maison, un toutou, ou une couverture imprégné des odeurs maternelles. Cet objet transitionnel crée un pont sensoriel et affectif entre la maison et la garderie. L'enfant y aura accès en tout temps pour le rassurer.


De nouvelles têtes

Le changement le plus brutal se vit sur le plan des relations interpersonnelles. C'est pourquoi les parents doivent présenter l'éducatrice à l'enfant : «Tu vois Alexandre, c'est Julie. C'est ton éducatrice. Son travail, c'est de prendre soins de toi, de t'écouter, de t'aider à t'amuser. J'ai confiance en elle. Tu sera bien avec elle.» Le trottiner aimera également rencontrer la personne qui s'occupera des repas.


Chacun son rythme

Le temps d'adaptation varie d'un enfant à l'autre selon les conditions d'intégration et le tempérament. Certains enfants réagissent fortement aux changements; d'autres sont plus ouverts aux nouveautés.


Si l'enfant est bien adapté à la garderie, on le voit sourire, rire et explorer. Il s'intéresse aux activités proposées par l'éducatrice. Il est capable de se détendre et de s'endormir au moment de la sieste. La période d'adaptation du bébé peut aller jusqu'à quatre semaines. Certains enfants vivent d'abord une sorte de lune de miel, pendant laquelle la découverte de la nouveauté est enivrante. Ils explorent et semblent peu se soucier de l'absence des parents. Mais après quelques jours, ils réalisent que la visite dans ce nouvel environnement se prolonge. Les réactions d'isolement, de pleurs, de passivité ou de résistance aux soins apparaissent plus tard avant de s'estomper graduellement.


Au-delà la tristesse

Personnellement, j'ai trouvé difficile de quitter le douillet nid d'amour que j'avais construit avec ma petite Émilie. Et je ne dois avouer que ses premiers mots d'admiration et de tendresse pour son éducatrice, Johanne, m'ont fait l'effet d'un coup de poignard. Et que dire de ses premiers dessins, de ses premiers bricolages et de tous ses exploits moteurs réalisés en dehors de mon regard maternel ! Avec recul, je m'aperçois que, en dépit de ses moments de tristesse, j'éprouvais aussi beaucoup de fierté face à une petite qui grandissait, devenait autonome et débrouillarde. Car avec chaque apprentissages - La découverte des relations avec d'autres adultes et d'autres enfants, les premiers pas, les premiers mots, les premières prouesses et les premières réactions-, l'enfant rompt un lien de dépendance avec les adultes. Il devient d'avantage lui-même, par lui-même.


Texte tiré du livre : Comprendre et guider le jeune enfant. À la maison, à la garderie. Écrit par Sylvie Bourcier. Aux éditions de l'Hôpital Sainte-Justine, centre hospitalier universitaire mère-enfant. La collection de l'Hôpital Sainte-Justine pour les parents. 2004

 

apple
le voici
http://www.mamanpourlavie.com/specialistes/71-martine-jouffroy-valton/4785-se-preparer-pour-la-garderie.thtml 

Salut!
Ça fait un petit bout que je suis venue vous jaser.

Jenn-babouch : J'abonde dans le même sesn que baby-girl. Laisse-lui un petit plus de temps, il reviendra à lui-même!

Baby-girl : Merci d'avoir souligné les aniiversaires des minis!

Ici : J'ai un down. Je retourne au travail le 17 janvier. Et mon coco commence la garderie le 3 janvier. Je tombe dans les mêmes moments que vous avez toutes vécues en début d'automne: l'angoisse de laisser bébé à la garderie. Pourtant, je sais très bien que ça va lui faire du bien et qu'il va pouvoir se développer avec d'autres petits, ce qu'il ne fait pas présentement. Ça va développer son social. Et il fera de nouveaux jeux aussi. Je pense que ça va bien aller et qu'il s'adaptera. Mais, ça me fait de quoi quand même. Et rien pour aider à tout cela, je retourne au travail dans un endroit de merde. Avant que je tombe enceinte, j'étais en congé de maladie, parce que deux collègues de travail dans un des 2 départements où je travaille m'ont fait virer complètement folle. En fait, avant même qu'ils m'engagent à cet endroit, il y avait déjà un problème dans ce département, et ça n'a pas changé à mon arrivée....et ça n'a pas changé même pendant mon congé de maladie et mon congé de maternité. Avant que j'arrive, ils ont engagé des dizaine de personnes...qui ont toutes finies par partir car ça n'avait pas de bon sens. Alors, je retourne dans un endroit où on veut pas de moi et où on va tout faire pour me faire capoter. C'est platte, parce que tout va bien avec mes collègues dans l'autre département. J'angoisse déjà juste à penser que j'y retourne. Disons que ça va faire beaucoup d'émotions à gérer en même temps: la séparation avec mon garçon, lui qui part pour la garderie et moi qui retourne au travail avec des gens pas très gentils. Ça aiderait à mon moral si mon endroit de travail était bien, sain et agréable. Je suis triste.

J'avais lu qu'il y avait d'autres filles ici où ça n'allait pas super au travail....j'vous comprend tellement...

Et pis, j'ai besoin de vos conseils. Cet automne, y'en avait qui ont parlé de l'intégration à la garderie à temps partiel, sur 2 semaines. C'est ce qu'Étienne fera, mais c'est moi qui fera l'horaire, jusqu'à ce qu'il soit à temps plein. (c'est pour ça que je recommence à travailler le 17) Y'en a qui ont des horaires à me suggérer? Des opinions et suggestions? MERCI!!!!!