Les signatures forum sont temporairement désactivées.
Se connecter pour répondre

La ferme des animaux

Auteur Message

Euphroisine

Inscrit le :
26 févr. 2008

Posté le: 9 juillet 2008 21:47:46 EDT  
Qui a lu ce roman de George Orwell, critique du totalitarisme slave ?
Qui a aimé ?
Qui a pleuré lors de la mort de Malabar ? (Moi, en tous cas) Embarassed
Qui aime l'album de Pink Floyd qui en est inspiré ?

revenir en haut

Euphroisine

Inscrit le :
26 févr. 2008

Posté le: 10 juillet 2008 19:09:16 EDT  
ZUT !
Je n'arrive pas à mettre le lien direct.
Cliquez sur le premier vidéo, dans l'onglet à gauche de l'écran.

revenir en haut

Euphroisine

Inscrit le :
26 févr. 2008

Posté le: 10 juillet 2008 19:07:11 EDT  
En bonus : le vidéo de Pink Floyd :

Dogs

http://video.google.ca/videosearch?hl=fr&q=anima%20ls%20pink%20floyd&um=1&ie=UTF-8&sa=N&tab=wv#q=dogs%20%20pink%20floyd&hl=fr&sitesearch=


revenir en haut

Euphroisine

Inscrit le :
26 févr. 2008

Posté le: 10 juillet 2008 19:02:34 EDT  
Le parallèle avec l'URSS

Avant 1917

La Russie donne l'image d'une puissance en retard. Le pays est surtout rural et les riches terriens et le tsar Nicolas II sont presque les seuls qui vivent dans des conditions satisfaisantes. Les autres sont le plus souvent exploités (exploitation des animaux par M. Jones).

Cependant, un vent révolutionnaire souffle sur la Russie avec notamment les idées communistes de Karl Marx ou Lénine (songe de Sage l'Ancien).

1917-1921

La révolte peut finalement s'organiser plus vite à cause de la prise de sévères mesures : c'est le soulèvement de 1917 (oubli par M. Jones de nourrir les animaux et soulèvement de ces derniers)

Un nouveau régime s'installe avec des mesures draconiennes (les sept commandements) parfois mal acceptées, d'où de nombreuses fuites (Lubie qui préfère le luxe, Moïse). Puis, aidés par leurs anciens alliés (la France et l'Angleterre), les riches tentent de récupérer leur pays (bataille de l'Etable). C'est une défaite.

Après cette bataille, Boule de Neige crée le drapeau de la ferme qui comporte un sabot superposé d'une corne, le tout sur un fond vert symbolisant les prairies. Ce drapeau est comparable à celui de l'URSS, composé d'un marteau et d'une faucille.

1921-1927

Lénine meurt, Staline et Trotsky s'opposent pour prendre le commandement du régime (désaccords entre Napoléon et Boule de neige lors des débats). Trotsky est pour la révolution permanente (Boule de neige veut exporter la révolution dans les autres fermes) et l'industrie (Boule de neige préconise la construction d'un moulin à vent). Staline persécute alors Trotsky jusqu'à son exil (Boule de neige mis en fuite par les chiens de Napoléon).

1927-1939

Staline prend alors le pouvoir qui tourne vite à la terreur (exécution de présumés traîtres, les rations diminuées, le travail épuisant, la liberté supprimée au fur et à mesure par la modification des commandements). De plus, Staline instaure les plans quinquennaux que l'on peut comparer aux directives pour la semaine prises par Napoléon, chaque dimanche. Ce dernier donne également la priorité à la modernisation (construction du moulin à vent), comme le faisait Staline avec l'industrie lourde.

1939

À l'arrivée de la guerre, Staline ne s'allie pas avec un camp précis : tantôt l'Allemagne, tantôt l'Angleterre (à qui vendre les planches de bois ? À Frederick où à Pilkington ?). Puis l'Allemagne envahit la Russie (attaque de M. Frederick : bataille du Moulin à vent). Après quelques défaites (plusieurs animaux tués, moulin détruit), les russes finissent par repousser l'envahisseur (victoire des animaux).

