LeS 42 MaMaNs PoULetteS d'AvRil 2011

Modifications faites!

Plus que 5 jours et on transfère officiellement de ce côté-ci les moms!  

Je peux me joindre a vous ?

Votre nickname :baby_love
Votre vrai nom (pour cause de rencontre, courriel ou facebook !!) : Marie-Claude
Votre anniversaire (votre âge) : 21 Mars (24 ans)
Lieu derésidence : Joliette (lanaudière)
Date réelle d'accouchement (DPA) :4 Avril 2011
Nombre de semaines de grossesse : 40semaines 2 jours
Lieu d'accouchement : hopital de joliette (CHRDL)
Type d'accouchement : Vaginal
Prénom du bébé (sexe) : Mathis
Poids/grandeur : 8lbs 7 22 pouce
Particularités : tout c'est super bien passé
Récit d'accouchement : à suivre très bientot


au plaisir ! xxx Marie 

Votre nickname : Annoub
Votre vrai nom (pour cause de rencontre, courriel ou facebook !!) : Annabelle
Votre anniversaire (votre âge) : 29 ans
Lieu derésidence : Longueuil
Date réelle d'accouchement (DPA) : 12 avril (DPA 24 avril)
Nombre de semaines de grossesse : 37-38
Lieu d'accouchement : Hôpital Pierre-Boucher
Type d'accouchement : naturel, vaginal
Prénom du bébé (sexe) : Raphaël
Poids/grandeur : 7 lbs et 1 oz - 20 pouces
Particularités : C'est le mien le plus beau!
Récit d'accouchement :


Pour celles qui ont suivi avec moi ma fin de grossesse, vous vous souvenez sans doute que j'ai été mise au repos de la 32e à la 36e semaine pour col mou, mi-effacé, et tête très, très basse. Une chance que je l'ai respecté! Cependant entre-temps nous avons découvert chez nous un problème d'isolation qui a apporté son lot d'humidité et de moisissures. Dans les dernières semaines de ma grossesse, soit de la 36e à la 38e, j'ai donc été dans les gros travaux de destruction/décontamination de mon sous-sol, de la salle à diner, de la salle de bain de l'étage, mais aussi de l'entre-toit, où on va par mon walk-in. Bref, toute une atmosphère de fin de grossesse! Tout ce que j'espérais, c'était que mon petit attende la fin des travaux, de sorte qu'il n'y ait pas de moisissures! Lundi le 11 avril, fin des travaux. Je fais venir deux femmes de ménage en fin d'après-midi pour m'aider à nettoyer le tout. J'étais brûlée, mais extrêmement soulagée. J'ai même dit à mon mari : « Là, ça y est, je peux accoucher! » La nuit d'avant, je n'avais dormi que 2 heures. Stress et brûlements d'estomac terribles. Le soir du 11, même brûlée, je tenais à replacer une partie des choses qui n'étaient pas à leur place encore. Genre que dans notre chambre régnait encore le chaos car tout ce qui était préalablement dans le walk-in trainait dans le reste de la chambre. Donc je fais ce que je peux en soirée. Une fois couchée, même problème que la veille : reflux affreux malgré le Zantac. Je m'endors donc vers 2h du matin. Vers 3h, je me lève pour aller à la toilette (normal, je me levais toujours aux heures!) En finissant de faire pipi, je me lève, puis on aurait dit que je m'étais échappée sur le plancher. Je me dis que c'est peut-être du pipi, peut-être pas. La semaine précédente, ça m'était arrivé de perdre du pipi? du moins selon ma gynéco qui m'avait assurée que ce n'était pas du liquide amniotique. Disons que le reste de ma grossesse, je n'ai pas eu la malchance de me pisser dessus? c'est au moins ça. Bon, je me mets une serviette sanitaire tel que recommandé par ma gynéco. J'aurais été censé marcher un bout, mais j'étais épuisée, et me recouche. À 4h, je me réveille. Serviette mouillée. Retourne à la toilette. Change la serviette. Un splash à terre entre-temps. Ça ne fait plus aucun doute. Je retourne à la chambre, réveille mon homme avec un grand sourire. Il comprend tout de suite. D'habitude, quand je le réveillais, c'était par angoisse ou douleur. Là, juste un sourire? Faut dire que j'avais eu un tas de fausses contractions dans les derniers mois, et j'espérais vivement perdre les eaux avant d'en avoir de vraies, question de reconnaître le travail sans aucun doute possible. Selon les estimations de l'écho de 12 semaines, j'étais alors à 38 semaines et deux jours. Selon les dernières menstruations, à 37 semaines. Et selon le test d'ovulation que j'avais fait, 37 semaines et 4 jours. Donc à quelque part entre 37 et 38.

