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Groupe des parents qui ne vaccinent PAS leur enfants

Auteur Message

Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 10 septembre 2013 03:32:02 EDT  
térébentine a écrit
Bonjour,

Bon voilà, je reviens du CLSC avec ma fille. Donc lui faire donner les vaccins a été ma décision finale....
À chaque fois que la question se pose au sujet des vaccins, je réfléchis longuement. J'avoue que cette fois-ci, j'angoisse un peu plus (parce que j'ai pris connaissance de certains faits) et j'espère de tout coeur que tout se passera bien, comme pour les autres vaccins.
Je ne vous enverrai pas les liens de toutes mes lectures au fil du temps, car je pense que certaines l'ont très bien fait avant moi et aussi parce que des études pro vaccin contredisent d'autres qui sont anti vaccin...
En bref le cheminement dans ma décision est celui-là :

Les vaccins, ça fait peur, parce qu'il y a des cas (rares ou peu communs) de paralysie, effets secondaires graves ou décès.
Aussi parce qu'ils proviennent de grosses cie pharmaceutiques qui s'en mettent plein les poches. Au gouvernement, il y a aussi des gens malhonnêtes qui se graissent les poches.

Par contre : ces vaccins ont été mis sur le marché pour éviter ou en tout cas diminuer le risque (dans la majeure partie des cas je le crois) d'attraper des virus ou bactéries qui sont, pour la plupart, dangereux. On parle de décès 1 cas sur deux, pour certains, de complications graves et fréquentes, de dommages permanents au cerveau, etc.

Ce que j'en pense, c'est que malgré tout l'argent qui est en jeu avec ces vaccins et les gens malhonnêtes, je ne crois pas à la conspiration totale. Le gouvernement n'a pas intérêt à ce que ses citoyens meurent ou deviennent paraplégiques. Je pense que cela lui coûterait plus cher justement de ne pas faire vacciner les gens.

Il y a des cas de décès et de grosses réactions graves à ces vaccins, j'y crois. Cependant, je pense que le peu de risque qui y sont associés doivent correspondre au moins au même pourcentage de chances de réactions semblables ou de décès suite aux complications des maladies si on ne se fait pas vacciner et qu'on attrape la maladie.

On ne peut plus se fier sur la majeure partie de la population qui se fait vacciner pour se sentir à l'abri de ces maladies. Les personnes anti-vaccin (dont j'ai failli faire partie) et les immigrants. Je ne crois pas que tous les pays offrent les mêmes vaccins que nous et en plus beaucoup de monde, y compris les "anti vaccins" voyagent beaucoup. Donc ce n'est pas totalement vrai qu'on est protégé de maladies éradiquées du Québec si on a refusé de se faire vacciner.

Mais je suis d'accord aussi que ce n'est pas totalement vrai qu'on est 100% protégé de toutes les maladies pour lesquelles on a reçu les vaccins!

Je pense simplement qu'il y a des risques de chaque côté, peu importe si on décide de vacciner ou pas et on est obligé de vivre avec la peur et les conséquences de notre décision.

Je pense aussi qu'il y a des prédispositions génétiques à développer des troubles suite à une vaccination. Que cela peut délencher des troubles qui ne se seraient jamais manifestés sans la vaccination.
De mon côté, il ne semble y avoir personne de ma famille qui a eu des problèmes suite à une vaccination, ni de mort subite du nourrisson. Si ça avait été le cas, ma prise de décision n'aurait peut-être pas été la même.
Par contre, le fils de ma cousine a attrapé une méningite à 2 ou 3 semaines de vie, donc avant même d'avoir eu ses vaccins. Il a eu des dommages au cerveau et il a beaucoup de retard dans son développement. C'est sûr que cet évènement-là me touche et a une influence sur moi.

J'ai fait la "gaffe" de commencer à lire un témoignage sur un bébé de 2 mois qui a réagi gravement et est décédé. J'ai vu une photo et je suis encore traumatisée, et mon conjoint a dû me resaisir et remettre les pendules à l'heure avec moi car j'ai été beaucoup influencée sur le coup des émotions. Ên bout de ligne, ça n'a donc pas changé ma décision finale.Je suis consciente qu'on veule faire taire des cas comme celui-là et que beaucoup d'argent est en jeu. Mais je me dis encore une fois que s'il y avait eu vraiment beaucoup de cas le gouvernement n'aurait pas pu passer cela sous silence.
Je reviens encore pour dire que il y a des risques de chaque côté.

Je suis heureuse qu'on ait encore le choix au Québec de faire vacciner ou non. Mais je pèse les risques de chaque côté, peut-être que je n'ai pas assez fait de lectures, en tout cas ma décision est celle de faire vacciner pour les maladies que je juge nécessaire. La grippe, pour moi c'est non.
Et je respecte toutes celles qui ne font pas vacciner leur enfant.
C'est une décision difficile à prendre.

Mon long message n'était pas dans le but de me justifier ou d'influencer qui que ce soit. Je ne pense pas apporter de point nouveau mais peut-être aider quelques unes à se diriger dans leur cheminement de décision.
Bonne chance à toutes!
 


Je pense Térébentine que tu as agis en pensant faire le mieux pour ton bébé et que tu as cherché à le protéger. Tu ne dis pas quels vaccins il a reçu ni quel âge il a .

Personnellement, j'ajouterai qq bémols aux choses que tu as dites dans ton message, tu ne dis pas contre quelles maladies on t'aurait parlé de un décès sur deux enfants atteints, tu ne dis pas quelles sont les maladies qui t'ont fait plus peur que le vaccin pour ton bébé présentement au Canada. Je tiens à souligner que il faut réaliser que si qq chose de grave se passe, plus aucun médecin ne te soutiens, tu es seule avec ton enfant malade, handicapé ou décédé et pas un seul membre du corps médical pour accepter de le reconnaître, pour le soigner. Je veux dire, on sait soigner une rougeole, une rubéole et des oreillons, on ne sait pas soigner un enfant autiste, on subit, on sait soigner une polio, un tétanos et une diphtérie, et même une tuberculose mais on est encore bcp plus démunis devant une leucémie, par exemple. Et quand des atteintes neurologiques sont importantes, comme ça arrive qq fois, on ne sait pas non plus les soigner. Alors, si tu me parles de méningite, oui je suis d'accord, la méningite PEUT être une maladie sévère pour un enfant et peut laisser des séquelles non négligeables, la question est de savoir quel est exactement le risque que ton enfant contracte cette maladie, d'une part. Dans le cas que tu cites, le bébé était malheureusement bien trop petit pour qu'une quelconque vaccination ne le protège , si tant est que les vaccinations le font, parce que je pense que tu ne réalises pas qu'en réalité, on ne sait pas scientifiquement prouver aujourd'hui si les vaccins ont une efficacité et laquelle exactement.

Lors des essais cliniques avant mise sur le marché, on prend, il faut bien comprendre ça, qq milliers de personnes cobayes rémunérées, ces personnes sont triées pour être en bonne santé et on injecte le vaccin à ces personnes, et on les observe sur un temps très limité d'une part, de maximum un ou deux mois, guère plus. Rien n'est dit sur le futur de la santé de ces cobayes, personne n'en sait rien et les labos les premiers ne veulent surtout pas savoir quoi que ce soit qui puisse se passer dans la santé de ces cobayes au delà d'un temps qu'ils déterminent eux mêmes. D'une part. D'autre part, ils ne comparent jamais des personnes qui n'ont reçu aucun vaccin avec des personnes qui reçoivent tel ou tel vaccin. Par exemple, pour le Gardasil, ils ont comparé une population de plus de 20 000 jeunes femmes avec autant de jeunes femmes à qui ils ont injecté un placebo, ledit placebo étant l'adjuvant vaccinal du Gardasil, autant dire qu'ils ont obtenu ( et pour cause ) des résultats assez similaires dans les deux groupes, le groupe vacciné et le groupe dit témoin ( qui ne l'est en fait pas ) Ce qu'ils ne disent pas par exemple, c'est que sur les jeunes femmes vaccinées, 70 % d'entre elles ont signalé un changement notable dans leur état de santé suite à ce vaccin. Ensuite, ils mesurent sur les vaccinés le taux d'anticorps spécifiques, et partent du principe que cela confère une immunité si ce taux est au dessus d'un certain seuil. Or l'immunité est plus complexe que le seul taux d'anticorps, donc ça ne démontre pas grand chose. Et pour le Gardasil, le pompon, ils prétendent ensuite que si ce vaccin provoque un taux d'anticorps lambda, alors, non seulement les jeunes filles sont d'après eux immunisées contre le HPV mais qui plus est, elles ne feront pas de cancer du col dans 30 ans ( dans la réalité ils n'en savent pas grand chose, ils ne font qu'extrapoler mais ils ne sauront la vérité que dans 30 ans quand ils pourront mesurer combien de jeunes filles qui ont eu le Gardasil n'ont pas eu de cancer du col, comparativement à d'autres jeunes filles qui n'auraient pas reçu ni le Gardasil ni le Cervarix ) C'est sur la foi de telles hypothèses et extrapolations qu'ils vendent un vaccin au prix astronomique que plus de 400$ pour vacciner une seule personne, et que bien entendu, ils s'entendent avec les programmes de prise en charge pour que les assurances santé couvrent ce coût. Mais ne nous leurrons pas, les caisses d'assurance santé sont bien financées par nos taxes, nos impôts, notre argent, nos prélèvements, donc ils se servent bien dans nos poches pour finir.