Après la guerre

Le totalitarisme de Staline continue (Malabar vendu à un boucher car trop faible, retraites supprimées, rations encore diminuées).

Finalement, l'URSS se pérennise, Staline s'enrichit (tableau d'une ferme plus riche à la fin malgré des animaux esclaves) et discute d'égal à égal avec les dirigeants des autres pays (les cochons, devenus humains, reçoivent des fermiers pour jouer aux cartes et discuter affaires).

revenir en haut

Euphroisine

Inscrit le :
26 févr. 2008

Posté le: 10 juillet 2008 18:53:31 EDT  
Babsi : je croyais avoir eu ma période "noire", mais j'ai l'impression que c'est de la petite bière à côté de la tienne. Le film est pas mal, mais...j'sais pas ! Je ne veux pas dire "le livre était meilleur", mais...
Bon ! Taisons-nous, Euphroi-phroi !
Embarassed

Marie-Lili : voici un extrait d'un article assez intéressant sur Wikipédia :

Animaux


* Sage l'Ancien

C'est un vieux cochon qui, suite à un rêve, est l'initiateur des idées révolutionnaires. Il meurt peu après avoir exposé ses idées, qui seront mises en pratique par d'autres jusqu'à un certain point. Tel le mausolée de Lénine, son crâne est vénéré comme une idole dans les jeunes années de la révolution, jusqu'à ce qu'il tombe dans l'oubli et soit finalement enterré. Sage l'Ancien est inspiré de Lénine et de Karl Marx. Il symbolise également l'idéal communiste.

* Napoléon

Un cochon corrompu qui devient le dirigeant de la ferme et instaure peu à peu un régime totalitaire. Il élève en cachette neuf chiots et, une fois ceux-ci devenus d'impressionnants molosses, en fait sa garde personnelle avec laquelle il expulsera Boule de neige de la ferme. Napoléon est inspiré de Staline.

* Boule de neige

Un cochon à l'esprit inventif qui s'oppose aux idées de Napoléon. Contrairement à ce dernier (donc à Staline) et pareillement à Trotsky, il veut exporter la révolution.

Après avoir été chassé de la ferme par Napoléon, Boule de neige sera considéré comme un traître à la solde des fermiers et deviendra le bouc émissaire de tous les malheurs qui frapperont par après la vie des animaux (destruction du moulin et saccages en tous genres, disparition de clés, ...).

Bien que Boule de neige se fût toujours montré loyal avant son expulsion, tous les animaux le dénigreront et il tombera finalement dans l'oubli.

Ce cochon est inspiré de Trotsky.

* Brille-Babil

Un goret de petite taille, bien en chair, excellent orateur. Maître de la propagande, il justifie les actions de Napoléon en allant constamment parler aux animaux de la ferme. Lorsqu'il n'arrive plus à convaincre, il n'hésite pas à utiliser la menace voilée et l'intimidation. Pour cela il est escorté de deux ou trois chiens du cochon Napoléon.

Au fur et à mesure de l'avancement de l'histoire et de l'asservissement des animaux, Brille-Babil modifie subtilement pendant la nuit les Sept Commandements pour les rendre conformes aux décisions parfois arbitraires et contestables des cochons.

De même, il influence la mémoire des animaux au sujet de la bataille de l'Etable. Avec tact, persuasion voire menace, il parvient à leur faire comprendre comment Boule de neige (Trotsky), héros de la révolution et décoré après ce combat, avait en fait tenté de les mener à leur perte au moyen d'un stratagème bien calculé.

Brille-Babil symbolise la Pravda ou plus généralement tout l'organe de propagande.

* Malabar

C'est un cheval de trait, le plus loyal des travailleurs de la ferme et d'une vénération sans borne pour Napoléon. Ses deux devises sont Je vais travailler plus dur et Napoléon ne se trompe jamais. Malabar est encensé par Napoléon, mais celui-ci le vendra secrètement à un équarrisseur pour toucher une récompense.

