Les signatures forum sont temporairement désactivées.
Se connecter pour répondre

Les séparations....

Auteur Message

Anonyme

Inscrit le :
12 déc. 2010

Posté le: 17 décembre 2010 21:05:39 EST  
Il y en a dont bien !!! Crying or Very sad

Autours de moi, pleins de couples avec enfants se séparent.

Statistiquement parlant, 1 enfant sur 4 qui entre à la maternelle a ses parents séparés. Un enfant sur 10 a des parents séparés plus de deux fois...
Je trouve ça vraiment triste.

Selon vous qu'est-ce qui arrive ?

Il y a la génération... On passe vite à autre chose. Consommation excessive, on se tanne vite.

Autrefois on devait être en couple pour quitter la maison, on se casait vite mais le mariage et la religion gardaient les couples "unis" malgré le manque d'amour. Maintenant on a le choix et on se sépare de plus en plus... peut-être trop vite ? facilement ? Les couples tentent-ils tout avant d'en finir ?


C'est sur qu'il est souvent mieux pour les enfants de ne plus vivre dans un climat de tentions et de dispute, mais en même temps vivre une séparation c'est quelque chose de très gros d'imposer à de biens petites personnes... Ce n'est pas sans conséquence.

Heureusement il y a des séparations qui se font "doucement", dans une certaine harmonie, où l'enfant n'est pas trop déboussolé. Mais ce n'est pas ce que je vois autours de moi...

Je vois des parents se séparer du jour au lendemain, se blaster, j'entends des mères dire que ça n'a jamais été aussi bien pour leurs enfants alors qu'elles viennent de quitter leur maison Sad C'est se fermer les yeux...

Je pense que lorsqu'on devient parent, c'est important de penser aussi à si on arrive à une séparation ce qui advient des enfants, des engagements... Continuer d'offrir une stabilité à un enfant, même en séparation, c'est possible...

Pense t-on assez aux enfants ? 

revenir en haut

Patchoullie1977

Inscrit le :
23 août 2009

Posté le: 21 décembre 2010 17:32:48 EST  
Nous vivons une époque visée sur l'individu. Ce qui est relativement nouveau car les moeurs et les coutumes voulaient que l'on pense aux autres avant de penser à soi-même. Mais je pense que le balancier s'est retrouvé d'un extrême à un autre. On vit une période très "égocentrique" canalisée sur le bien-être personnel. Ce qui n'est pas un mal en soi car si on ne pense pas à nous, qui le fera?

Un couple, une vie de couple demande d'y mettre des efforts, de faire des compromis. C'est illusoire que de penser que la passion doit être aussi dévorante après 10 ans de vie commune. Avec le temps, la passion laisse place à la tendresse, à la complicité. L'amour se transforme et c'est là que le bât blesse car cette transformation amène certaines personnes à la conclusion qu'il n'aime plus leur partenaire.

Par contre, je suis d'avis que 2 parents qui s'endurent ne font pas le bon choix de rester ensemble pour leurs enfants.  

revenir en haut

Hochi

Inscrit le :
13 mai 2007

Posté le: 21 décembre 2010 16:50:16 EST  
Y'a deux sortes de separation... Celle qui est presque un coup de tete qui donne l'impression que, soit un des deux parents ou les deux parents, n'ont meme pas refléchit a toutes les conséquences sauf a leurs pseudo-liberté et l'autre que les gens on essayer tout ce qui se pouvait et qui s'endure depuis quelques années et qui se donne enfin le droit de retrouver un niveau de bonheur qu'ils n'ont plus depuis longtemps.

Mais malheureusement la procedure de separation est rarement bien fait par les parents y'en a souvent un qui est trop emotif ou trop frustrer ou simplement qu'il est trop blaser et se fou un peu de tout ca.

Il n'y a pas de manuel pour se separer et meme si il y en avait un je penses que la majorité des parents ne le suivrait meme pas. Mais c'est vrai que ca serait bien que les gens essait un peu plus de regler les problemes, faces des efforts, avant de penser a la separation.  

revenir en haut

Anonyme

Inscrit le :
12 déc. 2010

Posté le: 19 décembre 2010 20:49:18 EST  
C'est certain que personne ne souhaite de séparation.

