Tinker et son EverLand ! Battement de coeur en novembre!

BLAaaaaaaaah! 

Veinarde

J'ai la veine bleue
Comme un vert tendre.

Trois passage de détraqués
Ça me sauve l'esprit de saletés
Je gondole des ricochets,
des cascades,
des éclats,
Je ris.
Des éboullements de fortune.

J'ai de la veine, azurée foncée
Comme un immense océan

Un penchant de gamine
Ça me garde des mochetés
Je balance des ribambelles,
des bordées,
des confettis,
Je ris.

J'ai le sang vermeil.
Comme Promise au Bonheur.

Je suis heureuse.
Je suis veinarde.



TinkerBell  

Au milieu d'un festin de miettes de pain, j'y pensais justement, sourire en coin.

Parce que ça a quelque chose d'hilarant, que tu me claque la fesse en me chuchotant des sexe-hitations, en ce moment.

J'ai la coiffure absente. J'ai le coton ouaté sur une «pas-de-brassière». J'ai le pantalon pour courser, mais je ne course jamais. Je porte mes lunettes, comme pour faire pire. J'ai l'air assomée -et je le suis-. J'ai nouée mes cheveux en une espèce de motte au-dessus de la tête. Je respire le manque de sommeil et le gris-terne du dehors.
Même presque devenue translucide dans mes obligations quotidiennes, tu me vois. Moi. Ce que j'étais, il me semble, il y a 4 vies de ça. Avant MON enfant, que tu appelle la tienne. Avant notre premier bébé? En avons-nous déjà eu qu'un seul ?Par dieu! nous en avons trois!

Quand de mon sofa, je te vois t'éloigner, je te zoome le dos et je te vois. Toi. Je palpite un battement de plus en secret, des fois. Je vole un cliché au cosmos. Toi. Onze ans plus tard.

Je t'annonce, nous sommes mariés! Parce que dans le vent de notre spécial-quotidien, on se suspend, comme avant.

Mon tour, de te trouver beau. Belle gueule.
Viens là, p'tit gars de la rangée de casiers, j'm'en vais te frencher!

Tinker, et le mois d'avril XxxxxxxxxX 

M'a finir par en brailler! gulp ! 

Volet Napoleon Dynamite: My extreme special skillz

Moi.

A l'occasion et souvent en même temps, je fais des choses bizarres. Des petits trucs, pas trop grâve en fait, mais qui m'entrainent parfois dans des scènes de ma vie ou le zoom-out me donne des vertiges. Rugueux.

Ça se remarque le plus, dans le volet relation interpersonnelle, ou j'suis pas la plus douée. Je parle comme j'écris. En grande envolée ou en peu de mots. Soudainement, des fois. AVec des points ou il ne le faut pas. Pareil.
Pareil.

Je pars dans ma tête et fait de la zéro-gravité-lunaire en milieu de discours. Ou alors, je m'agite comme la fois ou j'ai mis mon chat-noir dans une taie d'oreiller et je capte dans l'oeil qui me zoome une fatigue soudaine. Alors j'arrête. Mais je ne dis pas pourquoi.
J'ai de l'humour et je ris fort.
J'ai de l'humeur et elle est bonne!

J'aime dire -brusquement- que la personne est belle. Je pose la question qui me trotte en tête, même si je sais qu'elle n'est pas chouette. J'ai des yeux d'hibou qui fixent. Ils fixent l'entre deux yeux. C'est pire quand ils sont bleus.

Voila que, ce week-end, j'ai été invité a me joindre a une BANDE complète d'individus qui ignorent, pour la plupart qui je suis.
Je renouais avec la nouveauté. L'interraction sociale SANS discussion internet au préalable.
Purée.
Hou lala.

Ça.été.le.pied.
Ma couette rose, mon rire d'animal en danger, mes onomatopés comme réponse, mes absences, mes sourcils, mes touche-le-bas, mes *je-tire-la-langue-en-faisant-un-bruit-de-pet, mon pied qui écrase une araignée bruyamment dans le coin gauche, ma main qui dessine pendant que tout le monde discute, mon oreille qui entend trois secrets et mon oeil qui *dit* qu'il a entendu, mon sourire qui hurle de rire même si c'pas le bon moment.
Ça été.

Ils m'ont demandé de revenir! D' y retourner! Avec eux!!!

PFfffiiiiiiiouh. oh YEAH! On va finir par pouvoir me sortir pratiquement n'importe ou!

