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Groupe des parents qui ne vaccinent PAS leur enfants

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Clau2013

Inscrit le :
04 déc. 2012

Posté le: 22 décembre 2012 20:10:37 EST  
Allo les filles,

Merci de vos réponses. Finalement, j'ai remis le formulaire de l'école complété avec la vérité, toute la vérité. Vous avez raison. Et puis après tout, c'est bien vrai, si ce n'est pas obligatoire, ça veut quand même dire que nous avons le choix.

Pour le reste, comme par exemple à l'hôpital, là, je ne me sens pas du tout d'attaque à donner l'heure juste. Mon plus jeune y allé souvent, on devra y aller encore à quelques reprises (il a un problème de santé qui se corrige avec l'âge... mais en attendant, on devra encore voir des médecins) et quand je suis là, je me sens plutôt vulnérable, je dois l'avouer. Ce ne sera pas le temps de me faire raconter des histoires d'horreur par des pédiatres ou infirmières pour tenter de me convaincre de vacciner. Et y'en aura sûrement un à quelque part qui serait capable d'associer les problèmes de santé de mon garçon au fait qu'il n'est pas vacciné... alors que ça n'a aucun lien.

Bref, quand c'est possible, je suis tout-à-fait d'accord, dire la vérité s'avère le meilleur choix. Et c'est finalement ce que j'ai fait pour le formulaire à l'école. Si jamais une épidémie d'une maladie couverte par la vaccination survient, je garderai avec plaisir mon fils avec moi. J'assume entièrement ma décision de ne pas le vacciner.

Et pour le fait des écoles qui ont vacciné des enfants sans l'autorisation des parents... ce serait arrivé, effectivement. Mais il se peut aussi que ces cas ont été une erreur et que l'enfant ne savait juste pas qu'il devait refuser. C'est pour cette raison que j'ai reçu le conseil de garder mon enfant à la maison la journée où il y aura une vaccination à l'école. De cette façon, aucun risque d'erreur et ça facilite la vie de notre enfant en lui évitant d'être inconfortable à être le seul ou l'un des rares à ne pas se faire vacciner... avec toutes les questions qui viennent avec.


Merci encore à toutes celles qui ont pris le temps de me répondre. C'est apprécié.

Joyeuses Fêtes à vous toutes ainsi qu'à vos petits trésors! 

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Anonyme

Inscrit le :
18 nov. 2008

Posté le: 16 décembre 2012 11:20:55 EST  
Je voudrais ajouter ceci, mon fils a commencé la marternelle en septembre, et il est vacciné car nous le voulions.

Par contre, je ne fais pas donné le vaccin de la grippe car je le trouve inutile, ainsi que celui pour la gastro. Je choisis ceux que je veux faire donner et j'ai des regrets face à celui de la varicelle mais ce qui est fait est fait comme on dit.

ALors ce que je veux dire à CLAU c'est que lors de la scéance d'information à l'entrée des classe, nous avons eu droit au même papier qu'on vous a donné suivi du discours de l'infirmière de l'école. On a vite compris qu,Ils sont probablement pour la vaccination (le ton et la minère du discours) mais il fut clair qu'ils n'ont pas le choix de vivre avec les NON-vaccinés.

Ce qu'il nous a été dit:

-c'est votre choix de ne pas vacciner mais ils doivent être au courant. car en cas d'éclosion de maladie tel que la coqueluche (qui a repris du service) un enfant non-vacciné doit rester à la maison pour une période de 14 jours afin d'éviter la propagation de la maladie.

Eux doivent être au courant, pour appliquer les mesures du minstère de la santé public.

Tu peux surement trouver sur le net par la commissions scolaire et sur le site du ministère, des règles en vigeur si de tel cas ce produisent.

Si tu mens sur les infos, tu risques d'exposer ton enfant à la maladie et toi seule est le meilleure juge pour savoir ce que tu veux faire en de tel cas.

Je crois que le tout est une question de procédure et que l'école ne fait qu'appliquer les procédures mise en place par le gouvernement. J'ai eu la même feuille que toi et la même mention du: vous pouvez rattraper vous retard sur les vaccin.

L'infirmière de l'école nous a aussi dit: que beaucoup de parents OUBLIE involontairement des vaccins des rappels de vaccins, et qu'ils pesnent qu,Il est simplement trop tard, pour eux l'info est pertinente et ils doivent la communiquer.

En espérant, t'avoir éclairer un peu . 

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bellarosa

Inscrit le :
06 sept. 2010

Posté le: 15 décembre 2012 14:48:26 EST  
Bonjour clau2013, je comprends tout à fait comment vous vous sentez. Au départ je ne voulais pas vacciner mon garçon et personne ne m avait fait changer d idée jusqu'à ce que je rencontre un certain pédiatre au chul. Il nous à dit que ça devrait être criminel de ne pas vacciner notre enfant et il a tellement insisté que j'ai cédé. Premier vaccin à 6 mois et tout à bien été.

À son second vaccin à 8 mois, il à été très malade. Il ne faisait plus rien, ne me regardait plus, ne bougeait plus... jai eu très peur qu'il ne redevienne plus jamais comme avant. Je me suis alors encore plus renseignée et je me suis promis de ne plus jamais me laisser influencer comme ça. Par la suite mon fils n'a plus reçu aucun vaccins . Il a maintenant 4 ans.

J'ai aussi une fille qui n'a jamais été vaccinee. Mes enfants ne sont jamais malades mais dernièrement, je suis allée consulter à l'urgence pour mon fils et on m'a demandé si ses vaccins étaient à jour et j'ai rrépondu que non que jai choisi de ne pas le vacciner. L'infirmière n'a rien dit. Le médecin non plus.