Le cas du Gardasil est particulièrement flagrant, mais le pire , c'est que lorsqu'on commence à se pencher sérieusement sur la question des vaccins, on se rend compte que finalement pour tous les vaccins çà fonctionne pareil... l'exemple quej'ai pris plus haut du BCG ne démontre pas autre chose. Il a fallut 54 ans pour que l'obligation vaccinale du BCG soit levée en France, pendant ce temps là, je vous laisse imaginer les fortunes qui se sont faites sur les ventes de ce vaccin inefficace et probablement dangereux par dessus le marché.

Tu parlais de la méningite . Lis donc le point de vue de ce médecin sur les vaccins de la méningite C ( parce que je suppose que tu ignores qu'il n'existe pas UNE méningite mais DES méningites, certaines sont virales, d'autres sont bactériennes, et il existe des multitudes de souches, on ne peut juste décemment pas faire vacciner nos enfants contre toutes les souches existantes, sinon, ils seraient vaccinés tous les jours de l'année et encore . )

http://docteurdu16.blogspot.fr/2011/11/meningite-c-des-elements-pour-decider.html

Perso Térébentine, je comprends ce que tu veux dire lorsque tu parles de risques et de peurs que l'on doit avoir à gérer contre les différents choix qui s'offrent à nous, je voudrais juste souligner que dis toi bien que les médecins exagèrent largement les risques des maladies ( pour nous faire peur ) et sont bcp plus modérés concernant les risques des vaccins( pour nous rassurer ) mais qu'en fait, eux mêmes sont les premiers à ne pas avoir la bonne information, puisque le corps médical dans son entier ou presque, rejette toujours l'idée qu' un accident puisse être du à un vaccin lorsqu'un drame survient, pour une raison bien simple . Imagine, tu vaccines ton enfant avec le médecin Truc qui le vaccine. Ton enfant a un grave pb suite à ce vaccin, tu es convaincue que c'est du au vaccin. Vas donc voir le dr Truc pour lui demander de le certifier, il n'est pas fou, il ne va pas te donner des armes pour l'attaquer en justice, il niera. Si tu vas voir le Dr Machin, il te demandera qui a vacciné ton enfant. Et si il apprend que c'est le Dr Truc, il n'osera jamais écrire noir sur blanc que ce que tu subis est du au geste de son confrère, parce que si il faisait ça , le Dr Machin aurait aussitôt tous ses confrères contre lui et l'Ordre des Médecins qui le rappellerait aussiôt à l'ordre.

Tu n'es pas dans un monde raisonnable où les gens prennent leurs responsabilités, tu es dans un monde où les médecins, en cas de pb, se couvrent entre eux et cherchent à éviter un procès. D'accidents en accidents graves dissimulés ainsi, tu te doutes que les statistiques officielles sont complètement faussées. L'AFSSAPS en France, reconnait ainsi que sur les accidents post vaccinaux, on a un sous signalement notoire, et ils estiment que ce sous signalement est comparable à un iceberg, c'est à dire qu'on ne voit pas la majeure partie de la réalité, on ne voit qu'une infime partie . Ils ont estimé que on a des chiffres qui doivent être de l'ordre de 1 à 10% de la réalité. Parce que plus c'est grave ( mort ou handicap ) moins tu trouveras de médecins pour le reconnaître étant donné les enjeux juridiques . Et ça, ça explique que sur toutes les notices de vaccins tu as cette mention qui fait sourire ( si ce n'était dramatique ) qui précise que suite au vaccin , le sujet peut présenter un peu de température, une légère douleur au point d'injection, mais en gros que c'est normal et que tout rentre dans l'ordre dans les jours qui suivent l'injection . Mouais. Alors , si suite à un vaccin ton enfant a de la température pendant 48 h après l'injection, on te dira que c'est "normal" et que c'est une des conséquences classiques du vaccin. Mais si , comme Stacy, il meurt 8 jours après, on sera capable de te dire que ça n'a " rien à voir, " et que ça voulait probablement dire que l'enfant était malade avant de recevoir le vaccin, que le vaccin ne peut agir sur si peu de temps, qu'il faut au moins 15 jours etc.. or c'est profondément illogique, si ça peut provoquer de la température dans les 48 h qui suivent la vaccination, moi j'ai appris que la température, c'est signe d'une infection qq part, ça peut donc provoquer une infection qq part dans les 48 h et moi je dis que il peut se produire bcp de choses dans les semaines qui suivent l'injection et qu'en fait, les médecins ne savent pas ce qu'il va se passer, c'est juste une partie de roulette russe à chaque fois. Tu mentionnes qu'il doit y avoir des prédispositions génétiques. Je suis bien d'accord avec ça mais alors, pourquoi ne fait on, aucun examen avant de pratiquer un vaccin, pour tenter de détecter ces prédispositions génétiques là ou d'autres prédispositions pour tenter d'éviter les accidents post vaccinaux ? au lieu de ça, Terébentine,on vaccine tout le monde au même âge, comme si nous étions tous pareils, identiques sur le plan immunitaire. Je trouve que ça n'a aucun bon sens.

Quand un médecin administre un traitement ou un médicament à un enfant, quelque soit ce médicament, il adapte la dose à l'âge , au poids de son patient, il mesure et pèse attentivement les pour et les contre. Dès qu'on parle de vaccins, tout ce soupèsement n'existe plus, on vaccine ton enfant parce qu' il a tel ou tel âge, on se fout éperduement de sa spécificité, de son âge. Qu'il ait 2 mois et 1 an, il reçoit un vaccin rigoureusement identique. D'un coup , miraculeusement , à tel ou à tel âge, nous devenons tous identiques, et notre système immunitaire est réputé réagir de façon similaire. Juste ça, à la base c'est n'importe quoi.

Pour finir, je te proposerai de visionner avec le père de ton bébé cette vidéo qui jette un oeil critique sur la façon dont fonctionne le monde des médicaments, et encore ce reportage ne parle que des médicaments, même pas des vaccins. En fait, tu vois à travers ce reportage que les médecins ne savent en réalité que ce que les labos veulent bien leur dire. Quand tu achètes un aspirateur, le marchand va t'expliquer toutes les qualités de ton aspirateur, il te vantera les mérites de celui ci , à quel point c'est indispensable pour toi. Jamais il ne te dira que telle ou telle pièce a une fragilité particulière et que c'est bien souvent cette pièce là qui lâche, ça tu ne l'apprends que des mois plus tard lorsque ton aspirateur tombe en panne, à ce moment là, le dépanneur te dira " oui c'est toujours ça que je dois changer et ça vaut pas toujours le coup, vu que la pièce coûte la moitié du prix de l'aspirateur neuf". Pour les vaccins et les médicaments, les médecins ne discutent pas avec les dépanneurs, ils discutent avec les vendeurs.... et c'est tout.

http://www.youtube.com/watch?v=KAZx_gA8dRc

Ecoute ce reportage et écoute bien ce que le représentant du labo dit pour se justifier.

Et cette courte vidéo aussi :

http://www.youtube.com/watch?v=fYBf-nlxhFg

Au juste, quelle formation ont les médecins sur les vaccins ??

http://www.fondation-stacy.org/80+accident-post-vaccinal-je-netais-pas-assez-informee.html

Et lis ce témoignage de parents ", accident post vaccinal, je n'étais pas assez informée", lis bien les réactions de ce bébé et lis aussi comment les médecins font dans un tel cas.  