CACA!

Tinker, nouvelle recrue. XxxxxxxxxxX 

Ah mon dieu !!! Je pense que le fromage en grain avalé ce midi m'est monté à la tête.

Ça ne peut être que ça.

Sinon, pourquoi aurais-je cet expression fixée au visage? L'air de regarder derrière ce que je zoome. En fait. Ou d'être accoudée à une table V.I.P. d'un grand foutu tournoi de Poker. Pas besoin de lunette fumée.
J'ai l'attitude.

Je suis lassssssse. Même de l'écrire, c'est un peu lourd. Bon, quand même...N'empêche. Je suis;

Une boisson gazeuse tombé flatte.
Un ballon d'hélium laissé au soleil dans un coin de chambre.
Un chocolat laissé sur le siège d'une voiture -au soleil-.
Un repas préféré manger avec un rhume en écran de papille.
Un chien qui liche ses crottes et la main des enfants qui jouent avec lui.
Un éternuement qui fait postillonner.
Une caresse qui finalement grafigne à cause d'un ongle rongé.
Un éclat de rire qui sonne la Rage.
Une balle dans une fenêtre.
Un rat d'eau mort sur la route qui colle au pneu.
Une mascotte qui fait tomber un enfant.
Un joueur professionnel qui marque dans son propre but.
Une ampoule qui s'allume et s'éteint dans une cuisine. noire.
Un tapis qui glisse.
Une paire de pantoufle à statique.
Un panier d'épicerie à roue débile.
Un fruit pourrit qu'on s'est mis en bouche.
Une recette impossible à rater qui ..rate.
Une voiture qui ne démarre pas.
De la visite qui pue.
Un enfant en crise.
Un Papa qui est impatient.
Un mari malade. De rhume.

Aaaaaaaaaah! Ça y est.
Je sais.
Je suis une mère. Fatiguée. et peut-être même enrhumée!

Fiouh. Moi qui croyait avoir la tête fromagée.

Tinker, et le brouillard de sa journée XxxxxxxxxX 

Histoire de peur épisode #2.

Je suis dans la maison. Plus précisemment dans les escaliers. On y traine si souvent, comme ça, dans les escaliers!

Je suis dans mon quotidien presque platte. Mais certainement tranquile. En fait et pour tout dire, je viens d'aller à la salle de bain!!! :croche:

MiniWee est dans le salon et gazouille. Et là, je suis comme attirée vers la porte (d'entrée). Personne n'a frappé, non plus appuyé sur la sonnette. Je dois juste, aller répondre.

SCHLACK! Encore le coup de fouet. -et le poste de radio, pour les plus intimes-.

J'ouvre ma première porte.

Personne.

Alors, consciemment je me dis que. Puisque j'ai entendu le fouet, nécessairement QUELQU'UN veut entrer. (?!)
Je me recule.
Encore un peu.

Je dis.

«Tu peux entrer.»
J'attend.

SHLACK! Je sursaute. C'est blanc. transparant. Mais cette fois, elle a un visage. C'est une femme avec les cheveux longs, mais attachés en chignon derrière la tête. Elle a une veste, un genre de tricot et elle me sourit. Elle a aussi un bouquet de fleur.
Les fleurs me déplaisent.

«Laisses-tes fleurs dehors!» Je lui parle avec mes yeux qui veulent sortir de leur orbites. Et après, je panique pour de bon. Je ne la connais pas cette femme! Qu'est-ce qu'elle fait à venir flotter entre mes deux portes!
Je coule dans mes jambes, j'ai envie de courir, mais je suis soudée au tapis.

*Calmes-toi TInker! elle ne t'a rien lancée!* -Quand j'y pense ça me fait marrer-.
Il y a un temps où je ne fais que la regarder, comme persuadée que quelque chose va se passer. Je finis par articuler dans un souffle de mourrant;

«J'ai trop peur.»

Elle a fait «oui» de la tête et a juste cessé d'être visible. Mais.
Ce qui m'a achevé -et réveillée encore-.

C'Est que je l'ai sentie passé à côté de moi. Elle est entrée quand même. L'espèce.

Tinker, la dame Blanche et l'excès de Kisses Cherry! XxxxxxxxxxX 

 

Après une nuit blanche à travailler, une matinée à charroyer les enfants à droite et à gauche, je vais me coucher le sourire aux lèvres... 

oops! J'ai fais un doublé!