Une nouvelle étude: il est bénéfique de laisser pleurer

confortable
J'aime bien cette idée de faire ce qu'on trouve confortable pour sa famille.
Chaque parent devrait faire comme il le sent en ayant comme souci le bien de l'enfant et celui de tous les membres de la famille, personne n'a à critiquer cela ou à remettre cela en cause.
Dans une même famille tous les enfants sont différents, entre deux familles tout est différent également, alors si chacun peut partager son expérience et dire : moi je fais comme ça pour ça, jamais on ne devrait dire : fais ceci ou fais cela.

Personnellement, je laisse rarement mon fils pleurer, seulement quand je n'ai pas le choix de faire autrement, il a 2 mois et 8 jours. J'ai lu un article qui explique que les pleurs ont des vertus dans le sens où les larmes permettent d'évacuer le stress et la tension, donc quand un enfant a tout ce dont il a besoin, si il continue à pleurer, il y a seulement à le garder dans les bras, rester calme, être dans la bienveillance et écouter ce qu'il a à dire. Il ne sait pas parler, pleurer est sa façon de nous exprimer ses émotions, il faut juste les recevoir. C'est le point de vue de l'article et je le partage. Vouloir à tout prix faire cesser les pleurs révèlent davantage un inconfort des parents, certainement qu'on les a empêché de pleurés bébé et donc ils ne peuvent supporter que l'enfant pleure alors que dans certains cas, cela lui fait du bien d'évacuer ainsi ses tensions !  

L'étude parle des enfants qui pleurent la nuit.
Il y a une différence entre les pleurs du sommeil agité qui en effet peuvent se terminer tout seuls, et des pleurs plus longs qui réveillent le bébé et qui trahissent souvent un besoin réel !  

Tu dis! Et même au deuxième, tout est à recommencer parce que chaque bébé est différent. Et j'en sais quelque chose... Tout ce qui fonctionnait avec ma fille (dormir emmailloté, bruit blanc dans la chambre, accroc à la suce, etc.) ne fonctionne tout simplement pas avec mon fils. Tout est à "recommencer", encore des questionnements, des doutes, des essaies, des erreurs, de la frustration "de ne pas savoir alors qu'on devrait", mettre encore une fois les garde-robe sans dessus-dessous à la recherche du fameux instinct maternel supposé nous donner toutes les bonnes réponses (que je n'ai pas trouvé finalement ) , etc. ;)

Merci pour l'article en lien, très intéressant (quoiqu'un peu trop partisan pour un article devant "simplement remettre les pendules à l'heure" mais c'est le but d'un Blog, après tout.)   

Wow merci Zustine, tu viens de faire ma journée (maintenant, si ti-poux pouvait faire ses nuits... ) 

Personnellement, je n'ai jamais laissé pleurer ma fille. Et je ne laisse pas pleurer mon garçon. Pas parce que je trouve que c'est "barbare", tout simplement parce que ça ne me rejoint pas et parce que j'en suis incapable. Mais il faut aussi l'avouer (et peu le font): aussi parce qu'on en est jamais arrivé là.

Par contre, j'ai de bonnes amies, d'excellentes mamans, qui ont laissé pleurer. Elles l'ont fait avec la règle des 3 c mentionnée plus haut (chaleur, constance et cohérence). Ça a fonctionné pour certaines et pour d'autres non. Belle preuve que chaque bébé est unique ...  

Je veux juste préciser que l'article de TVA qui parle de laisser pleurer les bébés est seulement une interprétation de l'étude. Je suis aller lire le papier original et on ne fait mention nul part de cette conclusion. L'étude établit seulement des faits constatés c'est à dire qu'environ 34% des bébé de 6 mois se réveille encore la nuits et que se sont plus souvent des garçon, allaités, dont la mère se lève à chaque pleur. Il n'est précisé à aucun moment qu'il vaut mieux laisser pleurer pour qu'ils dorment, c'est juste l'interprétation de TVA. Au contraire les conclusions sont plutôt que peu importe le type de dormeur qu'on a, celà fini par se stabiliser entre 2 et 3 ans et ils finissent tous pas faire leur nuit. 

Effectivement, l'image est peut-être mal adapté à l'article (mais encore là, un bébé de plus de 6 mois qui dort sur le ventre, c'est loin d'être anormal) mais l'étude est bien réelle. Le fait qu'elle soit rapporter par TVA n'en fait pas moins une étude crédible. Si TVA rapportait qu'un chercheur avait finalement trouver le remède contre le cancer, est-ce que le remède en serait moins véridique? Je vous invite donc à lire l'étude dans son ensemble si le résumé de TVA vous embête à ce point ;)

Ensuite, je voulais simplement démontrer qu'il y a une étude pour tous les goûts, toutes les façons de faire. Que sur Internet on trouve de tout, et son contraire. Que ce qui était à la mode "dans le temps", est aujourd'hui pratiquement de la négligence mais ça sera fort possiblement tout aussi vrai pour "LA chose à faire maintenant" (qui sera critiqué plus tard par nos fils et filles maintenant devenu parent).

Mon sens critique va très bien, merci.  

comme tu dit après 6 mois pas avant....j'ai bien de la misère avec l'ancien principe ( temps de mes parents) de laisser pleurer un enfant si jeune ( avant 6 mois ). lorsque mon fils a eu 7 mois j'ai utiliser le 5-10-15 ( il fesait ses nuits a 2 mois et demi et a 6 mois de vie est tombé malade, 48 hrs d'hospitalisation, avec une tite maman qui s'occupait et qui le collais a tout heures de la nuit puisqu'il en avais besoin ) cependant sa a créer un besoin, même après son hospitalisation...j'ai tuffer 1 mois et pis après pu capable!!! mais encore aujourd'hui il lui arrive de faire des cauchemars et si mon petit n'a pas le même pleurs que d'habitude...si je sens qu'il a vraiment besoin de moi, j'y vais et tout de suite sa le réconforte ( je ne le prend pas ) et sa n'arrive qu'une fois de temps en temps. Cette semaine si je ne me serais pas lever, mon fils aurait été geler en se levant le matin: son pyjama s'était détaché pendant son sommeil a force de tourné...il avais donc tous le torse nu et était tout coincé dans son pyjama....le pauvre!!! j'ai senti dans ses pleurs que quelque chose n'allait pas...et j'avais bien raison comme quoi laisser pleurer oui, mais pas a tout prix....lolll