Aussi, quand mon garçon a commencé le cpe on m'a demandé de remplir le même document que vous et j'ai juste écrit qu'il nétait pas vacciné. Je n'ai eu aucun commentaire la dessus. Je reçois par contre quelques fois des brochures sur la vaccination!

Comme il n'y a aucun vaccin obligatoire au Québec, ils ne peuvent rien faire. À part leur discours pour vous faire sentir coupable. Lorsque mon fils commencera la maternelle je vais dire la vérité et je suis sûre que je n'aurai pas de problème.

Donc, moi je vous dirais de ne pas trop vous en faire avec ça. Vous n'avez pas à vous justifier. C'est votre choix et cest tout!

Pour ce qui est des écoles qui vaccineraient sans le consentement des parents, je n'en reviens pas, j'espère que ce n'est pas vrai.

Bonne chance! 

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Chachou

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 11 décembre 2012 20:58:34 EST  

" Pour ceux dont la vaccination est manquante ou incomplète, vous pouvez prendre rendez-vous avec un pédiatre, votre médecin de famille ou le CSSS de votre territoire de résidence pour débuter ou poursuivre la vaccination."


Je ne crois pas que ce message soit un incitatif à faire vacciner. Le verbre utiliser est pouvez et non devez. Je crois que ça s'adresse plutôt à ceux qui veulent vacciner mais qui oublié à un moment de poursuivre la vaccination et qui croient qu'il est trop tard pour poursuivre la vaccination

Je ne crois pas que personne à l'école va te harcèler parce que tu n'as pas fait vacciner, honnêtement ils doivent avoir d'autres chats à fouetter. Et tu n'as pas expliquer pourquoi tu ne fais pas vacciner, il n'est pas vacciner, c'est tout. 

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Clau2013

Inscrit le :
04 déc. 2012

Posté le: 5 décembre 2012 10:59:10 EST  
Bon, j'ai retrouvé le fameux carnet de vaccination. J'ai rempli les quelques cases où j'ai des informations à mettre. Mais la grande majorité est vide!

J'aime pas trop le communiqué qui venait avec le tableau. Entre autre le paragraphe où il est écrit :

" Pour ceux dont la vaccination est manquante ou incomplète, vous pouvez prendre rendez-vous avec un pédiatre, votre médecin de famille ou le CSSS de votre territoire de résidence pour débuter ou poursuivre la vaccination."


Non mais! Cela se peut-il que si la vaccination est manquante, que ce soit tout-à-fait volontaire? J'ai juste peur du harcèlement...

bebe_eloi je te comprends de vouloir dire la vérité à l'hôpital, de toute façon, jouer franc-jeu sera toujours louable, sauf que... faut être prêt et fort!! Mon bébé, à l'âge d'un an environ a passé un test d'allergie au lait et au soya. Et après le test, l'allergologue m'a demandé si sa vaccination était à jour. Comme je DÉTESTE mentir, au lieu de dire "non, il n'est pas vacciné", j'ai simplement dit que j'avais un peu de retard sur le calendrier. C'est suite à sa réaction que je me suis dit que jamais je ne voudrais me battre avec les médecins là-dessus. Écoute, j'ai juste dit que j'avais du retard et il a bien failli se transformer en loup-garou! Il m'a dit d'un ton sévère qu'il me fallait être consciencieuse et rattraper le plus tôt possible ce retard. Il me l'a même répété quand je passais la porte en quittant son bureau.

Alors imagine si je lui avait dit que mon fils n'avais reçu aucun vaccin! Il aurait probablement appelé la sécurité pour me faire enfermé! Bon... j'exagère... mais pas tant que ça!

De plus, le fait que ton enfant soit vacciné ou pas ne devrait pas influencer le diagnostique d'une maladie car bien des enfants font des maladies pour lesquelles ils sont pourtant vaccinés! Comme pour la coqueluche par exemple. Enfin... c'est ce que je pense...

Alors je pense qu'il faut être drôlement prêt et fort pour avouer en plein hôpital que son enfant n'est pas vacciné.

Mais pour le moment... c'est l'école qui me concerne.  

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bebe_eloi

Inscrit le :
13 déc. 2010

Posté le: 5 décembre 2012 10:18:15 EST  
Bonjour Clau2013!

Je n'ai donné aucun vaccin à mon fils (2ans et demi) et je n'en donnerai aucin à ma fille qui vient de naître.

Moi je crois que j'indiquerai la vérité si ces données là me sont demandées...

Aussi, personnellement je n'ai jamais eu la question à l'hopital si les vaccins étaient à jour en fait j'y suis aller qu'une seule fois pour une pneumonie pour mon fils.

cependant, je crois que c'est important de mentionner que notre enfant n'est pas vacciné afin que le bon diagnostic soit établi. Si le médecin croit à tort que ton enfant est immunisé contre la méningite et c'est ce qu'il a peut-être le diagnostique et le traitement seront plus long à commencer et ça peut jouer sur la gravité et conséquences de certaines maladies.... Mais tout ça est bien personnel.

Pour ma part je n'enverrai pas mes enfants à l'école le jour où il y aura de la vaccination même si il font signer une feuille comme quoi on veut ou pas la vaccination... Il y a pliusieurs cas que les enfants ce sont faits vaccinner malgré l'opposition des parents... 