Alors je dis à mon mari qu'il faut se préparer tranquillement, que je vais accoucher dans les 24 heures, mais que ce n'est pas urgent. Je n'avais pas plus de contractions que d'habitude. Mais je vais appeler la maternité de l'hôpital, qui me dit d'aller les voir dans l'heure ou à peu près. Je dis quand même à mon mari d'aller marcher les chiens avant de partir, que j'ai des choses à faire. Genre que je vais prendre une douche, me raser les jambes. J'essaie de manger un bol de céréale, mais je suis trop énervée pour m'asseoir. Mais je prends la peine de ranger encore un peu la chambre, de mettre les choses dans la table à langer, et je vais vous écrire une note sur le forum.

À 5h30, on part. Mon mari manque se briser le dos avec ma valise. En route, j'appelle mes parents qui sont tout endormis. Mon père ne comprenait rien, puis tout d'un coup, il s'est réveillé, tout énervé, tout comme ma mère.

On arrive à l'hôpital, je suis sans aucune douleur, toute contente d'aller accoucher! Une fois à la salle d'accouchement, on m'installe sur une civière, puis on m'ausculte. Je perds effectivement les eaux, mais seulement une couche des feuillets. Je ne savais pas qu'il y avait plus d'une couche. En tout cas, ça coule, ça coule sans arrêt. On me dit que quand ça va vraiment rompre au complet, que ça fera une inondation. Et je ne suis dilatée qu'à deux. Je me prépare donc mentalement à se que ça dure longtemps. On me demande si j'ai des demandes, quel genre d'accouchement que je veux. Je fais l'erreur ? ou peut-être pas ? de dire que je veux que ce soit le plus naturel possible. J'ai peur des aiguilles. Mais que je suis ouverte à la péridurale au cas où. Une demi-heure plus tard, vient l'inondation prédite. Tout le piqué sous moi déborde. Ce que je ne savais pas encore, c'est que l'allais inonder des piqués comme ça sans arrêt toute la journée! Dire qu'alors, je trouvais ça inconfortable. Ah, mauvaise nouvelle; j'ai le streptocoque. On doit m'installer un soluté, moi qui n'en voulais pas! C'est que j'ai peur des aiguilles? Mais bon, on me l'installe. Je perds presque connaissance. L'infirmière a l'air un peu dépassée. Si peu me fait presque tomber dans les vapes? ce n'est pas fini!

Bon, on me transfère dans ma chambre d'accouchement. Brise de mer. Superbe chambre, vue splendide (bon, c'est pas la mer, mais belle vue tout de même). Il fait vraiment beau. J'allais en profiter au moins deux petites heures. Après, tout ça est sans importance. À 8h j'appelle mon promeneur de chiens, afin qu'il se prépare. Encore aucune vraie douleur. Du moins, je pensais que ça faisait plutôt mal. Humm. Je ne savais pas ce qui m'attendait! Quelques minutes plus tard, l'infirmière de jour arrive. Louise. Une femme gentille, près de prendre sa retraite, expérimentée. Je me sens bien prise en charge. Environ une heure plus tard, c'est au tour du médecin de garde d'arriver. Le docteur Leblanc. C'est la meilleure amie de mon médecin, le docteur Tardif, et elle semble aussi sympathique. Elle vérifie mon col; il n'a pas bougé. Un peu décourageant. Ça commençait pourtant à faire mal. Bon.

J'ai une grande envie de manger des ?ufs. Je suis affamée, mais l'infirmière me le déconseille. Elle dit que je les vomirais. Je lui donnai raison plus tard, mais sur le coup, je suis frustrée. Pognée sur un soluté, affamée. Vers 10h, le médecin revient. Vérifie mon col. Il est à 3. Je dois avouer qu'à partir de là tout est un peu flou, tout est parti assez vite. Le médecin m'explique qu'à ce rythme-là, l'accouchement pourrait dépasser les 24 heures. Que j'ai perdu les eaux et qu'il ne faut pas que ça s'éternise. Elle me recommande fortement de m'injecter une hormone pour provoquer de vraies contractions. Comme je n'ai dormi que 4 heures dans les deux dernières nuits, je suis déjà épuisée. J'accepte. Elle m'explique que l'effet commencera dans 30 minutes. Que je devrai être monitorée non-stop. Ça ne fait pas mon affaire, car les contractions sont bien plus faciles à contrôler quand on peut changer facilement de position. Mais il fallait contrôler l'intensité et la longueur des contractions, tout comme les pauses entre chacune. Semble-t-il que les pauses sont importantes. Faut souffler un peu. J'allais vite le découvrir.

J'imagine que c'est donc vers 10h30 qu'on embarquées les vraies contractions. C'est à partir de ce moment-là que les médecins, du moins, calculent le vrai travail. Je croyais que ça allait commencer doucement. Après tout, la dose était minime pour commencer. Mais c'est venu comme un tsunami. Quelques contractions plus tard, je demandais déjà la péridurale! Mon idée était que si c'était déjà si intense, que ça n'allait qu'empirer et vite devenir insupportable. Et ça allait le devenir. Mais malheureusement, le médecin n'était pas d'accord. J'étais alors dilatée à 4 seulement.