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terebentine

Inscrit le :
16 juil. 2009

Posté le: 9 septembre 2013 15:58:01 EDT  
Bonjour,

Bon voilà, je reviens du CLSC avec ma fille. Donc lui faire donner les vaccins a été ma décision finale....
À chaque fois que la question se pose au sujet des vaccins, je réfléchis longuement. J'avoue que cette fois-ci, j'angoisse un peu plus (parce que j'ai pris connaissance de certains faits) et j'espère de tout coeur que tout se passera bien, comme pour les autres vaccins.
Je ne vous enverrai pas les liens de toutes mes lectures au fil du temps, car je pense que certaines l'ont très bien fait avant moi et aussi parce que des études pro vaccin contredisent d'autres qui sont anti vaccin...
En bref le cheminement dans ma décision est celui-là :

Les vaccins, ça fait peur, parce qu'il y a des cas (rares ou peu communs) de paralysie, effets secondaires graves ou décès.
Aussi parce qu'ils proviennent de grosses cie pharmaceutiques qui s'en mettent plein les poches. Au gouvernement, il y a aussi des gens malhonnêtes qui se graissent les poches.

Par contre : ces vaccins ont été mis sur le marché pour éviter ou en tout cas diminuer le risque (dans la majeure partie des cas je le crois) d'attraper des virus ou bactéries qui sont, pour la plupart, dangereux. On parle de décès 1 cas sur deux, pour certains, de complications graves et fréquentes, de dommages permanents au cerveau, etc.

Ce que j'en pense, c'est que malgré tout l'argent qui est en jeu avec ces vaccins et les gens malhonnêtes, je ne crois pas à la conspiration totale. Le gouvernement n'a pas intérêt à ce que ses citoyens meurent ou deviennent paraplégiques. Je pense que cela lui coûterait plus cher justement de ne pas faire vacciner les gens.

Il y a des cas de décès et de grosses réactions graves à ces vaccins, j'y crois. Cependant, je pense que le peu de risque qui y sont associés doivent correspondre au moins au même pourcentage de chances de réactions semblables ou de décès suite aux complications des maladies si on ne se fait pas vacciner et qu'on attrape la maladie.

On ne peut plus se fier sur la majeure partie de la population qui se fait vacciner pour se sentir à l'abri de ces maladies. Les personnes anti-vaccin (dont j'ai failli faire partie) et les immigrants. Je ne crois pas que tous les pays offrent les mêmes vaccins que nous et en plus beaucoup de monde, y compris les "anti vaccins" voyagent beaucoup. Donc ce n'est pas totalement vrai qu'on est protégé de maladies éradiquées du Québec si on a refusé de se faire vacciner.

Mais je suis d'accord aussi que ce n'est pas totalement vrai qu'on est 100% protégé de toutes les maladies pour lesquelles on a reçu les vaccins!

Je pense simplement qu'il y a des risques de chaque côté, peu importe si on décide de vacciner ou pas et on est obligé de vivre avec la peur et les conséquences de notre décision.

Je pense aussi qu'il y a des prédispositions génétiques à développer des troubles suite à une vaccination. Que cela peut délencher des troubles qui ne se seraient jamais manifestés sans la vaccination.
De mon côté, il ne semble y avoir personne de ma famille qui a eu des problèmes suite à une vaccination, ni de mort subite du nourrisson. Si ça avait été le cas, ma prise de décision n'aurait peut-être pas été la même.
Par contre, le fils de ma cousine a attrapé une méningite à 2 ou 3 semaines de vie, donc avant même d'avoir eu ses vaccins. Il a eu des dommages au cerveau et il a beaucoup de retard dans son développement. C'est sûr que cet évènement-là me touche et a une influence sur moi.

J'ai fait la "gaffe" de commencer à lire un témoignage sur un bébé de 2 mois qui a réagi gravement et est décédé. J'ai vu une photo et je suis encore traumatisée, et mon conjoint a dû me resaisir et remettre les pendules à l'heure avec moi car j'ai été beaucoup influencée sur le coup des émotions. Ên bout de ligne, ça n'a donc pas changé ma décision finale.Je suis consciente qu'on veule faire taire des cas comme celui-là et que beaucoup d'argent est en jeu. Mais je me dis encore une fois que s'il y avait eu vraiment beaucoup de cas le gouvernement n'aurait pas pu passer cela sous silence.
Je reviens encore pour dire que il y a des risques de chaque côté.

Je suis heureuse qu'on ait encore le choix au Québec de faire vacciner ou non. Mais je pèse les risques de chaque côté, peut-être que je n'ai pas assez fait de lectures, en tout cas ma décision est celle de faire vacciner pour les maladies que je juge nécessaire. La grippe, pour moi c'est non.
Et je respecte toutes celles qui ne font pas vacciner leur enfant.
C'est une décision difficile à prendre.

Mon long message n'était pas dans le but de me justifier ou d'influencer qui que ce soit. Je ne pense pas apporter de point nouveau mais peut-être aider quelques unes à se diriger dans leur cheminement de décision.
Bonne chance à toutes!
 

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Skit

Inscrit le :
08 août 2013

Posté le: 8 septembre 2013 22:46:36 EDT  
Salut les filles !
Et puis, Térébentine, comment avance ta réflexion ?
Merci Sophiebio. J'ai lu plusieurs fois ta réponse, c'est le genre de faits que j'avais envie de lire ! J'ai aussi relu un de tes derniers post qui traite de la rougeole, ça répond aussi qux interrogations que je soulevais, mais j'avais dû lire trop vite la 1e fois, je n'avais pas tout saisi. Bref, merci. Je serai ta fidèle lectrice si tu veux partager autre chose dans les prochaines semaines...ou mois.

Je ne sais plus qui ici a donné l'adresse internet du livre complet et gratuit : Des enfants sains, même sans médecins. Je suis donc en train de le lire. J'adore ! Je ne suis pas encore rendu au bout sur les vaccins, mais j'adore sa vision de l'accouchement, de l'allaitement, des antibios, de la fièvre... Je vous en reparlerai ! 

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terebentine

Inscrit le :
16 juil. 2009

Posté le: 1 septembre 2013 22:03:37 EDT  
merci Sophiebio 

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 1 septembre 2013 16:59:39 EDT  

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 1 septembre 2013 11:39:58 EDT  
Skit, tu dis que :

"Par contre, j'ai lu ici que plusieurs d'entre vous croient que les vaccins ne sont pas efficaces. Qu'ils ne protègent pas des maladies. J'avoue que j'en doute. J'ai lu que dans les pays où la couverture vaccinale diminuait, le nombre de malades augmentait. Une maman avait soulevé ce point (il y a plusieurs..années p-ê? ). Aussi, plusieurs ont dit que maintenant que tout le monde est vacciné contre la varicelle au Québec, il est plus difficile pour les enfants de l'attraper (donc plus dangereux, car pas d'immunité pour la vie et danger de l'attraper à l'âge adulte). Si on dit ça, c'est qu'on croit donc que la vaccination protège de la varicelle, non ? Sinon, il y aurait autant de cas de varicelle qu'avant qu'on ait commencé la vaccination. Je comprends qu'un vaccin ne protège pas tout le monde, ni pour toujours."