Malabar incarne le stakhanovisme et toute cette génération de russes qui ont cru sincèrement et loyalement au régime soviétique.

(Le stakhanovisme était une doctrine en URSS faisant l'apologie d'un travailleur très productif et dévoué à son travail.)

* Moïse

Un corbeau à la solde de M. Jones, puis de Napoléon. Il tente de convaincre les animaux de l'existence de la Montagne de Sucrecandi, le paradis des animaux, où ils vivraient après la mort.

Il représente l'Eglise orthodoxe, et la religion en général, « opium du peuple » selon Marx.

* Lubie

C'est une jument qui aime les rubans et autres colifichets (représentant le luxe), et qui aime être choyée par les humains. Elle préfère les flatteries et les sucreries à la « liberté » apportée par la révolution, et s'enfuira au service d'autres humains. Lubie représente les gens qui ont fui l'URSS après la révolution, tel les intellectuels qui émigrèrent en Europe au début des années 1920.

* Benjamin

Un vieil âne sceptique concernant la révolution, car visionnaire : avant même que les cochons ne prennent le pouvoir, il savait que cela se terminerait mal. Ce dernier incarne George Orwell, c'est à dire l'auteur même du roman, qui était un cynique et s'opposait vivement au stalinisme. En s'incarnant dans un des personnages de son propre livre, l'auteur pouvait critiquer à sa guise le régime de l'URSS.

* Les moutons

Ne comprenant rien, se ralliant au plus fort et ayant l'opinion de celui qui parle en dernier, ils sont habilement encadrés et manipulés par les cochons pour étouffer sous leur nombre et leur bêtise toute velléité protestataire.

Ainsi, sur ordre des cochons, ils acclament systématiquement ces derniers et entonnent le refrain révolutionnaire Quatrepattes, oui ! Deuxpattes, non ! pour empêcher les contestataires de s'exprimer et ainsi clore les débats à l'avantage des cochons.

Plus tard, sur ordre de Brille-Babil, ce refrain deviendra Quatrepattes, bon ! Deuxpattes, mieux !. Les moutons représentent la fraction de la population la plus endoctrinée.

* Les chiens

Ce sont neuf molosses constituant la garde personnelle de Napoléon, permettant à ce dernier d'instaurer un régime de terreur. Les chiens symboliseraient les services et polices secrètes soviétiques (Tchéka, GPU, OGPU et NKVD)[réf. nécessaire].

Humains

* M. Jones

C'est le propriétaire initial de la ferme du Manoir, négligeant avec ses animaux qu'il oublie un jour de nourrir, provoquant ainsi une rébellion.

Il est inspiré du Tsar Nicolas II.

* M. Whymper

Un humain engagé par Napoléon pour servir d'intermédiaire dans les relations commerciales entre la ferme des animaux et les humains. Il incarne les États-Unis.

* M. Frederick

Le propriétaire de la ferme de Pinchfield. Il représente Hitler et Pinchfield, l'Allemagne nazie.

* M. Pilkington

Le propriétaire de la ferme de Foxwood. Il représente Churchill et Foxwood, l'Angleterre.

revenir en haut

Marie-Lili

Inscrit le :
11 mai 2004

Posté le: 10 juillet 2008 18:35:33 EDT  
Ouais, faudrait vraiment que je relise le livre! Embarassed

Je me souviens de l'histoire dans les grandes lignes, mais j'ai oublié les personnages et leurs noms!

revenir en haut

Babsi

Inscrit le :
24 sept. 2007

Posté le: 10 juillet 2008 17:54:03 EDT  
Euphroisine a écrit
Babsi a écrit
Un jour j'ai trouvé 1984 dans la bibliotheque de mes parents, j ai lu quelques lignes et j ai tout de suite trippé. Je l'ai lu d'une traite et j ai du le relire environ 10 fois tellement j'aimais.
!

