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Le travail des parents vs la réussite scolaire des enfants!

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Anonyme

Inscrit le :
18 nov. 2008

Posté le: 19 septembre 2011 13:45:05 EDT  
Voici un artcile intéressant:

http://www.cyberpresse.ca/vivre/famille/vie-de-famille/201109/17/01-4448659-le-travail-des-parents-deteint-sur-les-enfants.php

Vous en pensez quoi.. celles qui travaillent et celles qui sont à la maison?? 

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Lili19

Inscrit le :
26 sept. 2010

Posté le: 21 septembre 2011 08:16:06 EDT  
Melamibome a écrit
janna a écrit
Dans la grande guerre entre les mamans à la maison et les mamans qui travaillent, tout fait réagir. C'est niaiseux de même.

Des fois on est trop occupé à se trouver dont meilleur que le voisin pour utiliser son gros gros bon sens.

Maman à la maison, maman qui travaille... les deux peuvent avoir du bon, les deux peuvent avoir du mauvais. Ça dépend de 1000 facteurs et au bout du compte, chaque famille est la mieux placée pour décider de ce qui lui convient le mieux. 


Tout à fait d'accord!!! 


Moi aussi je suis d'accord!

C'est un sujet qui me touche personnellement parce que mon pète a été absent toute ma jeunesse et sa ma beaucoup manqué... vraiment.
Mon père c'est rendue compte trop tard que la famille était aussi/sinon plus selon moi, importante que le travail.
Et pour la mère qui travail.. bon ma mère était plus présente mais je me rapelle la mère a mon amie qui était a la maison et qui l'aidait pour c'est devoir...j'était tellement jalouse de pas avoir d'aide.. mais bon sa c'est moi qui se vide le coeur! hihi

Je crois aussi que chaque famille vois se qui a de mieux pour ses enfants..
 

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Melamibome

Inscrit le :
21 mai 2011

Posté le: 21 septembre 2011 00:50:11 EDT  
janna a écrit
Dans la grande guerre entre les mamans à la maison et les mamans qui travaillent, tout fait réagir. C'est niaiseux de même.

Des fois on est trop occupé à se trouver dont meilleur que le voisin pour utiliser son gros gros bon sens.

Maman à la maison, maman qui travaille... les deux peuvent avoir du bon, les deux peuvent avoir du mauvais. Ça dépend de 1000 facteurs et au bout du compte, chaque famille est la mieux placée pour décider de ce qui lui convient le mieux. 


Tout à fait d'accord!!! 

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Anonyme

Inscrit le :
07 juil. 2011

Posté le: 20 septembre 2011 22:22:45 EDT  
Dans la grande guerre entre les mamans à la maison et les mamans qui travaillent, tout fait réagir. C'est niaiseux de même.

Des fois on est trop occupé à se trouver dont meilleur que le voisin pour utiliser son gros gros bon sens.

Maman à la maison, maman qui travaille... les deux peuvent avoir du bon, les deux peuvent avoir du mauvais. Ça dépend de 1000 facteurs et au bout du compte, chaque famille est la mieux placée pour décider de ce qui lui convient le mieux. 

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Anonyme

Inscrit le :
18 nov. 2008

Posté le: 20 septembre 2011 20:33:14 EDT  
Premièrement, je suis contente de voir que je suis pas la seule à avoir du mal à suivre la rigueur de cette étude.

Je lisais l'rticle et j'ai du recommencer deux fois pour être sur de bien suivre le fil qui semblait aller un peu partout.

Aussi, j'ai trouvé qu'il manquait beaucoup d'élément de contexte.

Reste que le résultat fait réagir..  

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n0eLLe

Inscrit le :
01 mars 2011

Posté le: 20 septembre 2011 12:58:33 EDT  
Ouin ben je pense pas mal comme vous, ça dépend de plein de facteurs...

Si la maman ne travaille pas parce qu'elle n'a jamais travaillé de sa vie et n'a pas vraiment d'ambition, elle ne pourra pas transmettre le désir d'apprendre et d'avoir de bons rendements scolaires à son enfant. Il en va de même pour la maman qui est à la maison mais qui ne s'occupe pas vraiment de son enfant... c'est plate à dire mais il y en a!