Tout d'abord chapeau de t'être tapé les 70 pages du forum , ça a du te prendre du temps !!
Ensuite, tu cites donc la varicelle, en disant que depuis qu'on vaccine, alors le nombre de cas a diminué. le pb est que les deux évènements se sont passés conjointement, mais que pour autant, on n'a pas la preuve irréfutable que ce soit lié. D'autres exemples un peu similaires, en France, on vacciner tous les enfants avec le ROR depuis en gros le début des années 80. Le nombre de cas de rougeole, d'oreillons et de rubéole ont diminué. Mais d'un coup, depuis 2009, la rougeole a repris du poil de la bête, sans que les pédiatres n'aient changé un iota à leurs pratiques vaccinales, je veux dire la couverture vaccinale est la même concernant la rougeole aujourd'hui qu'en 2005, par exemple. Dernièrement, on entend parler de recrudescence de cas d'oreillons , pourtant, la situation est identique.
Alors pour essayer de faire court, je dirais que les fabricants de vaccins et les agences gouvernementales cherchent à obtenir par les injections de substances qu'ils appellent vaccins, une réponse immunitaire, avec la production d'anticorps. Mais ce qui est étrange, c'est que nulle part dans la littérature immunologiste, cette fameuse production d'anticorps spécifique prouve que cela immunise. Quand on teste un vaccin, on innocule la maladie atténuée, et on PART DU PRINCIPE que si on observe une augmentation du taux d'anticorps sur un nombre significatifs de personnes, ALORS ces personnes ne peuvent attraper la maladie, mais jamais on ne confronte ces sujets à des personnes malades, pour vérifier si effectivement c'est efficace à tous les coups. De plus , les virus et les maladies, et les souches mutent, donc changent. Ainsi , dans le Prevenar première génération, il y avait 7 souches, très rapidement, on s'est aperçu que ces 7 souches ( sélectionnées sur plus de 100 souches de pneumocoques ) étaient devenues quasi inoffensives, MAIS que d'autres souches auparavant inoffensives, sont devenues plus virulentes. Donc, on a modifié les souches dans le Prevenar qui en contient maintenant non plus 7 mais 13. On peut légitimement se demander si dans 10 ans , ou plus ou moins, il ne faudra pas inventer un nouveau prevenar comprenant encore plus de souches et différentes une nouvelle fois.

De plus il faut aussi savoir que lors des essais cliniques avant mise sur le marché, on n'observe les effets indésirables graves possibles que sur un petit échantillons de sujets, et sur un temps très courts ( qq semaines tout au plus ) On ne fait aucune observation sur 20 ans par exemple, et on n'excède guère plus que 4 ou 7 semaines dans les phases d'observation. Donc, on n'a pas de recul, c'est clair, et chaque fois qu'un nouveau vaccin est mis sur le marché, c'est une expérimentation à large échelle qui permet de détecter les éventuels effets indésirables graves de manière plus précise ( par ex , si on te dit que tel accident vaccinal se produit un cas sur 1 million, ça veut dire que on a admis que sur 1 million de vaccinés, il s'est présenté un cas qu'on a reconnu comme tel ( combien passés sous silence, combien niés, ça on n'en sait rien bien sur ) Pareil quand on te parle d'efficacité, on ne parle que du taux d'anticorps constaté, MAIS on oublie de te dire que un certain nombre de personnes ne produisent pas toujours les anticorps qu'on attend d'eux, malgré une, deux , trois ou plusieurs rappels et encore moins que certains ont ce taux d'anticorps qui se produit mais pour autant attrapent la maladie quand même par la suite, je veux dire par là que les chiffres d'efficacité et d'inocuité que brandissent les labos ne reflètent pas la réalité mais reflètent la réalité qui les arrangent pour vendre leurs produits;

Alors, pour revenir au vaccin varicelle, et sachant les techniques habituelles de mise sur le marché des vaccins, je ne serais pas étonnée, d'apprendre par exemple, qu'ils aient attendu d'observer un net recul naturel de la maladie pour lancer leur vaccin à ce moment là, et ensuite de s'approprier le mérite de cette décroissance.

Exemple sur lequel on a un peu plus de recul : le BCG a été obligatoire en France pendant 54 ans, l'obligation a été levée en 2007. Mais en fait, deux pb au moins : la Hollande et l'Allemagne n'ont jamais eu ce vaccin obligatoire, et la Hollande par exemple, a de meilleurs résultats que le France en matière de taux de maladie ( tuberculose ) que la France. de plus la tuberculose n'est pas une maladie immunisante, autrement dit, on ne voit pas bien comment un vaccin aurait pu avoir une quelconque efficacité. Par ailleurs, depuis les années 80 , crise économique aidant, la tuberculose est devenue plus préoccupante en France, POURTANT on a continué de vacciner tous les enfants et ça faisait des décennies qu'on le faisait. Quand on a commencé la vaccination, d'autres changements majeurs ont aussi eu lieu, comme la reconstruction d'une grande partie du pays suite à la Seconde Guerre Mondiale, donc logements sociaux en masse, et d'autre part, la généralisation de l'installation du chauffage central, de l'équipement des logements en salle de bain et accès à l'eau courante, etc.... Alors, on pourrait se demander si la baisse phénoménale de nombre de cas de tuberculose n'a pas été due à ces progrès sociaux majeurs, puisque avec le retour de la misère, de la pauvreté, et de l'augmentation effarante du nombre de sdf en France, alors malgré une couverture vaccinale proche de 100% , la maladie a repris du poil de la bête. Je pense donc que la levée de l'obligation en 2007, c'est pour pouvoir affirmer mensongèrement par la suite que si il y a plus de cas, c'est que moins de gens se font vacciner. Et on observe ça très souvent.  

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 1 septembre 2013 11:10:13 EDT  
térébentine a écrit
Wow mon 2e bébé aura son vaccin de 12 mois la semaine prochaine... Crying or Very sad Crying or Very sad
J'ai peur, j'aurais dû vous lire avant.....

Désolé je n'ai pas le temps de tout lire....
quelqu'un peut m'aider ?
J'aimerais savoir si des parents d'enfants tout à faits normaux ont noté, dans les jours qui ont suivi le vaccin, des changements au niveau du comportement de leur bambin, et qui a été diagnostiqué autiste par la suite...ou est devenu allergique à tout???
Une maman apeurée 


TEREBENTINE je te propose de nous rejoindre sur la page Facebook INFO VACCIN PREVENAR qui , contrairement à son nom; donne des infos sur TOUS les vaccins et toutes les vaccinations, pas que sur le PREVENAR. Tu trouveras là bas des dizaines de témoignages de parents qui disent avoir constaté un net changement de comportement de leurs enfants suite à une vaccination ( souvent le ROR mais pas que celui là ) . Tu pourras poser tes questions directement, pour info, cette page a été créée par Raphael Sirjacobs et Beatrice Dupont il y a presque deux ans, peu de temps après avoir perdu une de leurs jumelles, décédée dans des circonstances assez suspectes quant aux vaccins , vu que elle avait reçu 8 jours avant son décès le INFANRIX HEXA, le PREVENAR 13 et le ROTARIX par voie orale, tout çà le même jour. Ils sont encore en cours de procédure, figure toi qu'on leur a refusé l'autopsie de leur bébé , même étant donné le décès brutal. Leur autre jumelle va bien, mais elle a aussi présenté des troubles dans les jours qui ont suivi la vaccination. Dans ce groupe, tu as bcp de fichiers qui te donnent ces infos.

Tu peux aussi lire cette lettre intitulée "lettre d'une mère inquiète à son médecin" , écrite par une des mamans qui va sur INFO VACCIN PREVENAR, elle a été publiée sur le site OSERLEDIRE, créé aussi par Raphael et Béatrice. Et dans d'autres endroits.

Bon courage dans tes recherches, sache que tu n'as aucune, mais alors aucune obligation d'accepter le moindre vaccin sur ton enfant, si tu vis au Canada, c'est juste contradictoire avec la Constitution et de plus c'est contraire aux droits les plus élémentaires des patients.

 

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Skit

Inscrit le :
08 août 2013

Posté le: 1 septembre 2013 07:49:34 EDT  
Salut!
Bon alors là, je vais me contredire et te conseiller le film Silence on vaccine, que tu peux trouver sur you Tube. Ça répond exactement à ce que tu demandes. Par contre selon moi, c'est loin d'être suffisant pour prendre ta décision. Mais ça va te donner le goût de continuer à te renseigner. En page 3 de ce forum, il y a une liste de références à lire. Et les opinions des mamans renseignées sont très intéressantes. Si tu hésites, annule le rendez-vous. Il sera toujours temps de reprendre le rendez-vous plus tard, quand tu auras eu le temps de prendre une décision éclairée. À ta place, je donnerais une excuse bidon, ou mieux, ne donne pas de raison et dis juste que tu ne peux pas te présenter à ce rendez-vous et que tu vas rappeler pour en reprendre un. 

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terebentine

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16 juil. 2009

Posté le: 31 août 2013 21:46:14 EDT  
Wow mon 2e bébé aura son vaccin de 12 mois la semaine prochaine... Crying or Very sad Crying or Very sad
J'ai peur, j'aurais dû vous lire avant.....

