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silicateInscrit le : |
voila..je suis abberé et outré d'apprendre que les femmes recoivent une petite dose de syntho apres l'a
couchement....methode preventive qui éviterais hémoragie et complication suite a l'utérus qui se replace pas bien... 1- celle qui allaite ..cE'st prouvé que sa favorise NATURELLEMENT de replacé l'utérus.. ,on prends pas des tylénols pour PREVENIR un mal de tête chacun son choix, mais honnetement.......c'est ridicule |
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AnnlieInscrit le : |
Wow et rewow! Enfin quelqu'un qui s'y connait ose dire que l'accouchement avec une sage-femme, ce n'est pas envoyé maman et bébé sur le chemin de la mort directement...
Si la majorité des médecins avaient cette ouverture d'esprit, les mentalités de seraient sans aucun doute pas ce qu'elles sont aujourd'hui. Annlie qui ne veut plus jamais avoir de syntho... |
silicateInscrit le : |
merci gege de l'avoir mis...
en effet..c'est ce que je lis depuis mon début de grossesse..... comme je tiens a mon avac...mais fait en milieu hospitalier...je me prépare a faire face a la douleur...toute facon jpeux pas avoir vécu pie sur le syntho jme dis...enfin....merci pour le texte! |
gege123Inscrit le : |
Je le copie ici, mais je vous avertis, c'est quand même assez long. Pour celles qui ne veulent pas le lire, je résume : Une omni-accoucheuse de l'hôpital St-Mary's à Montréal a décidé d'accoucher de son 3e à la maison des naissances parce qu'elle n'a pas aimé ses expériences à l'hôpital. Elle explique qu'en médecine, ils apprennent à régler les problèmes qui peuvent survenir pendant l'accouchement, plutôt qu'à voir le déroulement normal. C'est ce qui influence leur méthode de travail très protocolaire.
donc L'Actualité médicale.com, 21 avril 2009 Quand une femme médecin accouche avec une sage-femme 20 avril 2009 | Par Isabelle Girard La DreMaxine Dumas-Pilon et Jules,né avec une sage-femme. Maxine Dumas-Pilon a accouché de son troisième bébé avec une sage-femme. La jeune omnipraticienne de 33 ans, médecin accoucheur au Centre hospitalier de St. Mary, à Montréal, raconte pourquoi elle a choisi d'accoucher en maison de naissance après deux expériences mitigées à l'hôpital. Bébé Jules tète le sein. Il dort, tète et dort encore, étranger au froid de février, lové contre sa mère dans une maison du quartier Petite-Bourgogne baignée de lumière. Jules est né le 2 février dernier à la Maison de naissance Côte-des-Neiges, à Montréal. «C'était un accouchement parfait. Mon conjoint disait que j'avais l'air de faire du yoga», relate la Dre Maxine Dumas-Pilon. Une histoire bien différente de la naissance de ses deux premiers enfants. «Quand je suis tombée enceinte de mon premier bébé, j'étais profondément convaincue qu'accoucher à l'hôpital était plus sécuritaire. J'étudiais en médecine, on nous enseignait qu'un accouchement pouvait mal tourner très vite.» Azure et Genève Elle accouche d'Azure à l'hôpital Saint-Luc il y a six ans, avec un gynécologue-obstétricien. L'accouchement est typique d'un premier bébé. Épuisée et incapable de supporter plus longtemps la douleur, elle réclame une épidurale après une longue phase de latence de 17 heures. Hormis la surprise de la douleur pour laquelle elle n'était pas préparée, tout se passe bien. Au deuxième bébé, rebelote à l'hôpital Saint-Luc. Mais cette fois avec un médecin de famille. Alors résidente en médecine familiale, il fallait bien «honorer la profession». Après la rupture des membranes, les contractions arrivent très rapidement et elles sont très fortes. «J'ai complètement paralysé», se rappelle-t-elle. Elle demande l'épidurale. L'anesthésiste n'étant pas disponible, elle reçoit du Nubain, un analgésique, en attendant. «L'épidurale a complètement arrêté les contractions. Il a fallu qu'on m'administre un ocytocique, ce qui a déclenché la cascade fréquente en milieu hospitalier: trop d'ocytocique, trop de contractions. A suivi une détresse f?tale. Finalement, Genève a récupéré, mais j'ai été à deux doigts