L'avac une chercheur développe un nouvel outil

Dans le soleil ce matin,

Résumé d'un article :

Un chercheur de la faculté de médecine de l'université Laval, le Dr Emmanuel Bujold, a mis au point une méthode pour déterminer le succès d'un avac . La méthode est simple : mesurer par échographie l'épaisseur de la cicatrice laissée par la césarienne sur l'utérus, entre la 3 et 38 semaine de grossesse. Si la paroi de l'utérus est supérieure à 2,3 mm, les risques sont réduits de moitié.
Les médecins et les femmes hésitent à recourir à un avac. Les médecins craignent les poursuites. Les femmes craignent les complications. Une rupture de l'utérus est possible (1 cas sur 200) « Mais 9 fois sur 10, on sauve l'enfant et la maman » mais une rupture de l'utérus, ça demeure une catastrophe. Pourtant, les césariennes comportent beaucoup de risques (perte de l'utérus, besoin d'une transfusion, problèmes respiratoire du bébé) Plus d'inconvénient même que l'avac. Les travaux du Dr Bujold arrivent à point nommé pour encourager l'avac. Depuis un an il examine les cicatrices de l'utérus et donne son avis au gynécologues qui, à leur tour, conseillent les femmes sur la meilleur façon d'accoucher