Elle me recommande alors de prendre un bain. J'en ai vraiment pas envie, mais j'acquiesce. Elle dit qu'après 15 minutes elle revérifiera mon col pour voir si je peux avoir la péridurale. J'allais y rester 45 minutes. On m'enlève du moniteur, puis on m'immerge dans une eau terriblement chaude. Mon mari fait partir les tourbillons. Rendu là, la douleur est partout. Totale. Tellement forte, que je n'arrive même plus à gémir. Les gémissements me font mal. Tout bruit me fait mal. Mon mari est là qui mange des noix comme si sa vie en dépendait; ça me tape mais je suis incapable de lui dire. Enfin, entre deux contractions, je lui intime de cesser de manger, de bouger, de respirer! Lui voyait juste que je ne gémissais plus? Entre deux autres contractions, je lui fais arrêter le tourbillon, ça me pique partout. Pendant tout ce temps, je mets quand même à profit les pratiques maisons dans mon bain. Je visualise ce que j'ai appris à visualiser dans mon bain. Je revois donc ce champ de tulipes rouges et de marguerites, dans lequel je suis installée avec mon bébé dans un panier. Le ciel est violet. En même temps, je me concentre pour relaxer tout mon corps. Pas évident avec cette douleur insupportable. Mais je sais que c'est ce qu'il faut faire pour dilater. Faut que ça ouvre. C'est pas possible d'endurer ça plus longtemps. Donc je visualise. Je ramolli mes muscles. Je m'efforce de sentir bébé qui descend. C'est pas long ? et en même temps terriblement long ? que je sens cette forte pression vers le bas. Comme si je devais aller à la selle. Entre deux contractions, je demande à être revérifiée. Faut la péridurale tout de suite. Ça vient. Bon, je ne suis pas aussi articulée. Les mots ne viennent pas. Ni même les pensées. Mais bon, après deux tentatives de mon mari auprès du médecin, elle accepte à la condition que je sorte du bain. Je sors du bain. Je passe à la toilette au passage. Plus d'inhibition à ce moment. Je me fous d'être nue devant tout le monde. Je me fous de « faire caca » devant mon mari? Bof. Plus rien n'a d'importance que cette douleur affreuse. Je reste donc toute nue. On va bien me voir les entrailles et les seins, qu'est-ce que ça change?

Le médecin vérifie mon col. Je suis à 7! Elle est super contente. Me félicite. Une partie de moi se demande pourquoi. J'ai juste plus mal, moi! À ce moment elle remarque qu'il reste encore un feuillet à crever. Elle le crève. Autre inondation. Je demande encore la péridurale. Mais là, ça sort genre « piquez-moi câlisse! » Puis je demande à mon mari de ferme « l'osti de musique ». On me fait signer un papier pour la péridurale. Mais à ce moment, c'est clair que je ne l'aurai pas. Pas longtemps plus tard, ça pousse vraiment. On dirait que je prends tout le monde à court. Pourtant, depuis que je suis dans le bain, je sens que ça arrive, moi! On m'ausculte encore. Je suis à 9. Le médecin me demande si je veux encore la péridurale. Je crois que je hausse les épaules. C'est que ça pousse. J'aurai jamais le temps. Faut que ça sorte! Je sens alors comme un énorme mouvement qui pousse de l'intérieur. C'est loin du serrement habituel. Comme un grosse vague qui me terrasse et qui pousse bébé à l'extérieur. Dans ma tête, je parle au bébé. Je lui dis qu'on est deux à travailler ensemble. Qu'il est bon. Qu'il est fort, que ça s'envient!