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Clau2013

Inscrit le :
04 déc. 2012

Posté le: 5 décembre 2012 09:12:10 EST  
Merci beaucoup les filles,

Je suis contente que malgré un ralentissement, ce forum est toujours vivant!

Bon... j'ai trouvé le groupe sur FB et j'ai demandé à en faire partie. En attenant, je dois me positionner face à l'école. Mais dans un premier temps: trouver ce foutu carnet de vaccination! Disons que pour mon aîné, y'a une partie qui est facile puisqu'il a quand même eu 3 vaccinations... j'ai des dates à inscrire dans la fiche... mais pour mon bébé, quand ce sera son tour... j'aurai rien à écrire! D'ici là toutefois j'aurai "testé" le système et je saurai sûrement comment manoeuvrer là-dedans.

Effectivement Sophie Bio, LA chose qui compte le plus pour moi c'est que mes enfants n'aient pas à subir de pression et d'autres problèmes découlant de mes choix. J'ai le sentiment de prendre la meilleure décision pour eux mais jusqu'à ce qu'ils soient en âge de comprendre, ça reste mes choix.

J'aime pas mentir. Mais c'est parfois utile. Mon petit dernier a eu à aller à l'hôpital à quelques reprises et à chaque fois qu'on me demande si ses vaccins sont à jour, évidemment, je réponds oui. Et ça s'arrête là. Je sais bien trop que si j'avais dit la vérité, je me serais acheté des problèmes. J'ai pas envie de partir en croisade avec le monde médical, avec des gens convaincus du contraire ce que je crois. Je ne suis pas missionnaire. Je veux juste la paix et surtout qu'on ne prive pas mon bébé des soins dont il a besoin parce que je "contreviens" au dogme de la vaccination. Je ne veux pas non plus qu'on me dise que lorsqu'il est malade, c'est justement parce qu'il n'est pas vacciné! Non, pour le moment, je ne me sens pas la force de mener cette bataille, alors je fais le dos rond, oui.

Mais d'un autre côté, je suis une personne honnête et je préfère toujours dire la vérité, c'est tellement plus simple. Alors au Québec, oui on a la Carte Soleil mais je ne sais pas à quel point les informations sur notre santé sont centralisées. En fait, il y a un projet qui date de plusieurs années de centraliser toutes les données santé des gens mais malheureusement (ou heureusement!), c'est pas encore fait. Alors tant qu'il n'y aura pas de dossier santé unique je pense que rassembler toutes les données d'un seul patient est encore long et complexe. C'est pourquoi je me demande si les services de santé vont réellement commencer à vérifier si toutes les infos de tous les enfants de la maternelle du Québec sont bien réelles. J'en doute...

D'un autre côté, au Québec effectivement, la vaccination n'étant pas obligatoire, je peux aussi m'appuyer sur cet aspect. Cependant, à mon sens, le fait qu'elle ne soit pas obligatoire, reste théorique. Dans le faits, c'est pas toujours aussi simple. On ne crie pas haut et fort "Mon enfant n'est pas vacciné" sans risquer de s'attirer des chicanes. Et c'est la raison même de ce forum. Si nous ressentons le besoin d'en discuter entre nous, c'est qu'on n'arrive pas à le faire aussi facilement parmi les gens en général. Pour ma part, je n'ai aucune amie qui partage mon point de vue. Alors nous n'abordons jamais ce sujet. Et elles ne savent pas non plus que je ne fais pas vacciner mes petits. Comme j'ai dit, je n'ai juste pas envie d'en discuter, je veux juste vivre en paix avec mes choix.

Merci de vos réponses, j'apprécie.

En espérant que je ce sujet de forum reste bien vivant car il m'a été bien utile. Il est rempli d'informations tellement intéressantes. Merci à toutes celles qui y participent! 

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 5 décembre 2012 02:47:12 EST  
Clau2013..
Je sais une chose, au Québec, il n'y a aucune vaccination obligatoire selon la loi. On ne peut donc pas te refuser ton enfant à l'école pour ça. Tu as deux solutions. Soit tu affrontes ça en te positionnant clairement du genre " faites moi passer les textes de loi selon lesquelles il y a des vaccinations obligatoires et lesquelles" , mais pour ça, il faut que tu aies les textes de loi qui justement précisent que les vaccinations ne sont pas obligatoires. Soit tu veux faire le dos rond et mentir aux services scolaires pour que on fiche la paix à tes enfants. Mais attention, je crois savoir que le système de soins au Québec fonctionne avec la Carte Soleil et que chaque fois que tu fais faire un acte médical à ton enfant, c'est cette Carte qui sert. Si tu mens, clairement, prends tes précautions pour savoir si ces services scolaires ou sociaux ne font pas de recoupements avec ta Carte Soleil. Parce que si ils ont la preuve que tu mens, les conséquences pourraient être plus graves que si tu te positionnes plus en opposition.

Je comprends parfaitement ton désir que tes enfants ne soient pas ostracisés, ni que tu ne sois harcelée ou que tes enfants soient vaccinés de force, je n'ai pas trouvé lors de mes recherches de pistes précises pour savoir quoi te conseiller. Mais sois prudente.

Sur le groupe INFO VACCIN PREVENAR sur Facebook, ( groupe créé par les parents de Stacy, 3 mois décédée 8 jours après une triple vaccination, Prevenar, Infanrix Hexa et Rotarix ) j'ai vu passer des commentaires d'une maman Québécoise qui disait qu'elle n'avait pas fait vacciner ses enfants. Et qu'elle n'avait pas de pb au Québec. Maintenant, comment elle a fait précisément, je ne sais pas. Peut être que tu pourrais venir lui poser la question dans le groupe en postant une question claire dans ce sens. Et ça servirait à tous les parents au Québec qui partagent ton point de vue.  