OUF !
Je ne sais pas comment tu as fait !
J'ai aussi adoré 1984 , mais une fois, c'est bien assez !
Un claque en pleine gueule, il arrive que ça réveille,mais je n'aurais pas tendance à en demander une autre.
Wink


Laughing Laughing Laughing

J'ai eu ma période très dark à écouter du ''cold wave'' et m'intéresser à des sujets perturbants. Aujourd'hui c'est phase est terminé mais elle fait encore partie de moi.

J'ai également écouté le film une dizaine de fois...beaucoup moins bon que le livre mais tout de même intéressant à regarder.

revenir en haut

Euphroisine

Inscrit le :
26 févr. 2008

Posté le: 10 juillet 2008 16:30:04 EDT  
misscat a écrit

J'ai lu La ferme des animaux lors d'un cours de français en secondaire cinq. À l'époque j'avais pas tellement aimé.
Je l'ai relu récemment, et le déclic s'est fait. Mieux vaut tard que jamais Wink
J'ai également beaucoup pleuré. Ce livre me touche énormément. Il est désormais dans mon top 20.


Plusieurs livres m'ont fait cet effet.
D'ailleurs, pour La ferme des animaux , j'ai dû m'y reprendre 4 ou 5 fois avant de le lire et de vraiment embarquer.
Même chose avec Madame Bovary .
Je pense que des fois, on n'est juste pas prêt pour un livre.
Ces deux livres sus-nommés font désormais partie de mes préférés, comme quoi il ne faut jamais dire : "fontaine, je ne boirai pas de ton eau !"
Wink

revenir en haut

Euphroisine

Inscrit le :
26 févr. 2008

Posté le: 10 juillet 2008 16:27:37 EDT  
Babsi a écrit
Un jour j'ai trouvé 1984 dans la bibliotheque de mes parents, j ai lu quelques lignes et j ai tout de suite trippé. Je l'ai lu d'une traite et j ai du le relire environ 10 fois tellement j'aimais.
!

OUF !
Je ne sais pas comment tu as fait !
J'ai aussi adoré 1984 , mais une fois, c'est bien assez !
Un claque en pleine gueule, il arrive que ça réveille,mais je n'aurais pas tendance à en demander une autre.
Wink

revenir en haut

Euphroisine

Inscrit le :
26 févr. 2008

Posté le: 10 juillet 2008 16:25:30 EDT  
Marie-Lili a écrit


Pour revenir à la Ferme des animaux, Malabar, c'est le cochon plus âgé?


MAIS NON !
Le cochon le plus âgé, c'est sage l'ancien ! Il personnalise à la fois Karl Marx et Lennine !
Malabar, c'est le cheval, un peu bêta, mais brave, honnête, travailleur, loyal, dévoué...

Quand il tombe malade, le gros cochon sale (c'est le cas de le dire) à Napoléon l'envoie chez le boucher !

Marie-Lili a écrit
Parlant critique sociale, je suggère fortement "Knock" de Jules Romain. C'est une pièce de théâtre (mais disponible en livre) qui est une satyre de la médecine moderne et du commerce de la santé. Contrairement aux romans de Orwell, le ton est plutôt léger.


En tous cas, il est très bien quoté sur le réseau des bibliothèques publiques : 5/5 :

"L'accompagnement pédagogique souligne le lien entre l'argument théâtral et les événements historiques, la montée du fascisme et le progrès technique. ##Knock## n'apparaît plus seulement comme une comédie naïve mais comme une pièce grinçante, présentant la face obscure de l'humanité".

revenir en haut

misscat

Inscrit le :
17 oct. 2007

Posté le: 10 juillet 2008 10:40:48 EDT  

J'ai lu La ferme des animaux lors d'un cours de français en secondaire cinq. À l'époque j'avais pas tellement aimé.
Je l'ai relu récemment, et le déclic s'est fait. Mieux vaut tard que jamais Wink
J'ai également beaucoup pleuré. Ce livre me touche énormément. Il est désormais dans mon top 20.