Dans le temps de le dire, je dis encore que ça pousse. Ça pousse. Je suis à 10. Le médecin arrive. Elle dit à mon mari de me donner des glaçons. Elle va elle-même les chercher. Puis elle lui demande de m'appliquer des compresses froides. Elle m'explique de lever les jambes. De les garder molles, écartées, et de les tenir avec les mains. À la prochaine contraction, j'entends une sorte de hurlement. On dirait bien que c'est moi. Puis la médecin m'explique qu'il ne faut pas crier. Faut retenir son souffle. Que c'est bien plus efficace. Après quelques poussées, elle fait augmenter la dose d'hormone pour augmenter le temps des contractions! Comme si ce n'était pas assez! Je me mets alors à pousser comme il faut, à faire deux poussées par contractions. Ça fait encore terriblement mal, mais ça a enfin un but. Plus obligée de relaxer. On peut forcer! Je force donc de tout mon être. C'est pas possible de souffrir autant. Puis on bout d'une trentaine de minutes (c'est ce que j'ai appris plus tard) l'infirmière me dit que ça achève. Je demande « combien de temps? » Elle me dépond environ une demi-heure. Je trouve ça tellement long, que je redouble d'efforts. Je me mets à pousser comme si ma vie en dépendait. C'était peut-être le cas. Environ à ce moment-là, le médecin propose de geler la sortie, de faire un bloc-honteux. J'accepte. Une chance que je n'ai plus mes lunettes depuis avant le bain, car j'aperçois vaguement une énorme seringue. Je ne suis pas sûre que le médecin fait bien ses piqures, elle a à peine le temps de le faire entre deux contractions? Et puis ça fait mal. Pas de pause entre ces contractions. Elle finit de piquer en pleine poussée. Peu importe. Je fais 3, puis 4 et 5 poussées par contractions. Plus de temps de souffler. À un certain point, la pression est si forte dans mes yeux que je vois double. Ça me change les idées. C'est stressant, j'ai peur que mes yeux éclatent! Mon mari me dira plus tard que mes yeux sortaient de leur orbite, que mon visage semblait près d'éclater. Le médecin me dit me moins pousser. Ça ne sert à rien de faire 5 poussées par contractions. Mais là, elle dit qu'on voit la tête! Wow, là, je souris. La douleur n'est pas veine. Puis on me demande si je veux voir. Je ne veux pas mettre mes lunettes. J'ai peur du charriot derrière le médecin. Mais on va quand même chercher un miroir. Et mes lunettes. Elles ont bien raison ces femmes. Elles savent ce quelles font. Je vois la tête entre deux contractions. Pas pendant, car mes yeux n'ouvrent plus. C'est fou l'énergie que ça donne. Je reprends mes jambes par les mains. J'accepte même de ramollir correctement mes jambes. De les écarter le plus possible, dans les airs. Même si je me sens écartelée.

Enfin, il arrive pour vrai! Et puis le médecin déclare que la tête arrive, qu'il faut juste qu'elle passe l'os sans reculer. Je redouble d'efforts. Puis la tête se fixe. Semble-t-il qu'à ce moment-là, la tête est restée prise quelques temps. Mais que bébé, dont le c?ur n'a pas flanché une seule seconde pendant tout l'accouchement, a étonnamment tourné correctement sa tête! Et puis enfin, enfin, poussées ultimes, les yeux exorbités, la tête qui pulse, les bras engourdis morts, les jambes qui tremblent. Puis j'entends l'infirmière dire à l'intercome : « on a une naissance ». Je regarde l'horloge. Il est 14h07. Puis on me met une masse sanguinolente sur le ventre. J'essaie de remuer les bras. Incapable. Mes jambes tremblent comme c'est pas possible. Je demande à mon mari de les tenir fermement. Je regarde cette petite chose, je dis que je ne sais pas quoi faire avec. Je suis complètement dépassée par les événements. Et ça fait horriblement mal. Encore. Bébé hurle. Hurle et hurle. Le papa coupe le cordon. Avec deux essais. Puis on me le remet correctement dans les bras. Et là, c'est l'euphorie totale. Mon mari nous prend en photo avec son Blackberry. Une photo superbe. Je suis là, totalement épuisée et en douleur, mais avec ce sourire de victoire. Que c'est émouvant. Nous pleurons de joie. Puis on reprend bébé, il s'étouffe dans ses sécrétions. On les lui aspire. Pendant ce temps, le médecin presse fort mon ventre. Ouach. Ça fait mal encore. Mon placenta sort. Elle nous le montre. Nous dit qu'il est parfaitement constitué. Bon à savoir. Et puis elle commence à me recoudre. Une petite déchirure dit-elle. Mais elle me recoud longuement. C'est pas 3-4 points, ça. Il doit bien y en avoir une cinquantaine. On ne m'a pas dit quel niveau de déchirure c'était. Entre 2 et 3. Mon anus est partiellement déchiré, mais pas de l'intérieur. Bof. On me redonne bébé. Il hurle encore. Il ne veut pas téter. Il s'étouffe encore. Ils finissent pas le mettre sous incubateur dans la chambre. Il hurle encore. Je demande un analgésique. Et un paquet de glaçons dans l'entre-jambe. Ça va mieux. Mais je tremble encore. Je veux aller à la toilette, mais on me l'interdit. J'en suis incapable. Je stresse car mon bébé pleure encore. Quand on me transfère finalement de chambre, on amène bébé en soin intermédiaire pour l'observer. Il aurait pu avoir une pneumonie. Mais heureusement, ils me le ramènent 20 minutes plus tard. Il est calme pour la première fois. En pleine forme. Un beau bébé de 7,1 lbs pour 20 pouces. Un bébé de 37-8 semaines. Avec un petit c?ur super fort. Mon souper arrive en même temps. J'ai super faim. Mais on me « plug » bébé sur le sein. C'est le début d'une longue série de boires. Plus ou moins réussis.

À suivre?

Annoub

  

Salut les mamans!