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lic0rne

Inscrit le :
04 août 2010

Posté le: 4 décembre 2012 23:14:16 EST  
Allo,
Je n'ai jamais eu à affronté à la maternelle car nous avons cessé la vaccination plus tard (et mes autres enfants ne sont pas à l'école), mais en 4e année, il y a une autre vaccination que nous avons refusé et nous avons eu aucun problème. Nous n'avions eu aucun probleme pour le H1N1 non-plus. Mais je redoute l'entrée a la maternelle de mes autres enfants...

Donne des nouvelles s'il y a des dénouements. 

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Clau2013

Inscrit le :
04 déc. 2012

Posté le: 4 décembre 2012 20:48:40 EST  
Vaccination et école.......
Bonjour à toutes,

J'ai lu toutes les pages de ce forum. Mais c'est ma première participation. Merci à toutes pour ces informations intéressantes, pertinentes, précieuses. De plus, de savoir que d'autres personnes partagent mon point de vue est rassurant. C'est effectivement un sujet tabou et je n'ai personne vraiment qui soit dans ma situation tout en partageant ma façon de voir les choses.

Le forum semble assez tranquille depuis les 3 derniers mois mais j'espère que quelqu'un passera et pourra me conseiller.

Je suis du Québec et j'ai deux garçons. Mon aîné est à la maternelle. Il a reçu ses vaccins de 2, 4 et 6 mois et puis je me suis mise à lire et à me questionner. J'ai assisté à 2 conférences de Céline Arsenault et j'ai lu ses livres. J'ai fait beaucoup de recherche et avec mon conjoint nous avons décidé de cesser la vaccination. Mon deuxième garçon est vierge de tout vaccin.

Jusqu'ici aucun problème. À la garderie, nous n'en avons jamais parlé ouvertement mais ma gardienne savait que nous ne suivions pas le calendrier vaccinal. Elle ne m'a fait aucun problème avec ça. Je savais bien par contre qu'avec l'école, tout ne serait pas si simple. Je m'attendais cependant à ce que ce soit plus tard et non déjà à la maternelle. J'ai reçu ce soir dans le sac de mon fils une fiche à remplir car le Centre de santé et de services sociaux veut s'assurer de la couverture vaccinale des enfants de maternelle. Je dois remplir la fiche en indiquant à quelle date il a eu tel ou tel vaccin. Il est aussi possible de cocher une case "Je refuse la vaccination".

Premièrement, je n'ai aucune idée de l'endroit où se trouve son carnet de vaccination! Ensuite, je veux bien écrire les dates des vaccins qu'il a eu, mais les autres? Je fais quoi? J'entre des dates qui pourraient logiquement correspondre au calendrier vaccinal ou j'écris qu'il ne les a pas eus? L'idée vous comprenez n'est pas de vouloir mentir mais je ne veux juste pas avoir de troubles, je ne veux pas que mon fils soit ostracisé pour ça, qu'on tente quand il sera plus vieux de le vacciner dans mon dos, etc. Je veux juste respecter mes valeurs sans avoir de problème avec l'école ou le Centre de santé.

Est-ce que cette situation est arrivée à l'une d'entre vous? Peut-on faire faire le parcours scolaire de nos enfants tranquillement tout en ne faisant pas vacciner? Je ne veux tellement pas faire de vagues, je veux juste faire ce que je crois être le mieux pour mes enfants.

Merci de me dire pour celles qui l'ont vécu, comment naviguer dans le milieu, quels sont les meilleurs moyens, ce qu'il faut dire ou ne pas dire, etc.


 

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 31 août 2012 02:42:14 EDT  
INFANRIX HEXA ALERTONS LES BEBES
Cette situation des garderies au Québec est hallucinante, dans la mesure où légalement, aucun directeur de garderie ne peut produire un texte qui dit que telle ou telle vaccination serait obligatoire....

INFANRIX HEXA ALERTONS LES BEBES


Le Journal Officiel du 26 mars 2008 nous a fait part que désormais, le vaccin INFANRIX HEXA (vaccin diphtérique, tétanique, coquelucheux, poliomyélite, Haemophilus Influenzae b et Hépatite B) allait être remboursé à 65% (prix public 40,76 Euros). Ce vaccin, fabriqué et commercialisé par les laboratoires Glaxo Smith Kline (GSK) depuis début 2004 est un vaccin dit hexavalent. C'est-à-dire qu'il contient les cinq valences vaccinales de l'INFANRIX QUINTA auxquelles on a adjoint la valence du vaccin contre l'Hépatite B.

Cette vaccination peut être officiellement utilisée chez le jeune nourrisson, jusqu'à l'âge de 36 mois, afin de l'immuniser contre l'hépatite B et cinq autres maladies d'un coup en la répétant, selon les recommandations du calendrier officiel des vaccinations , à trois reprises (2 mois, 4 mois et rappel entre 16 à 18 mois).

Cette nouvelle disposition du Ministère de la Santé est dans la suite logique de sa campagne de vaccination généralisée contre l'Hépatite B chez l'enfant, campagne qu'il a instaurée, sous l'égide de l'OMS, depuis les années 1994-1995, alors qu'il n'existait et qu'il n'existe toujours pas, dans notre pays, la moindre menace épidémique concernant cette infection, et particulièrement dans l'enfance. La mise à disposition gratuite et la banalisation de ce vaccin hexavalent qui en découlera est un pas de plus dans l'effort insistant de nos autorités sanitaires de vouloir à tout prix « protéger » toute une frange de la population qui n'est absolument pas concernée par cette infection qui se propage par voie sexuelle et sanguine.