Si la maman a fait le choix de ne pas travailler afin de devenir maman à temps plein et consacrer tout son temps au développement de son enfant, j'aurais tendance à penser que ce sera très favorable pour celui-ci.

Je trouve ça triste de voir que l'article ne fait aucune nuance. On ne parle pas du profil socio-économique des familles étudiées, ça peut faire toute une différence. 

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*LouColou*

Inscrit le :
14 janv. 2011

Posté le: 19 septembre 2011 19:52:29 EDT  
Mouais... On s'entend que ce n'est pas une grande étude profonde, anyway. Et il ne faut jamais penser que parce qu'un facteur en particulier semble favorable, qu'il est forcément le seul ou le plus important en jeu.

C'est clair que le facteur économique joue pour beaucoup. En même temps, y'a bien des gens qui ont la grosse job, le méga salaire, la baraque à 500 000$ et qui sont pas fichus de s'occuper de leurs enfants comme du monde. Je pense que les moyens financiers et matériels sont très loin d'être un gage de réussite. Pour preuve, l'école publique la plus huppée de ma commission scolaire (mais huppée accotée, là) a 220% de service d'orthopédagogie, cette année.

Pour ce qui est des mamans à la maison, j'en connais des éduquées qui avaient de merveilleuses intentions et qui se retrouvent 2 ans plus tard débordées, à moitié dépressives et à court d'idées pour stimuler leurs enfants.

Le facteur affectif, dans le développement d'un enfant est hyper important. Bien au-delà de la capacité de payer de bonnes écoles ou des services privés, l'enfant doit d'abord avoir des dispositions affectives qui le rendent réceptif aux apprentissages. Le porte-feuille de papa et maman ne détermine pas leur capacité d'encadrement adéquat sur ce plan. C'est pourquoi l'argent représente bien peu, à mes yeux. Je préfère de loin aborder la question en termes d'organisation, de stabilité et d'intention. Riche ou pauvre, ce sont 3 choses que tout le monde peut se "payer".

Je pense que l'étude est à considérer de loin, dans son ensemble, d'un point de vue plus humain multifactoriel que scientifiquement béton. Il y a de bons côtés à travailler et peut-être plus qu'on pense. L'équilibre cognitif et affectif est possible même quand maman travaille. À partir de là, il faut assouplir nos jugements, avoir un peu plus confiance (en soi et envers les autres) et arrêter de penser que le voisin scrape son enfant le moindrement qu'il ne répond pas à nos standards personnels.  

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Melamibome

Inscrit le :
21 mai 2011

Posté le: 19 septembre 2011 18:29:56 EDT  
*LouColou* a écrit
Voici ce que j'en comprends : Ce n'est pas le fait d'être à la maison ou pas qui influence le développement, mais bien les facteurs familiaux d'organisation, de stabilité et d'intention.

Ce qu'on dit, c'est que les mères qui travaillent et qui arrivent à équilibrer ça avec toutes les autres tâches à faire (de ménagère et de maman) développent un sens de l'organisation hors pair qui les rend très efficaces pour conjuguer travail/famille sans perturber les enfants.  


Moi c'est ce qu'on ne dit pas qui m'irrite. J'ai toujours cru qu'on pouvait faire dire n'importe quoi aux études et aux statistiques et cette étude me renforce dans ma position.

Il y a tellement de facteurs qui peuvent influencer ces résultats.

2 parents qui travaillent feront peut-être le choix d'envoyer leur enfant dans une institution scolaire privée. Peut-être que si un enfant a plus de difficultés, les moyens financiers sont là pour pouvoir donner des cours privés supplémentaires...

Une mère qui ne travaille pas par dépit, c'est tout à fait différent d'une mère qui ne travaille pas par désir de vouloir s'investir auprès de ses enfants.

Au fond, je pense que ça tourne plus autour du standing financier de la famille que du fait qu'un parent travaille ou non.  

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*LouColou*

Inscrit le :
14 janv. 2011

Posté le: 19 septembre 2011 16:31:59 EDT  
Voici ce que j'en comprends : Ce n'est pas le fait d'être à la maison ou pas qui influence le développement, mais bien les facteurs familiaux d'organisation, de stabilité et d'intention.