Désolé je n'ai pas le temps de tout lire....
quelqu'un peut m'aider ?
J'aimerais savoir si des parents d'enfants tout à faits normaux ont noté, dans les jours qui ont suivi le vaccin, des changements au niveau du comportement de leur bambin, et qui a été diagnostiqué autiste par la suite...ou est devenu allergique à tout???
Une maman apeurée 

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Skit

Inscrit le :
08 août 2013

Posté le: 31 août 2013 21:01:02 EDT  
Fiou !! Ça fait des semaines que j'ai commencé la lecture intégrale de ce forum...je viens d'arriver à la fin ! (Oui, j'ai lu des bouts des références en diagonale....je m'en garde pour plus tard) Super intéressant, merci à toutes, principalement à Mari, Yin yan, Maé et bien sûr, Sophiebio...et j'en oublie sûrement d'autres qui m'ont inspirée.

C'est spécial de vous lire des années plus tard...ça m'a fait repenser aux paniques concernant la grippe aviaire, la grippe porcine, le H1N1, la rougeole de 2011. Heureusement, je n'avais pas encore d'enfant, car bien que je penchais en faveur de la non-vaccination, je ne sais pas si j'aurais pu résister à toutes ces campagnes de peur en étant peu informée. Maintenant que je le suis mieux, j'ai confiance de ne jamais faire vacciner ma fille.

J'ai eu plein de pensées, de réflexions, de commentaires qu fil de ma lecture, mais je ne peux pas tout partager... parce que je ne me souviens pas de tout ce à quoi j'ai pensé et aussi que je ne peux pas trop répondre à un questionnement lancé il y a 4 ans !! Je vous lance donc en vrac quelques commentaires.

Contrairement à beaucoup d'entre vous, je n'ai pas trippé sur le film «Silence on vaccine». Je trouve qu'il joue aussi la carte de la peur, mais contrairement à notre système médical et pharmaceutique, la peur des vaccins plutôt que celle des maladies. Je n'aime pas l'approche. Et je trouve que ça manque de faits pour convaincre...mais bon suite à d'autres lectures, j'ai bien peur qu'il y ait bel et bien un lien entre autisme et vaccination. Et si mon médecin me dit que ce n'est pas prouvé, je lui demanderai si c'est prouvé qu'il n'y a aucun lien (Et ça ne l'est pas) et que tant qu'on ne le saura pas, je ne ferai pas vacciner mon enfant.

En 2011, pendant la supposée épidémie de rougeole, mon droit d'accepter ou non un vaccin de façon libre et éclairée a été drôlement compromis. Quelqu'un parlait plus haut que pour être ambulancier ou infirmière (je ne me souviens plus), il fallait présenter son carnet de vaccination à jour... Libre et éclairée mon ***...En tout cas. Ça m'a fait penser à mon cas. Je suis enseignante et on nous obligeait à présenter une preuve de vaccination ou à se faire vacciner contre la rougeole. Ou revacciner si on ne trouvait plus la preuve. Ils nous assuraient que ce n'est pas grave de se faire vacciner 2 fois. Et si on refusait de le faire, c'était notre droit bien sûr, mais s'il y avait un cas de rougeole à l'école, on était à la maison sans salaire pendant 2 semaines. Erk. Eh bien je m'en suis sortie en disant, le jour de la vaccination, que j'étais peut-être enceinte. Nous étions effectivement en essai pour bébé, mais à l'avenir, c'est ce que je dirai si la situation se reproduit ! Je n'ai pas été vaccinée et je n'ai pas eu de trouble !

Pour répondre à Reclai, si ce n'est pas trop tard, c'est certain que tu peux refuser !!! Et comment ça il t'a pratiquement obligé ? J'imagine qu'il t'a mis beaucoup de pression pour te faire sentir obligée, mais il ne peut pas te forcer. En fait, même si tu allais au rendez-vous de vaccination, que l'infirmière mettait le vaccin dans la seringue et s'approchait de ton enfant, il ne serait pas trop tard pour refuser !!! C'est comme pour faire l'amour ! Tu invites un garçon chez toi, tu te mets tout nu, vous vous caressez...et tout à coup tu n'as plus envie. C'est presque trop tard en effet, mais tu as le droit de changer d'idée n'importe quand et de refuser !! Et un garçon qui te met de la pression et qui te dit que c'est trop tard, qu'il est trop excité et que tu es obligé...eh bien c'est un salaud. C'est ce que vous enseignerez à vos filles, non ? Non, mais, quelle belle analogie ! Je suis en feu !

Autre chose : je comprends qu'un vaccin de protège pas à 100%. Que plusieurs personnes vaccinées ont eu les maladies pour lesquelles elles étaient vaccinés. Surtout pour ce qui est de la coqueluche, du H1N1... Que parfois même ce sont probablement les vaccins qui donnent les maladies (tout médecin jurerait que c'est IMPOSSIBLE...mais comment nier tous ces témoignages de gens qui ont attrapé la grippe dans les jours suivants la vaccination...?) Je comprends que Pasteur avec «l'invention» du vaccin contre la rage, que l'éradication de la variole par la miraculeuse vaccination...c'est pas mal de la bullshit. Je comprends que plusieurs maladies étaient déjà en train de décliner quand le vaccin a été introduit. Je trouve que les vaccinations de masse, c'est une solution vraiment nulle, qui fait que les maladies de la petite enfance peuvent être attrapées à l'âge adulte et que les bébés ne sont plus protégés par les anticorps de la mère, étant donné qu'elle n'a jamais eu la rougeole, par exemple.
Par contre, j'ai lu ici que plusieurs d'entre vous croient que les vaccins ne sont pas efficaces. Qu'ils ne protègent pas des maladies. J'avoue que j'en doute. J'ai lu que dans les pays où la couverture vaccinale diminuait, le nombre de malades augmentait. Une maman avait soulevé ce point (il y a plusieurs..années p-ê? ). Aussi, plusieurs ont dit que maintenant que tout le monde est vacciné contre la varicelle au Québec, il est plus difficile pour les enfants de l'attraper (donc plus dangereux, car pas d'immunité pour la vie et danger de l'attraper à l'âge adulte). Si on dit ça, c'est qu'on croit donc que la vaccination protège de la varicelle, non ? Sinon, il y aurait autant de cas de varicelle qu'avant qu'on ait commencé la vaccination. Je comprends qu'un vaccin ne protège pas tout le monde, ni pour toujours.

Mais...je crois que les vaccins protègent contre les maladies. Que ma fille aura p-ê plus de chance d'attraper la rougeole ou la coqueluche qu'un enfant vacciné. Si quelqu'un est en désaccord avec moi, ça me fera plaisir de me faire convaincre du contraire.
Par contre, cette protection n'est pas sans risque. Et une rougeole, ça se guérit bien je crois. Contrairement à une slérose en plaque. À l'autisme. L'asthme. Les allergies. Le cancer (qui sait ?). La mort subite du nourrisson.

Bon ça suffit pour ce soir. Mais ça me ferait vraiment plaisir que les discussions sur ce forum repartent de plus belle !!
 

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Thalley

Inscrit le :
09 nov. 2005

Posté le: 12 août 2013 14:23:33 EDT  
reclai a écrit
Bonjour,
J'ai failli être comme vous, j'ai décidé de ne pas faire vacciner mon bébé dès la naissance. C'est ce que je me suis dis mais apparemment, mon pédiatre m'a pratiquement obligé.
Est ce que je peux encore refusé?  


Euh oui, sans aucun doute...Beaucoup de médecins vont essayer de vous faire sentir obligé de faire vacciner vos enfants...Sauf qu'il n'existe pas de loi au Québec pour le faire...
Le médecin de mes enfants commence à me refaire la morale au sujet des vaccins...Elle me lâche sa phrase (aux 2 rdv de mes enfants) que si un jours mes enfants veulent aller en voyage dans des endroits comme l'Étiopie ou Afrique, ect, ils devront avoir toute leur batterie de vaccins !!! Eh ben, ils choisiront une autre destinations dans ce cas...C'est pas tout le monde qui se sent interpellé par l'aide humanitaire...Au pire si ça leur tient à coeur, ils iront se la faire donner au complet...Mais ce sera leur décision dans ce cas-là !!!
Mais moi, ça me pue au nez les gens qui essaie de te faire sentir coupable de faire des choix qui diffèrent de la majorité !!!
Comme dans le cas des écoles, c'est vraiment niaiseux de penser que si ton enfant non-vacciné amène un virus (grippe ou gastro), c'est de SA faute si les autres l'attrape...Si le vaccin est si effice, ils ne devraient rien attrapper les enfants vaccinés !! 