Rappelons que deux vaccins hexavalents contenant la valence anti-hépatite B étaient commercialisés en Europe depuis l'année 2000, l'INFANRIX HEXA (Laboratoires GSK) et son concurrent français l'HEXAVAX (Aventis Pasteur-MSD). Rappelons aussi qu'une alerte sérieuse avait été lancée à propos de l'innocuité de ces vaccins par l'Agence Européenne du médicament (EMEA) en avril 2003. On apprenait alors que cinq observations de morts subites avaient été recensées dans les 48 heures qui avaient suivi une injection de rappel vaccinal hexavalent., sur une période de deux ans et demi en Allemagne et en Autriche, et ceci chez des enfants de plus d'un an (âge auquel la mort subite du nourrisson est exceptionnelle).L'agence française de pharmacovigilance (AFSSAPS), dans un communiqué ultérieur , se voulait rassurante en réaffirmant que « la balance bénéfice-risque de ces vaccins combinés, utilisés pour protéger contre six maladies infectieuses graves, demeurait favorable » et qu'aucun cas de mort subite ne lui avait été rapporté en France. Il était alors cependant troublant de lire, dans ce même communiqué, que le nombre de cas observés de morts subites en Allemagne, même s'il était peu élevé (quatre), était supérieur au nombre de cas attendus dans cette tranche d'âge et durant cette même période. Un reportage diffusé à l'automne 2007, sur la chaîne de télévision « ARTE », s'était d'ailleurs fait l'écho de ce sérieux problème .

Conséquence ou coïncidence, nous avons appris deux ans plus tard , que le vaccin HEXAVAC était retiré du marché. La raison officielle en était une variabilité des procédés de production du composant hépatite B qui pouvait à long terme diminuer l'efficacité des autres valences vaccinales qui y étaient associées.

Son concurrent, l'INFANRIX HEXA, se voit donc depuis, ouvertes les portes d'un marché vaccinal européen énorme. Sa prise en charge par l'Assurance maladie dans notre pays va venir bien sûr y booster ses ventes. En dehors de cet aspect commercial, des effets pervers sont cependant à redouter. Je passerai sur le coût occasionné à notre système d'Assurance maladie qui avait déjà largement souffert lors du lancement de cette campagne vaccinale universelle et au cours de laquelle trente millions de français avaient été abusivement vaccinés sous l'influence d'un marketing pro-vaccinal basé sur la peur et la désinformation. Je passerai sur le coût des examens, des hospitalisations et des indemnisations accordées aux centaines de victimes d'effets indésirables post-vaccinaux et qui risque de s'amplifier.

Le risque principal est ailleurs. L'inclusion du vaccin contre l'hépatite B dans un « kit polyvaccinal » fera passer la pilule en douceur, s'il l'on peut s'exprimer ainsi. Le médecin prescripteur n'aura même plus besoin de prononcer le mot qui fâche ou fait sursauter (hépatite B), il prescrira INFANRIX HEXA sur l'ordonnance et le tour sera joué. Le Ministère de la Santé espère bien sûr par cette technique astucieuse, sournoise diraient certains, augmenter la couverture vaccinale contre l'hépatite B dans notre pays, couverture qui plafonnait depuis le début de la campagne vaccinale chez le nourrisson aux alentours de 30 % malgré tous les messages officiels de réassurance sur l'innocuité totale de ce vaccin. Il va proposer une vaccination gratuite à une clientèle que l'on peut qualifier de captive, chez qui l'on pratique à plusieurs reprises des injections de vaccins en série sans ne plus trop savoir de quel vaccin il s'agit tant ils se multiplient d'année en année.

C'est à dire qu'en pratique, des nourrissons vont être vaccinés contre l'hépatite B sans que la plupart de leurs parents le sachent vraiment ou n'aient à dire ce qu'ils en pensent. Quelques mois ou années plus tard, certains d'entre eux découvrirons avec étonnement ou stupeur que leur enfant a été vacciné contre l'hépatite B sans qu'ils ne l'aient su ou qu'on les ait même informés. Autre cas de figure, des enfants risquent de recevoir deux fois le vaccin contre l'hépatite B, une fois avec cet INFANRIX HEXA (qui ne dit pas son nom) et une autre fois, de façon séparée et isolée, si jamais les parents vont voir un autre médecin qui ne prête pas attention et ne regarde que la case restée vide du vaccin hépatite B dans le carnet de santé.

Le code de déontologie du Conseil de l'Ordre des Médecins (CNOM) est en principe là pour veiller au grain . Je ne suis malheureusement pas persuadé que tous les praticiens respecteront ce droit du patient à l'information (ou de ses représentants pour un mineur) et s'autoriseront à penser, à la place des parents, que leurs convictions vaccinales en matière d'Hépatite B sont le meilleur choix pour tous les enfants qu'on leur confie. La rapidité excessive des consultations médicales découlant du paiement à l'acte, ne permettra pas de respecter souvent toute l'information nécessaire. La lassitude, la routine et la banalisation du geste vaccinal feront le reste. Les responsables du CNOM eux-mêmes assurent une complicité passive et bienveillante à ce manquement à la déontologie. Pour preuve en est un courrier adressé à ce sujet en recommandé au Président du Conseil national en date du 16 août 2008 pour lequel je n'ai eu l'honneur de ne recevoir que l'accusé de réception de la Poste.