Votre nickname : NiniTatou
Votre vrai nom (pour cause de rencontre, courriel ou facebook !!) : Virginie Faucher
Votre anniversaire (votre âge) : 27 ans - 25 août 83
Lieu derésidence : Ste-Brigitte-de-Laval - Banlieue de Québec
Date réelle d'accouchement (DPA) : 1 6 avril (DPA 4 avril)
Nombre de semaines de grossesse : 42 4/7!!!
Lieu d'accouchement : Hôpital St-François d'Assise
Type d'accouchement : de merde (mais non! Disons problématique... et tout sauf naturel!!)
Prénom du bébé (sexe) : Arnaud
Poids/grandeur : 8 lbs et 10 oz - 23 pouces
Particularités : C'est le plus beau!
Récit d'accouchement : Ça viendra!!

Je vous écrit mon récit d'ici quelques jours, quoique je me suis promise de ne pas le raconter à qui que ce soit qui n'a pas encore accouché... il y aura un gros disclaimer!! Par contre, c'est cliché mais je me taperais 10 accouchements comme ça de suite pour avoir un beau bébé comme Arnaud!

Meira: On a accouché la même nuit à SFA. On a donc été hospitalisées en même temps! Tu étais peut-être même dans la chambre en biais avec nous? Mon chum s'est mis copain avec le papa, et c'était un petit garçon né la même nuit que nous, et de mémoire dans les mêmes poids que le tien!!  

Votre nickname : Meira
Votre vrai nom (pour cause de rencontre, courriel ou facebook !!) : Julie
Votre anniversaire (votre âge) : 20 novembre (29 ans)
Lieu de résidence : Stoneham
Date réelle d'accouchement (DPA):16 avril (DPA 17 avril)
Nombre de semaines de grossesse : 39 6/7
Lieu d'accouchement : Saint-Francois D'assise
Type d'accouchement : Vaginal
Prénom du bébé (sexe) : Félix (garçon)
Poids/grandeur : 21 pouces, 8 lbs 12 onces
Particularités : aucunes
Récit d'accouchement :

Vendredi matin, ma belle soeur est venue me visiter avec les enfants. Tout l'avant midi, chaque fois que j'avais une contraction elle me regardait en me demandant si ca allait (elle en a eu 3 et s'inquiétait des petites contractions que j'avais!!!) Donc elle part vers 13h15 et moi je m'installe pour relaxer un peu dans le lazy-boy. Je suis prise d'une crise d'eternuement qui font l'effet que vous savez et je decide de mettre un protege dessous afin d'eviter d'avoir à me changer si cela recommence /0 minutes apres, je retourne aux toilettes et constate que le protege dessous est pas mal mouillé je decide donc de mettre une serviette sanitaire et je retourne au salon relaxer. 45 minutes plus tard, même histoire (mais la nounoune en moi ne fait pas de lien que ca peut etre du liquide amiotique, ben voyons, je suis juste enceinte de 39 5/7!!) Ah oui, aussi j'ai des contractions depuis le matin, et depuis 13h elle s'intensifient et se rapproche, je suis rendue au 8 minutes et toutes enervée. Finalement, comme je constate que les contraction sont pas mal au 6 minutes depuis presque 1h je decide d'aller prendre un bain chaud pour vor si ca se calme ou si finalement je vais accoucher!! Je retourne donc au toilette et constate a nouveau que je dois changer de serviette sanitaire car elle est pleine. C'est à ce moment que le petit hamster dans ma tête decide de revenir à son poste et que je comprend que je ne pourrais pas prendre de bain et que je dois aller a l'hopital. J'appelle le departement d'obstetrique, j'essaie de rejoindre mon chum mais pas de réponse, il est partie couper le bois de poele et ne doit pas entendre son téléphone. Je saute dons, avec toute l'élégance d'une baleine dans l'auto pour aller le chercher (il est a 2 minutes de la maison) Je lui dit: chéri c'est le temps, il faudrait y aller. Il me regarde et l'air de ne pas comprendre (mais vraiment) il me répond : allez ou?. (non mais lui aussi son hamster était en break!!!)

Finalement, retour a la maison, puis départ pour l'hopital ou nous arrivons vers 15h30. C'est confirmer, j'ai des pertes de liquide amiotique, je vais accoucher bientôt. On me transfere en salle d'accouchement, je fais du ballon, je marche, j'essai a peu pres n'importe quoi. Les contraction s'intensifient encore et sont rendues aux 2 minutes mais malheur, elles ne font pas travailler le col. Dans la soirée, les contractions s'espacent et deviennent de moins en moins douloureuse jusqu'a arriver au 8 minutes vers 23h ou je suis dilater seulement à deux et effacer à 80%. Ils decide donc de me déclancher vers 12h30. Tout va bien, les contractions reprennent de plus belles, une demi heure plus tard je suis completement effacer et dilater a 4. puis 2 heures plus tard, dilater a 5, toutes mes convictions prennent le bord, donner moi la péridurale ou je crois qu'il va y avoir un meurtre dans cette salle. 15 minutes plus tard, l'anasthesiste me soulage de mes souffrance et le travail se continue. Encore 30 minutes et le médecin vient me voir, je suis complete, bientôt je vais devoir pousser. Mais avant, comme je ne supporte pas vraiment les calmants, je suis malade.À 4h24, je commence a pousser. Tout vas bien, mon chum se sent finalement utile a quelque chose. Donc je pousse un peu, je vomit un peu et ainsi de suite (l'avantage c'est que vomir donne le même effet que les pousée!!). Vers 5h30, la péridurale ne fait plus effet et ca ne sert pas a grand chose de me redonner des calmants vus l'effet que ca me fait. Finalement, apres deux heures de pousée très exactement (6h24) Félix pointe le bout de son nez. Un gros bébé de 8 livres 12, en excelante santé (score apgar de 9-10) qui mesure 21 pouces. Pas trop de domage, 2 points internes et deux points externe.