Par contre, sans connaître tous les problèmes des couples qui m'entourent, j'ai souvent l'impression que les parents ne font pas TOUT en leur pouvoir pour tenter de sauver leur couple. Je sais que pour ces gens aussi c'est difficile de voir leur enfant dans ces situations mais on dirait en même temps qu'il y a une espèce de nonchalance, parfois on dirait presque une séparation sur un coup de tête... Les enfants se retrouvent perdus, "garocher" d'un bord et de l'autre...

C'est important de la stabilité pour un enfant, de ne pas se demander où il sera demain, dans quelle maison, avec qui, pourquoi, comment, ....

 

revenir en haut

crystalle

Inscrit le :
17 déc. 2007

Posté le: 19 décembre 2010 20:23:53 EST  
POur la question de la polygamie chez l'être humain à savoir si l'être humain est de nature polygame ou monogamme, j'ai écoute l'émission Le code Chastenay et croyez le, ils font une étude pour le savoir!

http://lecodechastenay.telequebec.tv/occurrence.aspx?id=270&ep=64

J'ai été surprise du résultat car moi-même je croyais que nous étions plutôt de nature polygame mais que le fait qu'on est une intelligence supérieur à notre nature profonde nous permette d'être monogame!

Je voulais seulement vous partagez ce lien Wink 

revenir en haut

vero_j

Inscrit le :
19 août 2008

Posté le: 19 décembre 2010 18:00:06 EST  
sujet très intéressant.

mon couple bas de l'aile et ce qui m'accroche c'est exactement votre façon de penser.

Je me dis que les gens se séparent vite et que avant ils essayaient de passer au travers des difficultés.

Ici c'est une dépendance non-admise du conjoint aux jeux d'ordinateur le problème.. il ne s'intéresse à rien, il n'a plus le goût de sortir avec les enfants, remet tout à plus tard.

Par contre je suis très confuse si il ne change jamais je fais quoi? Il a toujours joué énormément mais depuis ma grossesse cela a atteint des limites déraisonables. Bébé est né et rien n'y change.

Alors en résumé je trouve triste pour les enfants de vivre cela si jeunes mais en même temps ne serait-ce pas plus facile si la séparation a lieu le plus tôt possible? Mon plus jeune ne connaitrait jamais la vie de parents réunis.. dans mon entourage j'ai aucun exemple de couple durable. C'est d'ailleurs en partie uen des raisons pour laquelle le mariage ne nous a jamais tenté. 

revenir en haut

Cynthia86

Inscrit le :
06 oct. 2008

Posté le: 19 décembre 2010 11:43:42 EST  
Très intéressant ton texte Babsi !  

revenir en haut

Babsi

Inscrit le :
24 sept. 2007

Posté le: 19 décembre 2010 08:52:16 EST  
Résumé d'un chapitre extrait de "La fin de la famille moderne"

C'est peu dire que la famille soit en crise. Le chamboulement de l'institution a provoqué une pathologie ayant comme symptômes la violence familiale, le suicide, le décrochage scolaire, l'abandon parental pur et simple, le rajeunissement de la délinquance et du crime. Cette crise de l'institution est vécue par les personnes comme une crise d'identité. Le type social et historique qui a anciennement fourni aux individus un idéal orienteur est frappé d'obsolescence.

Autrefois dès qu'une relation devenait sérieuse, c'était les fiançailles et le mariage. Aujourd'hui, les gens bredouillent quand il s'agit de présenter la personne qui partage leur vie. Ce qui a basculé dans l'indétermination, c'est la relation conjugale elle-même.

Fondé identitairement dans l'être du sujet moderne, les rôles familiaux, conjugaux comme parentaux, une fois déconstruits, ouvrent la porte à l'imprévisibilité. La violence parentale (commise tout autant par la femme), est une manifestation de l'anomie liée à l'institution familiale. Il n'y a d'ailleurs pas de lien entre le comportement de l'enfant et le traitement qu'il subit et désormais beaucoup d'enfants vivent des problèmes d'adultes.
Ces changements témoignent d'une désorientation normative réelle et profonde.