d'aller en césarienne», raconte-t-elle. À la naissance, l'état de Genève est critique. Elle a besoin de réanimation et passera trois heures loin de sa mère, aux soins intensifs. «Ça m'a donné énormément d'anxiété. Deux jours après la naissance, j'ai eu une attaque de culpabilité. Je me suis dit que sans l'épidurale, toute cette cascade d'interventions n'aurait pas eu lieu.» Réflexion Après cette naissance traumatique sur le plan psychologique, Maxine entame une réflexion. Médecin accoucheur au Centre hospitalier de St. Mary, elle se familiarise avec l'approche des sages-femmes. Elle constate qu'elles suivent des femmes à bas risque de complications et qu'elles travaillent activement à les maintenir à bas risque. Les sages-femmes misent sur le pouvoir de la femme à accoucher normalement. Cette vision globale est bien différente de ce qu'elle avait appris en médecine. «Pendant notre formation, on nous enseigne les problèmes et les complications qui peuvent survenir en obstétrique, mais rien sur l'expérience de la femme qui accouche.» La jeune médecin s'intéresse aux complications iatrogéniques de l'accouchement. Le monitorage du c?ur du bébé pendant le travail, par exemple, augmente les taux de césarienne sans améliorer la santé des femmes. «Malgré les preuves scientifiques, on continue de l'utiliser systématiquement», s'étonne-t-elle. Dans la plupart des hôpitaux, on installe une intraveineuse à la parturiente pour être prêt à administrer médicaments ou sang en cas d'hémorragie post-partum. «En maison de naissance, l'idée est plutôt de ne pas mettre d'intraveineuse pour que la femme demeure mobile. Comme ça, elle a moins de risques d'avoir des complications et une hémorragie post-partum. Nous, on fait les choses à l'inverse. Mais on ne se dira jamais qu'on risque de se tirer dans le pied en limitant sa mobilité.» Même logique concernant la privation d'eau et de nourriture des femmes en travail pour garder l'estomac vide en cas d'anesthésie. En empêchant une patiente de manger, elle risque de s'épuiser et de contracter moins. On aura alors recours aux ocytociques de synthèse et au monitorage continu. On risque alors d'observer des décélérations f?tales et d'aboutir à la césarienne, avec les risques de complications inhérents à toute intervention chirurgicale. «Il est devenu très clair que si j'allais avoir un autre bébé, l'accouchement n'aurait pas lieu à l'hôpital. Il y a toutes sortes d'interventions que je ne voulais pas avoir, comme le monitorage ou l'intraveineuse, parce que ça générait de l'anxiété chez moi.» Leçon de sagesse Maxine Dumas-Pilon a choisi le suivi de grossesse et l'accouchement avec une sage-femme à la maison de naissance pour vivre un accouchement naturel dépourvu de techniques médicales. Préparée à faire face à la douleur, la jeune femme compare l'expérience à l'ascension d'une montagne. «Il y a des moments où tu en as marre et tu te demandes ce qui t'est passé par la tête. Tu vas au bout de tes limites. Mais quand c'est fini, tu ressens un sentiment d'accomplissement.» Enchantée du contact humain et très professionnel des sages-femmes, Maxine Dumas-Pilon recommande l'expérience. Son seul bémol: un premier bébé devrait naître à l'hôpital à cause du plus haut risque de complications. La culture médicale a progressé vers une approche beaucoup plus humaine de l'accouchement, note-t-elle. De plus en plus d'hôpitaux ont remplacé les traditionnelles salles d'accouchement par des chambres de naissance intimes. On laisse les femmes libres de bouger et on favorise le contact peau à peau tout de suite après la naissance. Des mesures positives, soit, mais elle croit que les médecins auraient encore à apprendre des sages-femmes. «J'ai senti un amour et un profond respect de la femme, de la naissance et de la famille. Tu es complètement respectée dans ta bulle, ton rythme et ta rencontre avec ton bébé.» Maxine Dumas-Pilon demeure convaincue que l'approche des sages-femmes y est pour beaucoup dans la naissance heureuse de bébé Jules. |
silicateInscrit le : |
jai pas acces a l'article !