Mon chum n'en revient pas et ne cesse de dire que c'est vraiment spécial de le voir sortir, que tu ne t'attends vraiment pas a ce qu'il réussisent à passer!!

Nous sommes transferer dans la chambre (ou il doit bien faire 30 degré!!)
La première nuit se passe bien, mais bébé perd beaucoup de poids et a des urates dans l'urine (signe qu'il ne boit pas assez) tout se replace dans la journée. Deuxième matin, même constat, bébé à de nouveaux de urates et a perdu beaucoup de poids. On m'envoi la spécialiste en allaitement (vraiment une femme merveilleuse) qui vient me coacher car bébé n'ouvre pas assez la bouche et n'allonge pas assez la langue. Quelques petits trucs plus tard, la pédiatre vient me rencontrer et hesite a nous laisser sortir. Elle decide finalement de nous donner notre conger mais fait venir l'infirmière de CLSC le lendemain.

L'infirmière vient nous rencontrer (encore quelques petits trucs sur l'allaitement), une très belle rencontre. Puis une autre visite ce matin. La bonne nouvelle, Félix a repris son poids initiale (exceptionnel selon l'infirmière qu'a 5 jours de vie ils soit deja revenu a son poids initial) les risques de jaunisse sont ecarté et tout le monde se porte bien.

Finalement ce qu'il faut retenir c'est que j'ai un gros bébé très gourmand, qui boit au heure et demi et qui ne rentre definitivement pas dans du linge nouveau-né.

Bon je crois que c'est pas mal complet!!!

Je vais aller voir bébé qui(pour une fois) dort plus de 2h en ligne, un petit break avant le prochain boire) a bientôt les poulettes 

Votre nickname : fififleur
Votre vrai nom (pour cause de rencontre, courriel ou facebook !!) : Claire
Votre anniversaire (votre âge) : 24 avril (27ans)
Lieu derésidence : Beauport
Date réelle d'accouchement (DPA) : 27 avril
Nombre de semaines de grossesse : 38 6/7
Lieu d'accouchement : Maison de naissance de la vieille capital
Type d'accouchement : voie basse
Prénom du bébé (sexe) : Lino (garçon)
Poids/grandeur : 52 cm pour 3.8 kg
Particularités : accouchement dans l'eau
Récit d'accouchement :

C'est un peu long c'est celui de son livre de bébé :

Lino voici le récit de ta naissance :

Il est 3h00 du matin et comme depuis plusieurs semaine je n'arrive pas à fermer l'?il. Je vais chercher ton père que j'avais envoyer dormir sur le sofa quelques heures plutôt.
On se recouche ensemble et je continue de tourner sans trouver le sommeil... Vers 4h tu bouge comme un acrobate et je sens comme une grosse goutte entre mes jambes... Comme j'ai déjà vécu ça pour ton frère je me glisse sur le parquet et je laisse couler le flot qui te baignait jusqu'à présent... Je réveille ton père à nouveau (3ème fois cette nuit c'est pour le préparer au semaine qui s'en vienne probablement). Il se lève et va appeler Amélie qui viendra s'occuper de ton frère pendant que nous t'accompagneront dans ta naissance. Le flot s'est calmé, j'appelle Magalie notre sage femme, pour l'aviser, on conclut de se rappeler en cas de contractions douloureuses ou vers 8h si rien ne se passe. Je vais prendre une longue douche pour me détendre et me calmer je suis heureuse de savoir que je vais te rencontrer bientôt mais je veux pouvoir t'accompagner dans ton chemin.
Entre temps Amélie arrive et ton frère se réveille intrigué pas le tapage de la maison. Il est 5h30. Les contractions commences tout doucement comme à ton frère je ne m'inquiète pas et je ne m'angoisse pas je sais que c'est le tout début... au bout d'une heure Nico me dit que je suis au 5 min mais je ne souffre pas, on joint Magalie et on conclue de se rejoindre à 7h30 à la maison de naissance.

On dit en revoir à ton frère, et on part doucement je suis inquiète parce que j'ai peur d'avoir déranger Magalie trop tôt...
Arrivé sur place elle nous attend elle guète notre réaction et du coup je suis encore plus angoissée parce que on est très serein...