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 7 juin 2013 03:08:38 EDT  
"Bonjour,
J'ai failli être comme vous, j'ai décidé de ne pas faire vacciner mon bébé dès la naissance. C'est ce que je me suis dis mais apparemment, mon pédiatre m'a pratiquement obligé.
Est ce que je peux encore refusé? "

Bin j'espère bien oui votre pédiatre oublie qu'il doit obtenir le consentement libre et éclairé. Dans quel pays vivez vous ?
 

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reclai

Inscrit le :
20 janv. 2013

Posté le: 6 juin 2013 06:53:50 EDT  
Vaccin
Bonjour,
J'ai failli être comme vous, j'ai décidé de ne pas faire vacciner mon bébé dès la naissance. C'est ce que je me suis dis mais apparemment, mon pédiatre m'a pratiquement obligé.
Est ce que je peux encore refusé?  

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 29 janvier 2013 12:33:05 EST  
Enfants paralysées en Afrique suite à une vaccination
http://www.initiativecitoyenne.be/article-des-enfants-africains-toujours-paralyses-apres-des-vaccins-ce-serait-dans-leur-tete-selon-les-aut-114797164.html

Des enfants africains toujours paralysés après des vaccins


Pour le gouvernement « tout est dans leur tête »


Christina England, 25 janvier 2013


« Ils ont voulu des preuves que la tragédie s'est bel et bien passée, et nous les leur avons fournies. 500 enfants ont reçu le vaccin contre la méningite en Afrique, 106 enfants sont tombés gravement malades, 38 ont été paralysés. Aujourd'hui, la chose a été finalement confirmée par le gouvernement, mais ils prétendent que LE VACCIN N'EST PAS EN CAUSE, que tout est dans leurs têtes. N'avons-nous déjà pas vu cette explication quelque part ?? » Christina England

ça s'est passé en décembre 2012, au Tchad, mais qui en a parlé dans les organes de presse en occident ? Personne.  

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 29 janvier 2013 12:28:24 EST  
Ordre des médecins
http://www.initiativecitoyenne.be/article-l-ordre-des-medecins-l-improbable-reforme-107375188.html

Ordre des médecins, l'improbable réforme.

TRES BON article de Initiative Citoyenne  

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 20 janvier 2013 13:17:45 EST  
Intervention du patron de l'ANSM au Sénat Français
Le patron de l'Agence du médicament défend l'utilité des vaccins

Le 16 janvier 2013, l'AFP annonçait à tous le médias que le Pr Dominique
Maraninchi, directeur général de l'Agence du médicament (ANSM), venait de défendre
devant la commission des affaires sociales du Sénat l'utilité des vaccins commercialisés en
France, même s'ils peuvent comporter des risques.
Son discours était hésitant, sans idée conductrice, souvent incohérent et il était facile
de constater qu'il connaissait peu de choses sur la question, à part les informations données
par les laboratoires.
« Il n'y a pas de discussion sur les bénéfices » de ces vaccins, « majeurs pour les
individus et la société », a-t-il insisté, en assurant qu'ils avaient permis de « sauver des
millions de vies ». Il est certain qu'il ignorait que la plupart des maladies infectieuses
avaient disparu spontanément, sans l'aide des vaccins, arrivés après ces régressions, mais
qu'on leur attribue néanmoins.
Le Pr Maraninchi a également affirmé que tous les vaccins faisaient l'objet de
contrôles extrêmement stricts, notamment au niveau des sites de production. Étant donné
que les contrôles sont fait par les fabricants de vaccins ou leurs séides, comme pour les
médicaments, les récents scandales ne devraient pas rassurer la population si elle réfléchit
moindrement.
Toutefois, a-t-il avoué, les vaccins comportent également des risques « comme tout
médicament que les agences du médicament doivent évaluer régulièrement ». Tout d'abord,
les vaccins ne sont pas des médicaments puisqu'ils sont destinés à des gens en bonne santé
et non malades et qui ne rencontreront sans doute les maladies supposées être prévenues par
les vaccins. Ensuite, nous commençons à connaître ces évaluations qui durent des années
avant l'interdiction. En France, dans le doute, il n'y a pas lieu d'interdire tant qu'il n'y a
pas eu des milliers de morts ou d'accidents. « Si l'on interdit tous les produits qui ont des
risques, on les interdit tous ». Mais il a voulu être rassurant : « Ils sont surveillés avec une
attention particulière ». On se demande ce qui se passerait s'ils n'étaient pas surveillés.
D'autant que 90 % des accidents ne sont pas déclarés et, lorsqu'ils le sont, ils sont contestés
par des spécialistes « autoproclamés » qui refusent d'admettre le rapport de cause à effet.
Ainsi il n'y a quasiment jamais d'accidents.
« Par nature, on ne sait pas tout, notamment sur les effets à long terme » a aussi
reconnu le directeur général de l'ANSM qui a cité le cas du vaccin contre le papillomavirus
(HPV) destiné à prévenir le cancer du col de l'utérus. Il pouvait difficilement dire le
contraire puisque c'est un secret de polichinelle. L'utilité de ce vaccin continue à susciter
des débats en France et autant à l'étranger où les accidents se succèdent de manière
inquiétante, alors qu'il reste fortement recommandé chez les jeunes filles de 13-14 ans, sous
le prétexte de les protéger avant qu'elles soient exposées au HPV.
Dans une réponse à un sénateur, le ministère de la Santé avait reconnu en
novembre dernier que son efficacité dans la prévention du cancer du col ne pouvait
pas « actuellement » être démontrée dans la mesure où il existe un délai moyen de 15
ans entre l'infection HPV et la survenue d'un cancer. Mais le vaccin permet en revanche,
selon le ministère, de prévenir des lésions cervicales pré-cancéreuses et pourrait prévenir
d'autres cancers, comme le cancer de la bouche, selon le Pr Maraninchi qui s'est bien gardé
d'ajouter qu'il risquait d'en provoquer d'autres très nombreux.
Toujours dans le même flou artistique, interrogé sur l'aluminium utilisé comme
adjuvant dans de nombreux vaccins et qui sont à l'origine de symptômes divers, notamment

musculaires chez des personnes prédisposées, le Dr Maraninchi est resté prudent, estimant
que le débat n'était « pas clos », même si les symptômes attribués à l'aluminium ne sont
constatés « qu'en France actuellement ».
Décidemment, ce monsieur si important dans le système de santé français est bien peu
au courant de ce qui se passe en dehors de l'hexagone.
Ainsi, aux États-Unis, au cours des auditions organisées en 1999-2004 par le député
Dan Burton au Congrès Américain, la question qui n'arrêtait pas d'être posée à la FDA était
toujours la même : « Où sont vos études sur la sécurité de l'aluminium ? » et la FDA avait
alors répondu qu'il serait très onéreux de les réaliser. Ainsi, il n'existe aucune étude pour
confirmer ce que l'on persiste à affirmer sans aucune preuve.
Le Dr Maraninchi ignore-t-il que l'aluminium est une neurotoxine pour la barrière
hémato-encéphalique comme l'ont rapporté C . Garrel et al., en 1994, M. Tsunoda en 1999,
C.Struys-Ponsar et al., en 2000, W. Zheng en 2001, Bioport Corp. en 2002, A. Campbell,
en 2004, M.S. Petrik et al, en 2007, Blaylock et Strunecka en 2009, C.A. Shaw et al., en
2009, et X.Li et al., en 2009. Enfin, la récente publication de L. Tomljenovic et du Pr C.A.
Shaw (de l'Université de Colombie Britannique) : « Aluminium Vaccine Adjuvants : are
they Safe ? » qui ont signalé que les bébés et les enfants jusqu'à 6 mois d'âge reçoivent aux
États-Unis, comme dans d'autres pays développés, de 14,7 à 49 fois plus d'aluminium de
sources parentérales que les limites de sécurité de la FDA autorisent et ce, par les vaccins
inclus dans les programmes obligatoires de vaccinations. On peut aussi citer Zinka et al. qui
ont rapporté six cas de mort subite de très jeunes enfants dans les 48 heures qui ont suivi
l'administration de vaccins hexavalents. Les examens post mortem des six enfants âgés de 4
à 17 mois ont révélé des anomalies affectant particulièrement le système nerveux.
Mais ces études étrangères ne sont jamais prises en compte et, « heureusement », de
nouvelles recherches vont être pilotées par l'Inserm sur ce sujet grâce à un financement de
l'ANS.
Enfin, le Pr Maraninchi n'a pu s'empêcher de signaler que si l'on arrêtait les
vaccinations, de « graves maladies » ressurgiraient, telle la rougeole. Cette menace est
devenue un leitmotiv alors que le Dr Mendelssohn a remarqué : « Depuis 30 ans qu'on
vaccine aux USA contre la rougeole, les épidémies de rougeole n'ont pas baissé d'intensité,
touchant dans 10 % des cas des adultes de plus de vingt ans avec des formes d'autant
plus graves, et la mortalité par rougeole a été multipliée par 25 depuis ces campagnes
vaccinales. »
En vérité, la majorité des sujets touchés par les épidémies présentent une
séroconversion post-vaccinale incluant, dans certains cas, une diminution progressive de
l'immunité, ce qui traduit bien l'échec de la vaccination, et surtout le recul de l'âge moyen
de la survenue de la maladie, avec des effets secondaires beaucoup plus graves dans les
tranches de population plus âgées, et une mortalité multipliée par dix. D'autant que les
vaccinalistes eux-mêmes reconnaissent que l'immunité vaccinale artificielle n'est pas aussi
durable que l'immunité naturelle et que les taux d'anticorps observés après les vaccinations
sont généralement inférieurs à ceux qui sont constatés après les maladies.
C'est ainsi qu'à présent des adultes contractent certaines maladies infantiles à un âge
où les complications sont plus fréquentes et bien plus graves. Ce phénomène, que l'on avait
déjà constaté aux États-Unis, se vérifie également en France.

