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CadenceInscrit le : |
Je vis pas mal la même chose que toi fred2 ... À part endurer et essayer de sortir moi-même avec mon fils le plus souvent possible, je pense qu'il n'y a malheureusement pas de solution miracle... Regarde mon compteur, ça peut peut-être t'encourager!
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MirageInscrit le : |
Ici, la règle n'est pas très compliquée: si mon chum n'est pas là pour prendre soin de sa fille, je ne le ferai pas pour lui. Trop souvent, mon chum se fiait sur moi et me la laissait en pensant que je n'avais rien d'autre à faire. La dernière fois, il m'a fait le coup alors que j'étais enceinte et le médecin m'avait arrêté de travailler pour me reposer car je menaçais d'accoucher prématurément. Voyant cela, mon chum a omis d'inscrire sa fille a un camp ou activité quelquonque et il me l'a imposé. J'étais furieuse et je n'ai même pas eu de merci...Nous en avons discuté et j'ai fait comprendre à mon chum que ça n'était désormais plus possible car j'en avais déjà plein les bras avec nos 2 bébés. Il continue de ne rien planifier pour sa fille et il s'arrange pour qu'elle passe du temps avec sa grand-mère, tante ou autres.
Je dois passer pour une sans coeur aux yeux de la belle famille mais je m'en fous. Un ami me disait :"Sauve-toi toi-même" ... c'est ce que je fais. Je pense à moi pour avoir assez d'énergie pour prendre soin des miens par la suite. |
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Clo26Inscrit le : |
SAlut Fred,
Je ne peux que parler au passé car pour moi le problème ne se pose plus, ou en tout cas moins qu'avant puisque je n'habite plus avec mon chum. Nous avons chacun notre chez nous donc même si ses enfants sont chez lui, je ne les vois pas (grâce au ciel!) La seule chose qui est plate c'est que plus ils sont là, moins je vois mon chum. Mais bon, il y a quand même un prix à payer lorsqu'on tombe en amour avec un gars qui a des enfants... Par contre, j'ai quand même vécu 4 ans avec ses enfants et comme nous travaillions l'été, il n'était pas question qu'ils restent chez nous. Ils étaient inscrits au camps de jour et aussi divers camps de séjour (dépendemment de leurs envies). Enfin, les grands-parents aidaient aussi en les sortant de la ville un peu. (Parce que les enfants à mon chum ont toujours détesté le camps de jour, puisque ça implique les deux choses qu'ils haïssent le plus: être dehors et bouger). Je ne sais pas si ça aide, pas beaucoup j'imagine. En tout cas, je comprends ton angoisse, je l'ai tellement vécu moi-même... à plus Clo |
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