Après examen, je suis à un gros 5 je n'ai dérangé personne pour rien, je suis rassurée... Magalie nous laisse et on discute avec ton père tout en se promenant, je continue de prendre une contraction à la fois mais je trouve cela tout fait gérable... Magalie vient nous voir une fois, deux fois pour écouter ton c?ur tu vas super bien, à son troisième passage on lui demande le bain parce que les contractions sont plus fortes même si encore endurable je veux repousser au maximum le moment ou la douleur me fera perdre pied. Je rentre dans le bain et les contractions s'espacent et se calme je change de position pour être plus confortable Magalie sort et les contractions reviennent. Magalie revient peu de temps après je lui dis que les contractions ne vont plus dans le même sens, elle hésite dans l'interprétation de ma phrase elle reste avec nous et peu de temps après tu nous montre que tu descends, j'étais complète mais je commence à me dire que je ne serais pas capable de t'accompagner jusqu'au bout,. Magalie me demande si j'avais envisager d'accoucher dans l'eau et je lui dis penaude que je n'y ai pas réfléchie mais que je n'ai pas envie d'être déplacer. Quand vient le temps de pousser c'est comme un ouragan qui me prend je n'ai pas envie, ça fait mal, j'ai peur, je veux qu'on m'assomme puis qu'on me réveille quand tu seras là, Magalie me demande d'accompagner ma douleur, ton père me rappelle que j'ai un endroit secret dans lequel je t'emmenais quand ça n'allait pas pendant la grossesse un endroit pour nous calme et apaisant. Je me calme enfin et je t'aide à venir tout en douceur, tu viens et tu nous rejoint enfin : il est 11h12. 

bon enfin,


Votre nickname : mélodyalyce1
Votre vrai nom (pour cause de rencontre, courriel ou facebook !!) : Karine
Votre anniversaire (votre âge) : 33 ans ( 4 janvier)
Lieu de résidence : Longueuil
Date réelle d'accouchement (DPA) : 10 avril 2011
Nombre de semaines de grossesse : 40 semaines
Lieu d'accouchement : Anna-LAberge
Type d'accouchement : vaginal
Prénom du bébé (sexe) : Charlotte
Poids/grandeur : 6.2 lbs 19 pouces
Particularités : petite tête
Récit d'accouchement : a venir 

my god MamzelleRoxanne...mechant accouchement express!!!
Oui, des details sur ton allaitement. 

Votre nickname : Pillsbury
Votre vrai nom (pour cause de rencontre, courriel ou facebook !!) : Melanie
Votre anniversaire (votre âge) : 31
Lieu derésidence : Laval
Date réelle d'accouchement (DPA) : 16 mars (8 avril)
Nombre de semaines de grossesse : 36.5
Lieu d'accouchement : Cité Santé Laval
Type d'accouchement : vaginal
Prénom du bébé (sexe) : Henri et Léo
Poids/grandeur : 4lbs 13oz (48cm) et 5lbs 3oz(47cm)
Particularités :
Récit d'accouchement :

Je dois etre provoquée a 36.5 pour retard de croissance intra-uterin pour mes jumeaux (2e et 4e percentile)

A 2h du matin je ne dors plus. Stressée? Fébrile? Un peu de tout ça. Je finis par me lever pour écouter la télé et me raidir les cheveux (quoi??!!) Évidemment je me rendors vers 6h30 (comme si c'était le temps!) après un rassurant épisode de Quand Passe la Cigogne avec un bébé mort-né (bravo).
On doit être à l'hôpital pour 8h30. Fidèles à nos habitudes, nous sommes arrivés un peu en retard. On se disait que Dr. Perron ne nous attendrait surement pas sur le coin du lit. En effet, il attendait au bureau des infirmières...oops...

Étant porteuse du streptocoque, je devais être branchée sur un soluté pour recevoir des antibiotiques mais je ne réalisais pas que ça devrait durer 4h! Alors aucune induction dans la matinée... un peu décevant! Monitoring quasi constant. Trouver 2 coeurs n'est pas évident et une fois trouvés je ne peux pas trop bouger...alors la matinée est plutôt longue et le terne sandwich me prépare doucement à mon gastronomique séjour.
Finalement, vers 12h30 la résidente rompt mes membranes et tente d'installer une électrode sur Bebe 1 (Henri). Ça prendra trois essais car l'électrode restait prise dans sa généreuse tignasse! Trop longtemps sur le dos, je frôle le choc vagal.
Vers 14h15, l'infirmière Louise m'installe le soluté de pitocin. Les contractions devraient arriver bientôt mais elles se laissent désirer... c'est très supportable et je m'endors un peu a travers mon macramé de câbles. Vers 15h30, je parle à ma mère puis tout de suite après les contractions commencent pour vrai. Changement de shift, on passe de Louise à Nathalie. Bonjour. Bonjour.