Le rapport à l'enfant

Pour éclairer le nouveau rapport à l'enfant, il y aurait une foule de questions à traiter, mais deux aspects de ce nouveau rapport sont importants à aborder : la redéfinition des rôles parentaux et le problème de la sous-fécondité.
Les rôles et la solidarité parentale typiquement moderne entre une mère proche de l'enfant et un père figure d'autorité ont clairement éclatés, et pas seulement en raison du divorce des époux. Le phénomène s'avère plus général, il est lié à la remise en question des genres.
Le problème de natalité parait également important. Il est évident que dans la mesure où la reproduction démographique des humains n'est plus assurée et assumée par un dispositif vital biologiquement monté, le renouvellement des populations procède de raisons sociales d'exister.


Le tournant des années soixante

Au beau milieu des années soixante, les tendances multiséculaires que décrivent les courbes de nuptialité, de natalité, de divortialité s'inversent, et tout un univers familier parait sombrer dans l'anormalité. C'est l'époque qui correspond à l'arrivée de l'âge adulte de la génération du baby-boom.
Ces jeunes en âge de procréer auront une vie construite à l'aune du bonheur familial, toute consommatoire. Ils auront des enfants pour eux-mêmes et cette attitude aura comme influence de déterminer leur manière de les élever. Elle se traduira aussi par la sacralisation de l'enfance, de son ingénuité, de son naturel, de sa supériorité. Ce qui revient à disparaitre au profit de ses enfants. Pour fonder une famille, il faut décider qu'on est assez vieux. Notons qu'à la génération précédente, les êtres dans la jeune vingtaine se considéraient tout prêts à fonder une famille, s'établir et prendre le monde en charge! Les parents des années soixante ont donné une éducation qui disposait les enfants à vivre leur vie, à en jouir, mais pas à continuer le monde. Il y a quelque chose de très beau dans cette jeunesse éternelle, mais on ne saurait fonder un monde là-dessus.

Les rôles parentaux

Les parents qui vivent le divorce trouvent bien difficile d'être en même temps père-et-mère de l'enfant. Et le cas des familles recomposées, malgré toute la bonne volonté, n'arrivent pas à rétablir le rôle des genres parentaux dans une nouvelle union.
Aux yeux de l'enfant moderne, le père et la mère assument également le rôle parental. Ainsi divorcés, exercés séparément, ils ne forment plus un tout et ne peuvent plus représenter la même visée devant l'enfant. Ils peuvent être, et sont souvent effectivement en compétition pour son amour. Cependant, c'est aussi le cas des familles dites normales, qui ont eux aussi, une mère désirant parfois agir comme le père et un père qui emprunte souvent le rôle de la mère. Ils souhaitent, fondamentalement, pouvoir se passer de l'autre ou accaparer la figure parentale.

Aujourd'hui, à maints égards, la relation conjugale se pense en concours avec la relation parentale. Ce n'est pas surprenant que nombre de parents considèrent que les enfants nuit à leur relation de couple. Ils n'en finissent plus d'être surpris par la place que prennent les enfants dans « leur » vie!

La relation conjugale

Le mariage contemporain rompt clairement avec l'idéal-type moderne. Avant de divorcer l'un de l'autre, les couples d'aujourd'hui ont rompu avec l'engagement familial du mariage. Quand un couple décide d'avoir un enfant, c'est qu'ils en seront arrivés là dans leur vie.
La relation conjugale moderne peut se résumer à ceci : Accepter d'être une femme, c'est avouer avoir besoin d'un homme. Et accepter d'être un homme, c'est avouer son besoin d'une femme. Ce mode de reconnaissance intersubjectif est la clé de la relation moderne. Cependant, depuis quelques décennies, il s'est fait jour un modèle de relation de couple dans lequel les partenaires ne s'engagent plus l'un dans l'autre. Il n'est évidemment plus question de pourvoyeur; les aventures peuvent être permises; les enfants sont en option, et les vacances de couple aussi.
Il est facile d'y voir une marchandisation des rapports de couple, ou le narcissisme à son meilleur. Alors que le mariage moderne réalisait le genre propre à travers la fondation d'une famille, le « mariage » contemporain met la personnalité en jeu et est assimilable à une expérience de construction du moi. Ainsi, le modèle contemporain permet qu'on dise franchement à l'autre qu'il nous a beaucoup apporté, mais que, là c'est fini. Chacun finira par admettre que le mariage qui prend fin a contribué à sa construction existentielle. C'est terminé, voilà tout. Dans ces conditions, il faut parler de divortialité, pour souligner que le divorce fait partie du mariage.