Les autorités sanitaires se réjouissaient récemment de l'augmentation de ce qui est dénommée « couverture vaccinale » contre l'hépatite B chez les nourrissons français. Les données issues des certificats de santé du 24ème mois ont effectivement mis en évidence une majoration du pourcentage de jeunes enfants vaccinés. Ceux-ci étaient 34,5% à avoir reçu leurs trois doses en 2004 et étaient passés à 42% en 2007. Ce résultat jugé comme encourageant par les auteurs du rapport est mis sur le compte d'un « regain de confiance des familles et des médecins vis-à-vis du vaccin ». Il est surtout aussi dû au phénomène de la commercialisation du vaccin hexavalent depuis le début des années 2000 qui évite trois injections supplémentaires et mélange la valence vaccinale de l'hépatite B à une association de vaccins obligatoires (Diphtérie-Tétanos-Polio). La banalisation du vaccin hexavalent a également été facilitée par la suppression parallèle en juin 2008 par les autorités sanitaires du seul vaccin obligatoire commercialisé pour cet âge, le vaccin DTPolio. Le prétexte officiel était qu'il serait devenu brusquement responsable de fréquentes réactions allergiques, alors que celui-ci avait été utilisé depuis des dizaines d'années sans soucis de ce type (AMM délivrée en 1966). Ce tour de passe-passe a déjà été dénoncé et bien expliqué ailleurs .

Il faut enfin souligner que le calendrier vaccinal français actuel recommande de réaliser en plus et le même jour, en un site différent, le vaccin "PREVENAR" qui associe désormais treize valences différentes de Pneumocoques. C'est donc maintenant quasiment 6 + 13 = 19 valences vaccinales que l'on nous incite à injecter le même jour chez un nourrisson de 2 mois, au système immunitaire en pleine évolution. On peut bien évidemment rester très perplexe voire très inquiet sur les bienfaits à long terme de telles sollicitations immunitaires ultra précoces et répétitives.

Chacun connaît déjà les effets indésirables, sclérose en plaques (SEP), maladies auto-immunes, myofasciite à macrophages?qui ont été décrits dans les suites du vaccin contre l'hépatite B chez l'adulte. L'association REVAHB (Réseau des victimes du vaccin de l'Hépatite B) a grandement contribué à en recenser la liste. Cette association a pu jouer un rôle éminent de vaccinovigilance en France, en obligeant les organismes officiels de l'AFSSAPS à en reconnaître la réalité et à multiplier les études épidémiologiques. Ces effets indésirables, encore niés par la majorité du corps médical, n'ont pu être prouvés scientifiquement de façon formelle du fait de leur caractère finalement rare. Ceci nécessiterait des études statistiques sur de plus larges franges de population. Une seule étude, réalisée sur un échantillon de population britannique, s'est révélée nettement démonstrative , en retrouvant un risque multiplié par 3,1 de voir apparaître une SEP dans les trois années qui suivent une vaccination contre l'Hépatite B, par rapport à une population témoin non vaccinée.

Nos autorités sanitaires ont donc pris des précautions avant de relancer cette vaccination des nourrissons et des enfants. Une étude sur la population pédiatrique française atteinte de SEP a été publiée récemment et laisserait à penser que les SEP pédiatriques ne seraient pas plus fréquentes dans la population vaccinée contre l'hépatite B. Les critiques méthodologiques de ce papier sont indéniables . Cette étude permettra cependant à nos responsables sanitaires de se dédouaner en cas de problèmes post-vaccinal et de nier toute possibilité d'effet indésirable, publication scientifique à l'appui. Même si les problèmes de santé rencontrés chez l'enfant dans les suites de cette vaccination paraissant beaucoup plus exceptionnels que chez l'adulte, ils n'en sont pas moins graves. L'association REVAHB a malheureusement eu à en connaître quelques-uns, en dehors des SEP que l'on pointe trop facilement comme seul problème potentiel. D'autres manifestations neurologiques ont été rapportées : névrite optique, myélite, leuco-encéphalite, syndrome de Guillain Barré. Le laboratoire SKB a d'ailleurs été condamné par la Justice du Maroc pour la survenue quelques jours après un vaccin ENGERIX B de cette affection chez un jeune garçon de 19 mois qui en a gardé depuis des séquelles graves .

Les quelques observations de mort subite du nourrisson qui ont été rapportées en 2003 en Allemagne et en Autriche dans les heures suivant une injection de vaccin hexavalent HEXAVAC ne sont d'ailleurs malheureusement pas isolées. Plus récemment, en Inde, le vaccin habituel trivalent DTCoq a été remplacé dans certaines provinces, par un vaccin pentavalent (en y associant les vaccins contre l'Haemophilus Influenzae et l'hépatite B). Dès le début de cette campagne vaccinale, en 2008, des cas groupés de décès inopinés de nourrissons ont été rapportés : 3 au Pakistan, 8 au Bhoutan et 5 décès au Sri Lanka associés dans cette province à la survenue de 20 effets secondaires graves. Des responsables de la politique vaccinale indienne se sont émus de ces faits et ont donc saisi la justice de leur pays afin de faire interrompre ce changement de politique vaccinale qui leur paraissait par ailleurs peu justifié au vu des autres problèmes majeurs de santé des enfants Indous. Ceci a donné lieu à un article polémique dans lequel l'auteur les accusait surtout d'appartenir à un mouvement anti-vaccinal . Les réponses argumentées des responsables de la santé ainsi mis en accusation sont accessibles dans le même journal . Leurs auteurs soulignent avec justesse que la majorité des décès survenus ont été étiquetés un peu trop facilement presque tous « mort subite du nourrisson » par les experts de l'OMS. Pour cela ces derniers n'ont pas hésité à modifier les définitions habituelles de probabilité de la causalité éventuelle entre vaccin et effet secondaire. Les responsables Indous soulignent bien sûr de plus la sous-notification très probable de ces observations dans un pays où la Pharmacovigilance active n'est pas encore à l'ordre du jour, loin de là.