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gege123Inscrit le : |
C'est vrai Renata, tu as raison.
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gege123Inscrit le : |
Ce qui arrive coup de Lune est que l'accouchement est rendu tellement médicalisé en général que c'en est rendu que ça crée des problèmes qui ne seraient pas survenus s'il n'y avait eu aucune intervention. Les médecins appellent ça la cascade. Dès qu'ils se pointent le nez dans un accouchement, les chances que des interventions soient pratiquées se multiplient. Attention, je ne dis pas que la médecine n'a pas sa place. Il est indéniable que les médecins ont sauvé des quantités de femmes et de bébés lors d'accouchements compliqués. Par contre, ils n'auraient pas besoin d'être aussi présents.
Voici un article paru dans le magazine L'Actualité Médicale, paru le 21 avril 2009. |
Coup de LuneInscrit le : |
Mon dieu...
Moi je fais confiance à mon médecin et je me dis que c'est pas une petite dose d'oxytocin qui va faire basculer ma vie, il me semble que j'ai bien d'autre soucis dans ma vie. |
**Artémis**Inscrit le : |
Chaque médecin a son propre protocole. À vous d'en discuter avec lui.
C'est fou de voir combien d'intervention peut se faire inutilement juste au cas ou que..... |
silicateInscrit le : |
bien voila...sa confirme que des femmes en sont pas au courant....et c'Est encore la ce que je déplore..
il faut TOUT LIRE..TOUT savoir ...hélas....meme avec tout la volonté du monde..on s'en fait passer..je suis vraiment dégouté.. |
§§_Kylha_§§Inscrit le : |
le suntho fait parti de ce qu'on appella la délvirance assistée. cette mesure comprend:
- 10 ui de syntho suite à la naissance du bébé - traction contrôlée du cordon avec pression sub-pubienne - masage utérin tous les docs font automatiquement (ou presque) ce type dedélivrance. c'est prouvé que le fait de faire ça diminue de moitié les hémorragie importante dans le post partum immédiat. parcontre, ça reste une mesure non physiologique. en maison de naissance, nous l'offrons aux femmes ayant un facteur de risque (antécédent d'hémorragie, travail précipité ou dystocique, etc). ce qu'on remarque parcontre, c'est que oui el syntho diminue les pertes dasn le post partum immédiat, mais il semblerait que dans les jours suivants, les femmes n'ayant pas eu de syntho ont beaucoup moins de perte. le corps a besoin d'éliminer une certaine quantité de sang donc on dirait que celles qui en perdent plus à l'accouchement vont moins en perdre par la suite, ce qui fait que la perte serait similaire. |
Nadine30Inscrit le : |
C'est bizarre, moi à mes deux accouchements (les deux naturels) je n'ai eu aucune injection. Ils m'avaient placé le petit bout de plastique dans le bras avant (au cas où) mais je n'ai jamais été branchée à aucun soluté. À mon premier accouchement, ils ont priorisé le massage et c'est TOUT un massage!!! Mon médecin était presque debout sur moi tellement il fallait qu'elle masse fort! Je me serait bien passée de ce massage....À mon deuxième, je n'ai presque pas eu de saignement. Le médecin n'en revenait pas!
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tigresss46Inscrit le : |
Juste pour vous donner de vrai information, lorsque que l'on met un soluté avec du synto, on met 1 fiole de 10unités ( ce qui n'est vraiment pas beaucoup) diluer dans un sac de soluté de 500ml. C'est toujours mieux qu'une fiole donné intra-musculaire direct.