Ce qu'on dit, c'est que les mères qui travaillent et qui arrivent à équilibrer ça avec toutes les autres tâches à faire (de ménagère et de maman) développent un sens de l'organisation hors pair qui les rend très efficaces pour conjuguer travail/famille sans perturber les enfants. Perso, je suis d'accord avec cette affirmation pour moi-même travailler à temps plein et avoir 2 enfants à élever. J'arrive à faire mon 40 heures de job, faire les repas, les lunch, ma vaisselle, mon ménage, mon lavage, mes rendez-vous, mes appels tout en faisant des sorties familiales, du bricolage, raconter des histoires, construire des cabanes, jouer dehors, aller au parc, donner des bains, soigner des bobos, etc. Je ne cache pas que ça roule, chez nous, mais bien organisée, j'arrive à tout faire et je ne sens pas que mes enfants en souffrent. Je ne me sens pas moi-même stressée ou pressée. On prend le temps de parler, de manger, de s'amuser... Je pense que cette étude vise, entre autres, à démystifier le concept de la mère au boulot, blasée et désengagée vis-à-vis de ses enfants. Ça remet les choses en perspective et je trouve ça intéressant. Il est possible d'arriver à tout faire sans nécessairement se brûler. Tout est dans l'organisation et celle-ci peut vraiment avoir un impact important sur la dynamique familiale.

On dit également que les horaires de travail précis offrent de la stabilité, ce qui est sécurisant pour l'enfant. Avec un horaire simple, pas de surprises. Pas/peu de déception, de la sécurité, de la confiance. Plus facile aussi pour maman de prévoir du temps de qualité pour ses enfants en plus d'organiser tout le reste, elle-même n'ayant pas de mauvaises surprises par rapport à son boulot.

On dit finalement que les mamans au travail sont conscientes du temps limité dont elles disposent et sont plus enclines à se soucier de la qualité de ce temps.

Dans tous les cas, on brise le mythe qui dit qu'un enfant gagne tout à avoir sa mère à la maison. Peut-être que finalement, le secret du succès est multi-dimensionnel et qu'une mère au travail est parfaitement capable d'offrir ce qu'il faut. L'équilibre travail/famille est non seulement possible, mais présente également des bénéfices.

Quoi qu'il en soit, je pense que rien n'est tout noir ou tout blanc. Je crois qu'il est facile d'être au travail, blasée, fatiguée et n'avoir le temps de rien faire. Je crois également (pour en connaître !) qu'il est possible d'être à la maison blasée, fatiguée et n'avoir le temps de rien faire. Des deux côtés, il sera toujours possible d'offrir un encadrement sain. Tout est dans l'organisation, la stabilité et l'intention.  

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Melamibome

Inscrit le :
21 mai 2011

Posté le: 19 septembre 2011 15:57:01 EDT  
janna a écrit
Il y a plusieurs facteurs qui expliquent ça:

1. Le revenu des parents: Si tu compares un enfant d'un milieu défavorisé à un enfant d'un milieu favorisé, il y a bien des chances que l'enfant de milieu favorisé (dont les parents peuvent lui offrir un environnement stimulant, des lunettes s'il en a besoin, l'inscrire dans des activités parascolaires, lui donner 3 repas sains et équilibrés tous les jours) performe mieux à l'école que l'enfant de milieu défavorisé. Or le pourcentage de maman à la maison dans les familles à faibles revenus est probablement plus grand. Je n'ai pas de statistique là dessus, mais je crois qu'il doit y avoir un lien.

2. L'éducation des parents: Plus les parents sont instruits, moins il y a de chances qu'un enfant décroche tôt de l'école. Or, les mamans qui ont des bacs ou des maîtrises ou des doctorats ont tendance à être sur le marché du travail (surtout une fois les enfants en âge d'aller à l'école). De plus, un parent instruit est en meilleure position pour aider son enfant à faire ses devoirs.

3. L'importance de la réussite scolaire: Si maman et papa ont tous deux des carrières et accordent de l'importance à ces carrières, il est un peu logique que ces parents accordent une grande importance à la réussite scolaire qui leur a permis d'accéder à ces emplois. De plus, je jeune qui voit ses parents travailler (et aimer leur travail, de préférence) voudra faire comme eux dans une certaine mesure, ou mieux encore, c'est-à-dire faire des études dans le but d'avoir une carrière plus tard.