Cette position est d'autant plus dangereuse que, comme l'a fait remarquer Michel
Georget, professeur agrégé de biologie, dans son ouvrage Vaccinations, les vérités

indésirables : « Entre 1906 et 1983, année du lancement de la campagne de vaccination, le
nombre de morts dus à la rougeole est passé de 3 754 à 20, soit une diminution de 99,5 %
malgré une augmentation parallèle de la population de 33 % (Annuaire statistique de la
France). » Cela prouve bien que cette diminution spectaculaire n'est pas due au vaccin.
Mais comme on a commencé à vacciner dès cette époque, le public et les pouvoirs dits de
santé, fortement influencés par toutes les publications « scientifiques » commanditées par
les laboratoires, ont attribué cette amélioration au vaccin.
La mortalité par la rougeole avait pareillement diminué de 97 % en Grande-Bretagne
avant l'introduction du vaccin.
Quant à la gravité de cette « maladie souvent mortelle », on pouvait lire en 1976 dans
Le Concours médical (T98) : « La rougeole, une des maladies dites bénignes de l'enfance,
mérite pleinement cette appellation en France ». Et dans La Médecine praticienne, n° 664
d'avril 1977, le Pr Bastin confirmait : « Il serait difficile de vacciner systématiquement
chez nous où la maladie est bénigne puisque, sur 100 rougeoleux hospitalisés (donc des cas
choisis pour leur sévérité), la mortalité est de 0,17. »
Toutefois, à peine quelques années plus tard, le discours officiel prit une tournure
différente car la maladie était soudain devenue « très fréquente et dangereuse » et elle l'est
restée. Pourquoi cette volte-face ? Simplement parce que ce vaccin venait d'apparaître et il
fallait bien le vendre.
Déjà, en 1984, une étude publiée dans le Journal of the American Medical Association
(Jama) témoignait de la recrudescence des cas de rougeole qui passèrent alors de 0,5/
100 000 en 1983 à 1/10 000, dont 38,1 % correctement vaccinés. En 1995, le laboratoire
SmithKline Beecham, pourtant fabricant de vaccins, avait publié le même genre de constat
alarmant : « Les rougeoles ont été 18 fois plus nombreuses aux USA en 1990 (27 672 cas)
qu'en 1983, malgré une vaccination systématique contre la maladie depuis 1978. Ainsi,
18 épidémies ont été recensées parmi les populations scolaires très immunisées (de 71 %
à 99,8 %) et pas moins de 77 % des rougeoles déclarées sont apparues chez des élèves
vaccinés. L'échec d'une vaccination préscolaire se traduit donc par une transformation
paradoxale de la rougeole en maladie des vaccinés. »
Depuis lors, les publications sur l'inefficacité du vaccin se sont succédées sans faire
bouger d'un iota les pouvoirs sanitaires et les lobbies vaccinaux. Ainsi Jama et le New
England Journal of Medicine ont publié des dizaines d'études démontrant que les cas de
rougeole touchaient 80 à 98,7 % des enfants vaccinés.
Ces chiffres montrent bien le déplacement de l'âge des cas de rougeole - maladie
essentiellement infantile avant l'introduction du vaccin - vers les adultes et surtout
l'augmentation de sa gravité, puisque le nombre de cas de rougeoles hospitalisées avec
complications chez les enfants de 1 à 9 ans ne représente que 72 cas sur les 5 021 cas
déclarés soit 1,43 % alors que chez les plus de 20 ans on trouve 148 cas sur 5 021 soit 5 %
des cas.
Ces chiffres permettent à certains de nos médias, visiblement « informés » par les
laboratoires, de déclarer : « La rougeole est une maladie mortelle mais évitable grâce à la
vaccination qui touche principalement les enfants de moins de cinq ans. Lorsqu'elle ne
provoque pas le décès, elle peut entraîner la cécité, la surdité ou la pneumonie. Du fait
que la rougeole est très contagieuse, la couverture vaccinale doit être maintenue à 90 % au
moins. »
Ceux qui osent faire peur à la population en déclarant ainsi que lorsque la rougeole
ne tue pas elle risque d'entraîner la cécité, la surdité ou la pneumonie afin de les vacciner

encore davantage, devraient se renseigner avant de mentir aussi impunément.
D'après le biologiste Bernard D. Jachertz, de Berne : « L'expérience historique montre
que le virus de la rougeole repoussé ou même anéanti sur une population circonscrite
expose ladite population au danger d'épidémie à caractère explosif. » C'est bien ce qui se
produit depuis quelques années.

En outre, lorsqu'on brandit le spectre des encéphalites post-infectieuses pour terroriser
les mères de familles, elles étaient très rares avant l'ère vaccinale, et on se garde bien
d'évoquer le risque d'encéphalites post-vaccinales et de perturbations du tracé électro-
encéphalographique qui sont beaucoup plus fréquentes, mais ne sont pas répertoriées en
France.
Quelles que soient les affirmations de certains communiqués orientés, la vaccination
contre la rougeole demeure un sérieux facteur de risque de maladies de dégénérescence
pratiquement incurables et la porte grande ouverte vers de nombreuses allergies, comme
l'ont démontré de très nombreuses études.

Pour en revenir au Pr Maraninchi, sans doute n'a-t-il pas vu le 4 février 2009 une
émission sur TV5 au cours de laquelle le Pr Lévy-Bruhl de l'Institut de veille sanitaire a
répondu à la question posée par Jean-Marie Mora, président de la Ligue pour la Liberté
des vaccination : « Pourquoi, lors d'une épidémie de rougeole qui s'est déclaré dans un
établissement scolaire du Minnesota en 2006, 89 % des 789 cas étaient vaccinés ». Réponse
du Pr Lévy-Bruhl : « C'est normal, quand tout le monde est vacciné, ceux qui attrapent la
maladie sont forcément vaccinés ». Ce spécialiste des vaccins a ainsi admis ouvertement
que le vaccin ne protégeait pas de la maladie. À quoi sert-il donc ?

Ainsi, plus on vaccine, plus les enfants ont des maladies infectieuses, mais c'est un
secret bien gardé. Peu importe ! L'industrie pharmaceutique a de plus en plus besoin de
satisfaire ses actionnaires et la vaccination est une manne inépuisable, c'est pour cela qu'on
invente sans cesse de nouveaux vaccins aussi dangereux qu'inutiles et avec des injections
de plus en plus fréquentes.