Nathalie me dit qu'elle a appelé l'anesthésiste pour mon épidurale, je suis a 4+ et en cas de grossesse multiple on la fait dès que le vrai travail commence. J'ai donc mon injection vers 16h40 et je ne suis pas déçue... les contractions commençaient à être très fortes. Les narcotiques font vite effet; mes contractions ont belle allure à la télé et moi je ne sens plus rien (mais j'ai sûrement belle allure dans ma jaquette bleue). Party. Nathalie prépare la salle pour l'accouchement... je la trouve légèrement pressée!

Autour de 18h20, on me rééxamine : 6+! On appelle mon doc. Puis j'ai vaguement l'impression que l'épidurale est sur le point de me laisser tomber, je sens les contractions de plus en plus. J'en informe l'infirmière qui vérifie : je suis complète (18h40)!!
Tout le monde s'affaire pour l'arrivée des ptits jumeaux de la journée. Dômes chauffants, 2 infirmières, mon médecin, une gynécologue, la machine à échographie, une résidente, alouette. Le petit résidu de pudeur qu'il me restait en prends un coup devant cette foule qui s'affaire et jase comme s'ils vissaient des boulons à la GM.
Le temps que tout soit prêt et je vais commencer à pousser. Je ne sens pas le besoin de pousser pour l'instant mais quand j'ai une contraction, je pousse et on me donne de l'oxygène entre chacune. Les coeurs des bébés vont toujours bien. Je ne sais pas exactement combien de temps cette phase a duré, j'ai dû pousser 5-6 fois et Henri est arrivé à 19h21. Il pleure dès sa sortie et on l'amène sous la lampe chauffante. Contrairement à une grossesse simple, mon travail n'est pas terminé. Pas de temps pour le peau à peau et les grands attendrissements! Henri est avec son papa et l'infirmière, sous la lampe chauffante puis ils partent vers la pouponnière pour l'observer.
La gynécologue fait une échographie pour vérifier comment se positionne Bébé 2 (Léo). Il a la tête en bas mais pas tout à fait bien placé pour pouvoir crever ses membranes. Il a une main mal placée. On attend, ils essaient de faire des pressions externes pour le bouger. Ils parlent d'un docteur X qui a pris sa retraite récemment. Aucune douleur. Puis la gynécologue me demande de pousser pour voir comment ça se présente. Je ne comprends pas tout mais elle semble alors satisfaite de ce qu'elle voit. Elle parle des pierres au rein de mon médecin puis crève la piscine de Léo. Elle me dit que je devrai donner mon 250% pour sortir bébé. Prochaine contraction, pousse 2 fois (je pense) et hop Léo est sorti. Je ne peux pas dire que je sens 0 douleurs pendant les poussées mais vraiment pas au point d'invoquer Allah comme certaines femmes sur le département Papa ne sera pas arrivé à temps pour voir l'arrivée de son troisième rejeton...
Léo est mis sur moi, il se porte très bien. Pendant ce temps mon médecin s'occupe de mon placenta (euh mes placentas). Il sort tout le stock et nous montre les deux poches, la membrane et les 2 placentas avant d'enseigner les rudiments de la broderie à la résidente. Léo part aussi à la pouponnière puis papa revient pour nous dire qu'ils font un peu d'hypoglycémie; je dois m'extraire du colostrum. Je réussis à en obtenir une bonne quantité (quelques mL) et leur taux de sucre fait un fulgurant bond.
Le département Mère-Enfant est presqu'à pleine capacité mais nous avons quand même une chambre privée avec vue splendide sur le stationnement. Les garçons passeront leur première nuit à la pouponnière ou je vais les rejoindre à chaque fois qu'ils ont faim. Un moi version zombie s'extrait du colostrum et les gentilles infirmières complètent avec de la formule. Ils arrivent à notre chambre en début d'après-midi, juste avant la visite de leur grand frère et de mes parents. L'allaitement n'est pas aussi facile qu'avec Arthur mais je suis calme et zen, je sais que tout va s'arranger très bientôt.
Après 44h, tout le monde a congé. J'aurais cru rester une nuit supplémentaire étant donné qu'Henri ne buvait pas très bien et que Léo avait un thermostat douteux... mais finalement on est TELLEMENT mieux à la maison et tellement bien entourés.
  

Alors à mon tour de m inscrire!


Votre nickname : Islaf45
Votre vrai nom (pour cause de rencontre, courriel ou facebook !!) : Isabelle
Votre anniversaire (votre âge) : 30 avril
Lieu derésidence : Quebec
Date réelle d'accouchement (DPA) : 16 avril (22 avril)
Nombre de semaines de grossesse : 39,1 SA
Lieu d'accouchement : MDN de la capitale-nationale
Type d'accouchement :Vaginale
Prénom du bébé (sexe) : Samuel (garçon)
Poids/grandeur : 8,5 lbs / 51,5 cm
Particularités : Accouchement dans l'eau
Récit d'accouchement : A venir