On ne voit d'ailleurs pas pourquoi une vaccination qui déclenche parfois des problèmes graves de santé chez l'adulte, personnes probablement prédisposées, serait totalement anodine chez le jeune enfant. Même si les manifestations sont différentes et semble-t-il beaucoup plus exceptionnelles, leur existence et leur gravité sont trop importantes pour que l'on puisse faire courir le moindre risque à un nourrisson en le vaccinant contre une maladie qu'il ne peut pas contracter à cet âge de la vie dans notre pays. Le prétexte de vouloir lui assurer une protection efficace à l'âge adulte, quelques vingt ou trente années plus tard est également un argument fallacieux. Des études de la protection immunitaire réalisées chez des adolescents Taïwanais vaccinés dans leur prime enfance montrent l'absence de toute mémoire immunitaire deux fois sur trois .

L'obstination dogmatique de nos autorités de Santé à vouloir faire vacciner toute la population infantile française contre l'Hépatite B les oblige à présent à promouvoir une vaccination banalisée, masquée qui ne dit pas son nom et engendrera volontairement la confusion chez beaucoup de parents. Si jamais de graves complications post-vaccinales sont à nouveau décrites chez le jeune enfant, comme on peut malheureusement le craindre, leur responsabilité sera à mettre au premier plan. Pourtant, le négationnisme de toute possibilité de complication post-vaccinale continuera d'être la vertu première des zélateurs infatigables du vaccin contre l'hépatite B. Au besoin les arguments mensongers continueront de fleurir (problème franco-français des SEP post-vaccinales, absence de myélinisation du nourrisson qui ne peut donc pas se démyéliniser?). Toute ressemblance avec des effets indésirables déjà décrits ne sera donc que le fruit du plus pur des hasards et le fameux rapport bénéfice/risque sera encore sauf?



Dr Dominique LE HOUÉZEC
Pédiatre
Conseiller médical REVAHB
6 rue du Gal. De Gaulle
93360 NEUILLY PLAISANCE
asso.revahb@orange.fr
 

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Coccinelle29

Inscrit le :
30 avr. 2008

Posté le: 29 août 2012 15:09:41 EDT  
Je trouve ça très discriminatoire. Mes enfants ont reçu tous leurs vaccins mais je ne me soucie pas de savoir si les enfants qui fréquentent le même service de garde qu'eux sont vaccinés ou pas. Ça ne me regarde pas. Certains parents devraient acheter une belle bulle de verre et enfermer leurs enfants dedans. De cette façon, ils seraient certains que les-vilains-enfants-pas-vaccinés ne contamineront pas les leurs. Pfff.............

La vaccination n'est pas obligatoire au Québec. Ce devrait donc être totalement interdit de mettre cette condition dans les services de garde. 

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Sarahpro

Inscrit le :
09 juil. 2011

Posté le: 29 août 2012 14:08:58 EDT  
Licorne :

Je vous comprends ! Mais c'est extrêmement fréquent. Dans mon coin, ce sont toutes les garderies en installation et la majorité des garderies en milieu familial qui exigent que l'enfant ait "son carnet de vaccination à jour".

Cette exigence douteuse part du principe que ce sont les vilains enfants non vaccinés qui propagent les maladies infantiles. Les responsables de ces garderies n'ont pas l'impression de faire de la discrimination, mais de protéger leur clientèle. Comme elles le font quand elles refusent qu'un enfant atteint d'une maladie contagieuse fréquente la garderie tant qu'il n'est pas guéri.

N'ayant pas fait vacciner mes filles, je trouve ça complètement ridicule, mais bon... il semble que ces garderies soient dans leur droit parce que nos enfants représentent un "risque potentiel", c'est-à-dire un éventuel surplus de travail (enfants malades), congé forcé à ses frais de la responsable (si elle était contaminée). 

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lic0rne

Inscrit le :
04 août 2010

Posté le: 29 août 2012 11:01:52 EDT  
Je suis perplexe ce matin... Je cherchais dans les banques de garderies (Au quebec) et j'ai vu deux garderies de mon coin qui demandent, dans les conditions d'admission que l'enfant soit vacciné. N'est-ce pas de la discrimination? Si on avait mis que l'enfant ne devais pas être musulman ou noir ce serait la même chose non? Avec un handicap ou une allergie sévère je peux comprendre parce que cela amène une augmentation de la tâche de l'éducatrice et peut parfois meme sortir de ses fonction ou aptitudes, mais là??? Est-ce normal que je sois perplexe? 

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 15 juillet 2012 16:02:27 EDT  
Deux articles de initiative citoyenne
http://www.initiativecitoyenne.be/article-vaccins-l-enorme-contradiction-des-autorites-canadiennes-107928510.html

http://www.initiativecitoyenne.be/article-aluminium-vaccinal-aveux-et-incoherence-de-l-academie-fran-aise-de-medecine-108152986.html

La suite pour les enfants exclus de l'école en France :

http://apartheid-ecole-allevard.dyndns.info/accueil

Madame Monsieur

Il est inadmissible de profiter de la vaccination des autres enfants pour ne pas avoir à vacciner les siens. Vos enfants peuvent contracter une maladie et le virus peut muter et contaminer les autres qui étaient vaccinés.