Sylvie Simon

Pour prendre connaissance de l'étude de Tomljenovic et Shaw sur l'aluminium dans les vaccins, vous
pouvez vous référer au lien suivant :

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21568886

Pour l'intervention du Pr Pr Maraninchi au Sénat :

www.france24.com/.../20130116-le-patron-lagence-medicament-def... 

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 20 janvier 2013 10:34:08 EST  
pétition
S'il vous plait faites passer et signez cette pétition, ce pédiatre ne mérite même pas d'exercer tant il dit d'inepties...


http://www.avaaz.org/fr/petition/Demande_de_sanction_pour_le_Dr_Grandsennel/?pv=11

 

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Sophiebio

Inscrit le :
27 janv. 2010

Posté le: 20 janvier 2013 10:22:44 EST  
Bonne année
Bonjour bonne année les filles, ça faisait bien longtemps que je n'étais pas venue poster ici. Bien heureuse si vous parvenez au Québec à ne pas vacciner vos enfants et qu'ils ne soient pas traités comme des parias à l'école. En Belgique comme l'une d'entre vous le mentionne, la loi impose seulement le vaccin anti polio ( je crois ) mais une famille a fait un procès à l'Etat qui fait jurisprudence et du coup plus aucune vaccination n'est obligatoire. Mais dans les faits, les parents ne trouvent tout simplement pas de système de garde pour bébé quand celui ci n'a pas reçu la batterie de vaccins du calendrier de recommandation( qui est proprement effrayant entre 0 et 2 ans, un enfant selon ce calendrier recevrait pas moins de 60 impacts vaccinaux différents ) .

En France, la situation est pire encore, puisque des parents qui disent ouvertement aux urgences que leur enfant n'est pas vacciné, se voient tout simplement menacés d'être dénoncés aux services sociaux à l'enfance pour refus de soins, et la garde de leur enfant peut leur être retirée par un juge aux affaires familiales. UNe famille se bat depuis maintenant un an et demi pour faire ré admettre leurs deux enfants dans l'école de leur village. Leur crime ? Ils sont en règle avec la loi d'obligation vaccinale, leur fils de 7 ans a reçu tous les vaccins obligatoires ( et malheureusement qq autres par dessus le marché) suite à quoi il est devenu asthmatique. La cause de cet asthme a été clairement reliée par un médecin aux vaccinations reçues, aussi pour leur plus jeune fille, 5 ans, ils ont demandé à ce même médecin de faire un certificat de contre indication, ce qui est parfaitement conforme à la loi et normalement, ne devrait pas faire obstacle à la scolarisation. Sauf que là, ça fait un an et demie que Rémi et Stéphanie sont obligés de faire eux même la classe à leurs deux enfants et que ils ne peuvent pas les inscrire à l'école de musique du village, ni aux cours de poteries ni à toutes les activités proposées par leur mairie pour les enfants de leur âge. Voilà leur situation qui est bien réelle.
Une autre famille avec qui je suis en contact , aucun enfant n'a jamais été vacciné ( mystère, par rapport aux inscriptions à l'école, il semble que cela n'ait pas posé de pb ) . PAr contre, lors d'un passage aux urgences , la maman à qui on a posé la question des mises à jour des vaccins a répondu la vétité à savoir que son fils de 5 ans n'avait aucun vaccin; l'interne lui a dit qu'elle était obligée de la signaler aux services de l'enfance, et qu'elle devait à toute vitesse commencer les vaccinations sous peine de perdre la garde de son enfant.

Et encore un autre témoignage encore plus terrible.

Une maman dont le fils de 8 ans a été soigné pour une leucémie, a reçu une greffe de moelle et semblait en rémission, les médecins refusaient de le laisser sortir du service sans lui refaire TOUS les vaccins, considérant que comme il a reçu une greffe de moelle, il n'est plus immunisé contre toutes les maladies pour lesquelles il a déjà reçu des vaccins depuis sa naissance. La maman ne voulait pas qu'il ait les vaccins, il les a eu tout de même et 15 jours après, rechute de la leucémie. Là, on recommence tout, greffe de moelle, réussie, et ils veulent à nouveau tout refaire le programme de vaccinations. La maman cherche une solution pour échapper à cet enfer et sauver son fils.

Alors, quant à celles qui craignent que si on déclare que notre enfant est vacciné, les soignants risquent de passer à côté d'un diagnostic parce que ils croient que l'enfant ne peut avoir telle maladie ( vu qu'il est supposé avoir reçu le vaccin ) je vous rassure tout de suite, tous les médecins savent pertinement qu'aucun vaccin n'est garanti à 100% pour l'efficacité, c'est à dire que tous les jours, des enfants vaccinés contre la méningite ONT la méningite. Et certains en meurent quand même. Par exemple; la petite Stacy en Belgique, a reçu le 13 octobre 2011 le Prevenar 13 + l'Infanrix Hexa + le Rotarix et elle avait ce jour là un léger rhume ( qui normalement est une contre indication majeure ) Et 8 jours plus tard, elle rentrait à l'hôpital en urgence pour une légère température, le jour même le 22 octobre 2011, elle décédait de ce que les pédiatres ont appelé tour à tour une gastro ( pourtant Rotarix ? ) puis un purpura et enfin une méningite( pourtant Infanrix Hexa et Prevenar ) . Les parents ont bien mentionné en arrivant que la jumelle avait reçu ces trois vaccins, les médecins ne l'ignoraient donc pas. Mais Stacy est bien morte, et pire les services judiciaires refusent aux parents l'autopsie de leur fille ( ce qui pourrait pourtant peut être soit démontrer que les trois vaccins n'y sont pour rien ou au contraire démontrer que il y a eu faute professionnelle et qu'on aurait JAMAIS du administrer une triple vaccination à une enfant née prématurée 3 mois plus tôt par césarienne... ) On est quand même en droit de se demander pourquoi on leur refuse cette foutue autopsie... qu'ont ils donc peur que l'on trouve ?

Alors chacune son chemin, vous faites ce que bon vous semble, mais je vous assure, mentir parfois permet de sauver votre enfant d'une vaccination que vous ne voulez pas pour lui.

Par ailleurs, je voudrais vous rassurer, au Québec, dès 14 ans, on n'a plus besoin du consentement des parents pour recevoir un vaccin, l'adolescent peut décider de lui même. Elisabeth Gagnon avait ainsi prévenu l'école secondaire par écrit qu'elle ne voulait pas que sa fille reçoive le Gardasil et sa fille était archi convaincue. POurtant, en septembre 2011, sa fille a bien reçu une dose de Gardasil, épuisée de résister à toutes les pressions dont elle a été l'objet. Moins d'une heure après, elle a perdu connaissance dans le bus scolaire qui devait la ramener chez elle, ce qui a nécessité une hospitalisation; bien entendu , le Gardasil n'avait rien à voir avec cette perte de connaissance... vous vous en doutez. Alors, faites attention à vos enfants, ils sont capables de tout pour les vacciner, y compris sans votre consentement. Ne vous y trompez pas, et ce, quelque soit son âge. Ils ont de leur côté le ministère de la Santé, l'OMS, la Faculté de Médecine, et la majorité de la population qui dit craindre les maladies et qui court chercher ses doses de vaccins...  

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Kerry27

Inscrit le :
22 juin 2010

Posté le: 19 janvier 2013 17:22:14 EST  
http://www.chu-sainte-justine.org/Accueil/nouvelle.aspx?ID_NOUVELLES=51635 

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Anonyme

Inscrit le :
13 janv. 2013

Posté le: 14 janvier 2013 11:53:59 EST  
cobaye de vaccins
Pour ma part, je ne suis pas d'accord que mon fils soit un cobaye des vaccins.
Donc les vaccins qui sont vieux, pour lesquels on a déjà une bonne expérience pour les effets secondaires comme dipthérie, tétanos, coqueluche, polio, pneumocoque, ok.
Mais hors de question de vacciner contre l'hépatite, la grippe, le cancer du col de l'utérus ou la varicelle !

De plus, il faut aussi voir le mode de contamination pour faire un choix éclairé.
Là mon fils de deux mois a eu sa première séquence, ça ne lui a rien fait du tout.

Si au Québec on a le choix de ne pas vacciner, c'est tant mieux pour vous, mais ici en Belgique, celui qui ne veut pas vacciner n'a pas d'autre choix que d'instruire ses enfants à la maison ou de mentir car que ce soit pour la crèche ou l'école, être en ordre de vaccination est obligatoire !

 

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