La remise en question des genres

En s'émancipant de la sphère privée, que ce soit en accédant au « libre » marché du travail capitaliste postindustriel, ou en revendiquant le droit d'exister pour elles-mêmes, les femmes ont-elles mis un terme à un enfermement plurimillénaire qui apparait rétrospectivement comme la condition même d'une famille humaine? C'est la coïncidence historique entre le mouvement des femmes de l'après-guerre et la transformation de la famille qui tend à le faire apparaitre comme la cause à l'?uvre dans ce formidable changement social.
Selon Marie-Blanche Tahon (1995), le fer de lance des bouleversements de la famille tient à la fin de l'identification femme=mère; et si la « désidentification » de la femme à son rôle de mère a une telle portée sociétale, c'est que, loin de renvoyer à une conception traditionnelle de la femme et à son enfermement dans la sphère domestique, cette construction sociale « naturalisante » de la femme comme mère est un pur produit de l'idéal républicain moderne.
L'édifice moderne se trouve donc, en partie, construit sur des bases très fragiles. Il doit beaucoup à la différence des sexes, qu'il refoule comme son impensé.

La dissolution du rapport pourvoyeur-ménagère

Il n'est pas anodin que la pénétration du marché dans la famille ou, au contraire, la sortie des femmes de la famille pour aller sur le marché puisse atteindre l'être de la famille. À ce propos, Gilles Gagné soutient que sur cette base, la famille « capitaliste », inscrite à l'enseigne du rapport pourvoyeur-ménagère, sera peu à peu dissoute par la transformation en marchandise des productions domestiques.
Confinée, par sa nature postulée, à la dimension communautaire de la socialité, la femme n'a accès à la société globale que par l'intermédiaire de son mari. Or, dans la société du travail et soumis à la froide rationalité économique, l'ouvrier n'est pas seulement exploité mais aliéné de son être générique. Non seulement le capital extorque-t-il de la plus-value de son travail, mais sa personne se résume en force de travail qui existe réellement en tant que marchandise. Concrètement, à l'usine, on ne reconnait pas la personne qui travaille (on la paye, c'est tout), et elle ne s'y réalise pas. En réalité, cette vie n'a aucun sens en elle-même ou n'en a que d'être offerte comme homme à une femme pour une famille commune. Inversement, la vie de la femme et, en l'occurrence, sa réclusion dans l'espace domestique, n'a pas de sens en elle-même, ce serait de l'esclavage.
Le couple pourvoyeur-ménagère a connu son apogée délirante dans l'après-guerre, à mesure que l'accord entre mari et femme devenait de plus en plus consommatoire. Quand tout ce qu'une femme fait à la maison, pour réaliser son genre, devient disponible comme produit marchant ou service existant comme droit social, sa prestation finira par apparaitre comme du travail non payé. C'est la médiation symbolique sous l'égide de laquelle une activité est accomplie qui lui confère son sens.
Très tôt, la famille de deux enfants devenant le mode principal, ceux-ci étant à l'école et la vie oikonomique du foyer ayant été pompé par l'économie postindustrielle, la vie deviendra réellement aliénante. N'ayant plus de ménage (oikos) à diriger, des femmes passent leur journée à faire du ménage.
  

revenir en haut

Mom2x

Inscrit le :
25 nov. 2009

Posté le: 18 décembre 2010 21:50:58 EST  
Moi aussi j'ai remarqué dans mon entourage que le nombre de séparation est incroyable!
Je trouve ca bien dommage Crying or Very sad

Ici les parents de mon conjoint ainsi que les miens sont toujours ensemble.... et amoureux!
Mon conjoint et moi sommes ensemble depuis plus de 7 ans. On a eu nos hauts et nos bas...
Mais je crois que la communication, nos valeurs semblables qui font que pour nous, un mariage réussi ca se travaille au quotidien ont contribué à garder notre couple vivant.