Tout à fait d'accord!

Personnellement, c'est une étude qui me laisse un peu perplexe, c'est vide d'explications. Si on prend ça au pieds de la lettre, ça peut même être ''dangereux''...

Mel 

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Anonyme

Inscrit le :
07 juil. 2011

Posté le: 19 septembre 2011 15:44:27 EDT  
Il y a plusieurs facteurs qui expliquent ça:

1. Le revenu des parents: Si tu compares un enfant d'un milieu défavorisé à un enfant d'un milieu favorisé, il y a bien des chances que l'enfant de milieu favorisé (dont les parents peuvent lui offrir un environnement stimulant, des lunettes s'il en a besoin, l'inscrire dans des activités parascolaires, lui donner 3 repas sains et équilibrés tous les jours) performe mieux à l'école que l'enfant de milieu défavorisé. Or le pourcentage de maman à la maison dans les familles à faibles revenus est probablement plus grand. Je n'ai pas de statistique là dessus, mais je crois qu'il doit y avoir un lien.

2. L'éducation des parents: Plus les parents sont instruits, moins il y a de chances qu'un enfant décroche tôt de l'école. Or, les mamans qui ont des bacs ou des maîtrises ou des doctorats ont tendance à être sur le marché du travail (surtout une fois les enfants en âge d'aller à l'école). De plus, un parent instruit est en meilleure position pour aider son enfant à faire ses devoirs.

3. L'importance de la réussite scolaire: Si maman et papa ont tous deux des carrières et accordent de l'importance à ces carrières, il est un peu logique que ces parents accordent une grande importance à la réussite scolaire qui leur a permis d'accéder à ces emplois. De plus, je jeune qui voit ses parents travailler (et aimer leur travail, de préférence) voudra faire comme eux dans une certaine mesure, ou mieux encore, c'est-à-dire faire des études dans le but d'avoir une carrière plus tard.

C'est ce que je pense. Personnellement, je ne suis aucunement surprise par cette étude. J'ai eu une mère qui travaillait. J'étais très fière d'elle. Elle et mon père ont toujours été une source d'inspiration et de motivation. Ils ont toujours accordé une grande importance à mon éducation et à celle de mes frères, ils nous ont toujours aidé et poussé à l'école (pas trop, juste assez). Pour ma mère, c'était super important qu'on soit instruits afin d'avoir le choix, plus tard dans nos vies.  

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gernouille1

Inscrit le :
05 févr. 2006

Posté le: 19 septembre 2011 15:28:50 EDT  
J'ai peut-être lu trop vite mais j'ai trouvé que ça ne disait pas grand chose comme étude ou du moins, que ce n'était pas clair comme résultat et contradictoire par bout.

De toute façon, c'est comme tout: ça dépend de bien des facteurs. Je fais le même métier que ma collègue qui, malgré qu'elle ait plus d'expérience que moi, rapporte toujours du travail le soir et les fins de semaine. Je n'ai jamais vu une personne aussi stressée et aussi cernée. Elle n'a pourtant qu'un enfant qui est ado alors que j'en ai 3 en bas de 5 ans et je n'ai pas de cerne! Évidemment que nos façons d'être doivent avoir une influence sur nos enfants et leur rendement scolaire. 

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marilync

Inscrit le :
12 août 2007

Posté le: 19 septembre 2011 15:20:32 EDT  
sérieux je sais pas trop ce que j'en pense...j'ai toujours penser que c'étais plus facile pour un enfants d'avoir un des deux parents a la maison.... plus de temps pour les devoirs et lecon, activiter parascolaire et autre...me semble que tout ce que j'entends des parents qui travail tout les deux est" je suis déborder, fatiguer tannée de courir, c'est la course aq la maison ect"...je sais pas, mais en quoi c'est supposer être bon et productif pour l,enfants?...ya quelque chose que je comprends pas... 

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Anonyme

Inscrit le :
18 nov. 2008

Posté le: 19 septembre 2011 13:45:42 EDT  

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