Vous mettez en danger toute la communauté.

Je vous conseille de contacter le Professeur Jean Paul Stahl au 04.76.76.89.34 au département d'infectiologie à l'hopital de la Tronche qui lutte actuellemnt contre une épidémie de rougeole qui a tué de nombreux adolescents en Isère depuis 2 ans dont certains étaient vaccinés. Tout ceci à cause d'autres jeunes qui n'étaient pas vaccinés.

Vous devriez réfléchir aux conséquences de vos choix.

Bien sincèrement.

Béatrice Béalem Conseillère ordinale conseil de l'Ordre des Chirurgiens Dentistes.

Voir la réponse de Rémi et Stéphanie les parents , à cette lettre sur leur site.  

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 14 juillet 2012 16:39:11 EDT  
Vacciner autrement ?
http://linabmoreco.wordpress.com/vacciner-autrement/

un article intéressant de l'auteur du documentaire Silence on vaccine. Les commentaires sur le forum des lecteurs (trices ) sont bien intéressants...



 

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 4 juillet 2012 16:33:39 EDT  
signature pour l'accord après ...
La signature pour l'accord des parents une fois que la vaccination est déjà faite, ce n'est pas seulement dégueulasse, c'est ILLEGAL. Il ne faut donc JAMAIS signer quoi que ce soit dans ces cas là, ET ATTAQUER AU TRIBUNAL n'importe quel professionnel de santé qui se permet une chose pareille.

Aussi longtemps que les parents accepteront de signer... ça continuera. En France, quand j'étais enfant, il y avait des vaccinations à la chaîne à l'école, mais depuis bien longtemps cela n'a plus lieu. Sans doute que des parents dont l'enfant a été vacciné dans ces conditions sans leur consentement et a malheureusement été victime d'effets secondaires graves a porté plainte, depuis, j'ai surtout le sentiment que les infirmières scolaires ou médecins scolaires en France ont tellement la trouille d'avoir une plainte d'un parent contre eux qu'ils n'osent pas donner le moindre médicament à un enfant sans l'accord express écrit du parent. ( pas une aspirine, un peu de glace sur les tempes par exemple )  

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Pattenrond

Inscrit le :
17 juin 2008

Posté le: 4 juillet 2012 11:24:41 EDT  
Cocococotte a écrit
Sophiebio; Je suis d'accord avec toi sur le fond. Encore faut-il être solide mentalement et émotivement lorsque les attaques surviennent


C'est tellement vrai! Je dois dire que j'ai flanchée devant celle-ci pour ma part... j'avais pas assez de force pour me battre contre le système. Au départ, je ne voulais pas vacciner, puis, à force de me faire chier dessur par la famille, on y est allé.

Déjà que j'avais accouchée à domicile pour ma fille, ma mère me pensais complètement folle de ne pas vouloir la vacciner! mdr J'avais refusé aussi l'ongent dans les yeux.

Enfin bref, c'est fait... c'est fait.

Mais j'en reviens juste pas qu'ils demandent de signer A`PRÈS que ce soit fait! C'est vraiment dégeu de leur part! 

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Cocococotte

Inscrit le :
10 déc. 2011

Posté le: 4 juillet 2012 06:11:20 EDT  
Je suis très heureuse du fait que mes enfants ne vont pas à l'école...Nous avons fait ce choix de vie et je n'ai pas à vivre cette peur que mes enfants soient vaccinés à mon insu comme ça arrive fréquemment ici au Québec (en tout cas, dans mon entourage j'en connais plusieurs qui ont été surpris de signer la "feuille de consentement de soin" de l'école APRÈS que leur enfant ait été vacciné)!!

Nous fréquentons plusieurs familles (qui ont des enfants non scolarisé comme les nôtres) pour des activités sociales ou éducatives et plusieurs ne font pas vacciner leurs enfants! Ça aide de se sentir compris et soutenu, même si souvent ce sont nos craintes de ne pas avoir fait le bon choix que nous partageons!

Il faut se soutenir entre nous! Smile  

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 4 juillet 2012 01:18:19 EDT  
Cocococotte
Tu as parfaitement raison sur la nécessité d'une solidité mentale au moment où se produisent les attaques. Nous devons encaisser de sacrés coups pour protéger nos enfants... Je partage aussi ton analyse, la problématique que je soulevais n'était que des raisons du débat qui parait parfois complètement stérile avec des professionnels de santé qui ne font que répéter comme des ânes le discours qu'on leur souffle à l'oreille.

Ne perdons donc pas de vue notre but, qu'on ne vaccine jamais nos enfants à notre insu et contre notre volonté, que leur santé soit la mieux protégée possible.

j'ai eu droit pour mes 3 enfants à du harcèlement de la part des médecins scolaires, auxquels je répétais inlassablement que non je ne ferais JAMAIS le ROR, ce vaccin n'étant pas obligatoire, par exemple, et la gravité de ces 3 maladies étant plus que discutable selon moi. Je ne faisais que leur répéter ' mais docteur, nous sommes bien d'accords, ce vaccin n'est en rien obligatoire ?" .

De même aujourd'hui, devant un médecin pro vaccins, je ne chercherai même pas à lui fournir mes sources d'informations, je me bornerai à lui répéter que, oui ou non, la loi Kouchner suppose le consentement libre et éclairé pour tout acte médical. Il ne peut que convenir que oui ...
 

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