Je suis amoureuse de mon conjoint et lui aussi...mais notre amour se transforme. Les papillons de la passion ne sont plus "aussi" présents, mais à certains moments ils réapparaissent et on adore ca ! hihi

Les fameux papillons... on dirait que beaucoup de couple ne s'arrêtent qu'a ca... croyant que c'est CA l'amour...ALors les couples ne durent pas... Comme certains ont dit, la surconsommation transparait même dans nos relations amoureuse...dommage 

revenir en haut

Anonyme

Inscrit le :
09 déc. 2010

Posté le: 18 décembre 2010 08:59:54 EST  
On en voit plus maintenant parce que c'est une pratique acceptée socialement. C'est la seule raison. Si on n'en voyait pas/moins avant, ce n'est pas parce que les gens s'aimaient plus ou étaient plus compétents socialement. C'est parce qu'ils n'avaient pas trop le choix. Alors les maris allaient voir ailleurs et les femmes devenaient aigries. Ou bien les couples s'enduraient ou se tenaient compagnie plus qu'autre chose. Ce n'était pas si différent.

Je pense que l'être humain est un être très sociable et polygame dans sa nature fondamentale. Entretenir un amour assez fort pour tenir 50 ans sous le même toit, dans le même lit, ça lui demande un effort considérable.

Le couple/famille unie est un phénomène purement socio-culturel propre à l'être humain. Dans le passé, nous avons établi certaines règles contre nature pour former des sociétés afin de garder le contrôle et d'assurer notre survie. Et aujourd'hui, avec l'évolution, nous sommes à une époque où le bris de convention, l'individualité et l'originalité sont de plus en plus populaires. Tout ça mélangé à la société de consommation effrénée, ça donne ce que ça donne.

Paradoxalement, nous nous éloignons et nous rapprochons, en même temps, de notre nature primaire.  

revenir en haut

Lotussia

Inscrit le :
03 juil. 2008

Posté le: 18 décembre 2010 07:50:49 EST  
Aimer et rester unis, c'est un choix.
Tant que les gens verront l'amour comme "quelque chose d'incontrôlable", il y aura beaucoup de séparations. Je ne dis pas que c'est un total garanti de succès, mais quand les 2 conjoints se choisissent ET choisissent de rester ensemble, ça donne quand même une très meilleure chance de longévité.

Tsé, des histoires de "je tombe en amour avec mon collègue, mais c'est pas ma faute, on contrôle pas ses sentiments" c'est de la grosse bullshit. Quand tu veux réellement que ton couple fonctionne, tu ne te mets jamais en situation de danger, t'as pas de trill à te faire cruiser par un autre et tu n'encourages pas ça.

Bon, c'est sûr que ce n'est que mon opinion, mais ça marche très bien pour moi. J'avais un coeur très volage avant de connaitre et choisir mon homme. 

revenir en haut

Anonyme

Inscrit le :
19 janv. 2010

Posté le: 18 décembre 2010 02:02:36 EST  
On consomme beaucoup trop, même en amour.
On a beaucoup d'attentes, des fois trop.

Je n'ai pas de réponse pour toi... mais ça me rend triste aussi.
Confused
 

revenir en haut

Charloudelidou

Inscrit le :
08 déc. 2008

Posté le: 17 décembre 2010 22:25:19 EST  
Rester en couple pour les enfants, c'est la pire idée qui soie. Ca fait longtemps qu'on a admis que pour des enfants une séparation bien faite était moins dure que des parents qui se déchirent entre eux mais ne viennent pas a bout de se séparer.

Il faut se souvenir que la 'chance' de pouvoir se séparer facilement est quelque chose de relativement récent et qu'avant ca, ca n'avait jamais existé dans nos sociétés occidentales judéo-chrétiennes. On est dans l'inconnu.

J'avoue que je n'ai pas vécu de séparation, mes parents sont ensemble depuis presque 40 ans. Mais je vois ca comme une simple évolution du modèle familial...Je ne crois pas que les gens se choisissaient mieux et/ou de facon plus éclairée avant. Ils ne savaient pas plus dans quoi ils s'embarquaient, mais ils n'avaient pas le choix un coup rendu, ils devaient faire avec.  

revenir en haut

Se connecter pour répondre