Dépendance aux jeux video

Moi ce que je comprends pas, c'est les parents qui laissent des cellulaires a leurs enfants, ou il y a internet et tout la dessus, pi c meme pasleurs ados qui payent mais les parents... Je trouvve que le cellulaire en est une forme de dépendance! Le GameBoy, je le sais qui en a qui aime sa, mais moi, jai tjrs trouvé que sa avait pas sa place, aussi le Nintendo DS et le PSP. Bon il a les ordinateurs portatif aussi,mais il a bcp de monde qui utilise sa pour le travail, moi la premiere!

Et je vous épargne l'histoire de quand il a recommencé à jouer en cachette sans me le dire...

Je trouve ca vraiment triste et pour le petit garcon et pour votre situation VéroS. C'est vrai que comme la dépendance aux jeux vidéos est toute récente, l'aide n'est pas suffisamment présente. J'espère que le cas de ce petit Brandon médiatisera le problème grandissait que causent la cyberdépendance

Je cite Le Devoir

À l'heure actuelle, 6 % des quatre millions d'utilisateurs d'Internet au Québec seraient atteint de cyberdépendance. Ce chiffre pourrait toutefois grimper en flèche, prévoit le CQLD, si la communauté scientifique se décide à changer son cadre d'analyse pour lui donner plus de rigueur.

Personnellement je suis plutôt blasée par rapport à toute ça... J'ai marié un dépendant des jeux vidéos et ce n'est vraiment pas une blague. Mon conjoint (adulte de 24 ans) peut passer des heures et des heures sur son ordinateur à jouer à Final Fantasy 11. Il joue en moyenne 6-7 heures par jour et lorsqu'il ne va n'y à l'école, ni au travail, il peut jouer plus de 80 heures par semaine. À une époque il se couchait très tard la nuit et mettait son réveil très tôt pour profiter d'heures de jeux ou je ne l'écoeurais pour qu'il arrête.

J'ai eu beaucoup de difficulté à comprendre tout ce que ce jeu impliquait pour lui. Pour moi, les gens avec qui ils jouent ne sont pas importants, à la limite même pas réels, mais pour lui, ils sont super importants et il ne veut pas que sa réputation soit tachée.

Mes seules consolations sont: il reste à la maison, il ne prend pas de drogue ou d'alcool et il ne me trompe pas avec personne... Évidemment je trace un portrait extrêmement négatif de la chose, mais ce n'est pas totalement dramatique. Lorsque je lui demande de sortir il accepte toujours, il m'aide avec le ménage et il ne refuse jamais du travail sous prétexte qu'il veut jouer. Cependant, lorsque je lui ai demandé de choisir entre le jeu et moi, il m'a choisi, mais je le voyais tellement malheureux que j'ai décidé de le laisser jouer un peu... et le cycle recommence.

La dépendance aux jeux vidéo est une dépendance méconnue de la population. Si mon conjoint était alcoolique, tout le monde serait autour de moi à essayer de nous aider. Nous aurions accès à des centre et tout et tout. Mais comme il s'agit d'une dépendance peu connue, les ressources sont limitées et évidemment mon homme veut plus ou moins s'en sortir. Il n'est pas malheureux la-dedans et je ne le suis pas complètement non plus, alors pourquoi cesser de jouer?

Ce fou, mais j'ai presque honte de poster ce message. Je sais que plusieurs vont juger ses parents et vont me dire que je devrais l'obliger à arrêter de jouer, mais en fait il faut beaucoup plus que ça. Ses parents sont géniaux et ne l'ont jamais laissé jouer de nombreuses heures lorsqu'il était jeune. Mais quand il a payé de sa poche un ordinateur ils n'avaient pas tellement de contrôle sur le fait qu'il a décidé de le mettre dans sa chambre. Et pour ma part, j'ai beaucoup de travaux à faire, je suis super occupée et je ne me considère pas comme malheureuse dans la situation je trouve juste dommage de le voir gâcher du temps là-dessus. Et je vous épargne l'histoire de quand il a recommencé à jouer en cachette sans me le dire... Je comprends donc les parents du jeune d'avoir essayé de lui confisquer sa console... j'espère qu'il se porte bien.