Garderies

Différents services de garde

Il existe différents types de services de garde comme les Centres de la petite enfance, les garderies, les haltes-garderies et les gouvernantes et aides familliales.

Les centres de la petite enfance

Les centres de la petite enfance, mieux connus sous le vocable de CPE, sont pour certains parents une source de joie puisqu’ils correspondent exactement à ce qu’ils recherchent d’une garderie. S’adressant aux enfants âgés de 0 à 4 ans, les CPE ressemblent à de petites écoles avec ses nombreux locaux, sa cuisine, ses petites salles de bain et son jardin avenant.

Bref, les enfants fréquentant les CPE apprennent rapidement les règles de la vie sociale. Ils sont entourés de jeunes enfants dont les âges correspondent exactement au leur et bénéficient d’un programme éducatif complet où le jeu fait partie intégrante de leur journée. Régis par le ministère de la Famille, des Aînés et de la Condition féminine et gérés par un conseil d’administration composé d’une majorité de parents, les CPE offrent des services de garde éducatifs avec au moins sept enfants par groupe.

Avec le jeu comme pièce maîtresse, les centres de la petite enfance basent leur service d’apprentissage sur un programme éducatif adapté à l’âge des enfants. La psychomotricité, l’intellectualité, la vie socioaffective et le langage visent avant tout à favoriser la croissance de l’enfant. Les centres de la petite enfance offrent des places au tarif de 7 $ par jour, en installation et en milieu familial.

Plus connues et peut-être même appréciées par les familles de très jeunes bébés, les garderies en milieu familial reçoivent un appui des centres de la petite enfance puisqu’ils relèvent des CPE. Les coûts de ces services de garde sont encore une fois minimes. Si les activités sont presque analogues à celles des centres de la petite enfance, la différence demeure pourtant de taille, puisque l’enfant évolue dans un cadre familial et dans le confort d’un foyer. Un moyen de lui rappeler que la maison n’est pas très loin...

Garderies
Établissements privés à but lucratif ou organisations sans but lucratif pouvant être gérés par des institutions religieuses, des corporations municipales ou des corporations scolaires, les garderies proposent aussi des services de garde éducatifs. Par définition, les garderies sont des établissements qui fournissent des services de garde éducatifs dans une installation où l'on reçoit des enfants, de façon régulière et pour des périodes qui n'excèdent pas 24 heures consécutives. Donc, afin d’augmenter les places à contribution réduite pour tous les petits Québécois, le gouvernement s’est entendu pour conclure une entente dite de location avec la très grande majorité des garderies à but lucratif.

Les haltes-garderies
La halte-garderie peut convenir à certains parents dont les besoins sont plus sporadiques. Déterminée par des règlements et pour des périodes n'excédant pas 24 heures consécutives, la halte-garderie est un endroit de dépannage pour les parents qui veulent confier leur enfant pour quelques heures seulement.

Les jardins d'enfants
Le jardin d'enfants est un établissement qui offre des services de garde éducatifs pour des périodes qui n'excèdent pas quatre heures par jour et avec au moins sept enfants âgés de deux à cinq ans. Les activités se déroulent sur une période fixe. Considéré plutôt comme moyen de dépannage de dernière minute, le jardin d’enfants peut être également une alternative à la vie sociale pour l’enfant qui ne fréquente pas la garderie.

Les personnes et les organismes qui offrent des services de garde à 7 enfants et plus (dans un local prévu, de manière régulière et pour plus de quatre heures par jour) doivent détenir un permis de centre de la petite enfance ou de garderie. De même, les personnes qui gardent sept enfants ou plus contre une rétribution dans une résidence privée doivent être reconnues comme responsables d’un service de garde en milieu familial auprès d’un centre de la petite enfance. Vérifiez leur conformité!

Gouvernantes et aide familliale
Pour les parents désireux de vivre l’expérience d’une gouvernante à demeure, le gouvernement du Québec propose une alternative intéressante pouvant satisfaire autant le futur employeur que l’employé lui-même. La Commission des normes du travail encourage les deux parties à établir clairement les conditions de travail dès le départ.

Vous devez reconnaître le taux horaire de la semaine, l’horaire de travail, la durée du contrat ainsi que les principales tâches à remplir.Avec un taux horaire minimum fixé par le gouvernement, la semaine de travail du domestique est limitée à 40 heures.Les heures supplémentaires doivent être payées à un taux augmenté de 50 % ou encore être remplacées en congé équivalant aux heures supplémentaires effectuées.L’employeur ne peut pas exiger un montant d’argent en échange de la chambre et de la pension de la gouvernante.Il est important de tenir un registre détaillé des heures travaillées afin que la gouvernante soit payée d’après les heures réellement exécutées.L’employeur qui exige le port d’un vêtement particulier a le devoir de le fournir gratuitement.

Avoir avec soi une gouvernante qui s’occupe des enfants et des tâches ménagères permet, pour des parents qui travaillent, de se décharger d’un surplus de stress lié à la cohue matinale et à la course contre la montre. Toutefois, les normes du travail doivent être respectées en tout temps!

Voici quelques conseils à ne pas négliger

Vous devez verser le salaire de votre employée dans une enveloppe scellée ou par chèque.Vous devez tenir compte des journées chômées et payées que sont le 1er janvier, le Vendredi saint ou le lundi de Pâques (au choix), le lundi qui précède le 25 mai, le 1er juillet, le 1er lundi de septembre, le 2e lundi d’octobre et le 25 décembre.À chaque paie, vous devez remettre à la salariée un bulletin qui lui permet de vérifier le calcul de son salaire. Ce bulletin doit contenir votre nom, les nom et prénom de la salariée, l’identification de l’emploi, la date de paiement et la période de travail qui correspond au paiement et le nombre d’heures payées au taux normal.Une salariée a le droit de refuser de travailler, quotidiennement, plus de quatre heures au-delà de ses heures habituelles ou plus de quatorze heures par période de 24 heures, selon la période la plus courte.Une salariée dont les heures quotidiennes de travail sont variables ou effectuées de manière non continue a le droit de refuser de travailler plus de douze heures par période de 24 heures.Elle peut exercer ses droits sur une base hebdomadaire après 50 heures, sauf s’il y a étalement des heures de travail.

 


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