Et puis savez-vous que si vous faite une hémorragie, il y a des possibilité que votre hypophyse ne secrète plus les hormones nécessaire pour produire le lait. Certaine n'ont pas de montée laiteuse à cause de ça. Donc ce n'est pas mauvais de suppléer au mécanisme naturel du corps dans certain cas. C'est certain que la majorité des médecins n'aime pas attendre après le corps que l'allaitement soit débuté pour que les mécanismes naturels fassent leurs effets, ça je vous l'accord. |
MynaïInscrit le : |
Je confirme...
À mon premier, j'ai vécu un accouchement tout à fait naturel, 0 intervention, si ce n'est le soluté d'antibiotiques pour le Strep B... Et je l'ai appris plus tard, en regardant mes photos plus attentivement, une perfusion de synto apparue «comme par magie» en remplacement de celle d'antibiotiques pour la phase d'expulsion du placenta. Disons que cette «passe du lapin bleu» m'a laissée un peu amère... Et cette fois je compte bien demander à mon chum de surveiller plus attentivement, question de laisser la nature faire son travail, d'autant que j'allaite. |
lisaInscrit le : |
Ça m'a été donner après tout mes 3 accouchements parce que ça l'air que je perdais trop de sang.
Sauf qu'en ayant cette cochonnerie la,j'avais terriblement mal,obliger de rouler sur les médicaments et comme par hasard,dès que je me le fessait retirer,je ne saignais pratiquement plus. Si 4em il y a,c'est clair que je vais exiger de pas en avoir si c'est pas nécessaire parce que déjà la avec le fait d'allaiter,ça contracte donc pas besoin de ça en plus. |
silicateInscrit le : |
coup de lune...dans ton cas sa été indiqué..mais a titre preventif....je ne crois pas que c'est vriament nécessaire...
et justement le corps en produit de lui meme..moi j'ai été ÉCHAUDÉ dy syntho..donc son utilisation me fait friser les oreilles!! |
Coup de LuneInscrit le : |
Je comprends pas...ils l'injectent avec une seringue? Pourl es mamans qui accouchent naturel, elles n'ont pas de cathéter en place, comment ils donnent cette dose?
Si c'est vrai, je suis sure que c'est une dose minime. Le corps de la femme en produit naturellement (c'est une hormone synthetisé l'oxytocin) Pour ma part, j'avais de gros saingements après ma césarienne et j'ai eu 2 poches d'oxytocin pour justement arrêter de saigner...laisse moi te dire que c'est tellement pas fort comme dose que ca provoque même pas une petite contraction...donc, je crois pas que ce soit néfaste. |
silicateInscrit le : |
je crois que c'est personnelle comme décision et il n'ont pas a imposé! that its!
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cocotineInscrit le : |
J'ai eu l'injection à mon accouchement. Le placenta a bien sorti, mais j'ai quand même fait une hémoragie quelque temps après. J'avais eu l'accouchement naturel que je voulais, mais j'ai dû avoir le soluté, le pitocin et l'oxygène après.
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silicateInscrit le : |
gege123 a écrit C'est n'importe quoi. Vive l'accouchement naturel. Ils ne peuvent rien injecter sans notre consentement dans ce temps-là. C'était ma crainte lorsque j'ai eu la péridurale. Si c'est pour la délivrance placentaire, le massage devrait être priorisé si le placenta ne vient pas facilement. La médication devrait être un dernier recours. j'aborde dans le même sens....je trouve ca vriament ridicule.. . et le fait est..qu,il ne le DISE PAS....... c'est ce qui est le plus abberant.... tu termine le travail et il t'induise... |
gege123Inscrit le : |
C'est n'importe quoi. Vive l'accouchement naturel. Ils ne peuvent rien injecter sans notre consentement dans ce temps-là. C'était ma crainte lorsque j'ai eu la péridurale.
Si c'est pour la délivrance placentaire, le massage devrait être priorisé si le placenta ne vient pas facilement. La médication devrait être un dernier recours. |