Concernant l'album Animal de Pink Floyd, j'adoooooooore. Il me rappelle mon premier "trip" de champignons hallucinogènes : la campagne, les Perséïdes et des sons et de la musique qui vous amène tellement loin.
Ça change une vie et surtout la vision que nous avons d'elle.

misscat

revenir en haut

Babsi

Inscrit le :
24 sept. 2007

Posté le: 10 juillet 2008 10:29:48 EDT  
Un jour j'ai trouvé 1984 dans la bibliotheque de mes parents, j ai lu quelques lignes et j ai tout de suite trippé. Je l'ai lu d'une traite et j ai du le relire environ 10 fois tellement j'aimais.

La ferme des animaux
, je n'ai jamais lu par contre, il faudrait bien que je le fasse!

revenir en haut

Marie-Lili

Inscrit le :
11 mai 2004

Posté le: 10 juillet 2008 08:36:25 EDT  
J'ai aussi lu 1984. J'ai beaucoup aimé, mais je ne sais pas pourquoi, il me semble que j'ai moins accroché que La ferme des animaux, peut-être parce que c'est plus sombre...C'est le genre de livre qui constitue une sorte de miroir social (en exagéré, mais quand même), et j'aime bien essayer de comprendre l'être humain; c'est pourquoi ce genre de lecture m'attire. La manipulation du passé, de l'information, la guerre sans raison dont l'ennemi change du jour au lendemain, j'ai trouvé ça très fort la façon dont il amène ça.

Pour revenir à la Ferme des animaux, Malabar, c'est le cochon plus âgé? Ça me revient un peu, mais il faudrait vraiment que je le relise. J'étais effectivement dans un programme d'anglais enrichi en secondaire 5 car je fréquentais une école internationale. Je me souviens qu'on avait discuté de l'analogie avec les régimes politiques, mais sinon, c'est très vague dans ma mémoire...

Parlant critique sociale, je suggère fortement "Knock" de Jules Romain. C'est une pièce de théâtre (mais disponible en livre) qui est une satyre de la médecine moderne et du commerce de la santé. Contrairement aux romans de Orwell, le ton est plutôt léger.

revenir en haut

Euphroisine

Inscrit le :
26 févr. 2008

Posté le: 9 juillet 2008 22:43:12 EDT  
Animals de Pink Floyd, ça ne te dit rien ?

Pas grave.

J'ai beaucoup aimé 1984 aussi, du même auteur. Orwell a le don de m'attrister, voire même, me déprimer, et moi, la maso, je l'adore !

Je m'explique mal à moi-même comment je peux toujours être plus attirée par les oeuvres qui me torturent intérieurement, mais bon.

Ce personnage de Malabar, dans La ferme des animaux , je ne sais pas s'il te fait le même effet qu'à moi, mais je l'aime tellement ! Il est noble et son coeur est pur ! La scène où il est emportée chez le boucher parce qu'il est désormais trop malade pour travailler m'a réellement émue !

Je serais intéressée à savoir ce que vous en aviez dit dans le cours d'anglais. Aviez-vous lu la version intégrale ? Si oui, tu devais sûrement être dans un cours d'anglais avancé !

revenir en haut

Marie-Lili

Inscrit le :
11 mai 2004

Posté le: 9 juillet 2008 22:03:50 EDT  
Je l'ai lu au secondaire dans le cadre d'un cours d'anglais. J'ai vraiment adoré! J'aime les romans qui font réfléchir sur la société via la fiction, une excellente façon de faire passer certains messages. Toutefois, c'est un peu loin dans le temps alors j'ai un peu oublié les personnages, faudrait que je le relise pour me rafraîchir la mémoire.

Je ne crois pas avoir entendu l'album de Pink Floyd...

revenir en haut

Se connecter pour répondre