Choisir ou non d'élever son enfant seule

Je crois que le titre de cette discussion en dit long. Pour moi, ça s'avère une extrême nécessité, pour le bien de l'enfant à venir et le mien. C'est venu naturellement, après une suite d'évènements bien tristes et regretables, du genre je décide de me séparer et il me met à la porte sur-le-champ, en pleine tempête. Et pour bien d'autres raisons.

Aujourd'hui, je me sens bien. J'ai pris une dure décision, sans doutes lourde de conséquences également, mais pas irréparables, je le crois fermement. Le tout s'arrange de lui-même, bébé va bien également.

Ce qui me fait réagir le plus, c'est que je ne suis pas seule dans cette position. Je connais 3 autres jeunes mamans qui se débrouille de la sorte, et qui cce sont retrouvées sans le papa à leurs côtés. Qu'est-ce qui se passe au juste?

Dans mon cas, attendre avant de concevoir aurais probablement évité bien des tracas. Quoi que je ne regrette rien, malgré tout.

Et vous, qu'en pensez-vous?
Si vous êtes seule, comment le vivez-vous?

slut moi je represente lautre coté les enfants enfaite jai 18 ans et jai été élever seul avec ma mere car mon pere ne sais meme pas que jexiste bref c'est un one nignt si on peut dire sa .ce n'est rien de majeur mais je sais que les enfants omme moi on des petit probleme avec lestime de sois specialement les fille car que maman dise que tu est belle c'est une chose parce quelle doit taimer mais un papa qui dit que t belle la c comme si tu te fait donner des compliment par un homme je ne sais pas si vous comprener mais c se que jai lu a quelque part

jai eu la chance davoir une mere superbe et je trouve que limortance est quil y ai de a stabilité car moi ma mere a un moment donner a eu des relation plus ou moin longue et quand je les voyait partir j'en pleurait et ce que sa ma créé comme probleme est lavoir de la difficulté dattachement par exemple avec des chum maintenant jen ai un depuis 5 ans mais la premiere année je vous dirait que je ne laimait pas vraiment de peur de me faire mal et ensuite je lai plaquer car je sentait que je mattachait et sa me faisait peur mais la tout est reglé et je sais que c securitaire de me fier sur son amour quoi que le doute raigne toujours qu un jour il seniras mais bon quoi quil fasse le doute y sera toujours
mais je vous dirait que je nechangerait pas ma mere contre nimporte laquelle et je crois que je laime encore plus quand je pense quelle a tout sacrifier pendant 18 ans pour me donner le meilleur et je sais que ce netait pas facile mais elle y ai arriver et je la remercie et honnetement je crois quelle en a fait plus que 2 parents peuvent faire en une journé lollll entk si vous avez des questions nhesiter pas je vous raconrait ma vie lolll
toute decision a des pour et des contre limportant est de prendre le coté le plus avantageaux pour toi et ta petite marmaille ...

les filles ton dit de belles choses! je pense que ça doit faire un peu peur au début, mais il n'y a pas de raison pour ne pas y arriver! courage et bonne chance!

Moi, j'avais choisi d'avoir un enfant seule, par insémination artificielle. J'ai consulté une psychologue pour en discuter, pour connaître un peu les répercussions sur l'enfant etc. Elle m'a essentiellement répondu ce que Mikka t'a répondu. Qu'un enfant a besoin d'amour avant tout, qu'il faut, comme tous les enfants, l'entourer, la protéger, assurer ses besoins primaires et surtout, l'aimer... Que les enfants sont résilients et qu'ils s'adaptent à bien des choses.

Il faut bien s'organiser, bien s'entourer aussi. Moi, j'avais deux couples d'amis avec des enfants de l'âge de ma fille et nous sortions toutes les fins de semaine avec les enfants, les soirs au parc, etc. Ma fille avait un contact masculin avec les papas de ses amis, avec mon frère et mon père.

J'ai rencontré mon nouveau conjoint quand ma petite avait 3 ans et elle le considère comme son père et lui la traite comme sa fille. Depuis, nous avons eu une petite fille ensemble et je dois avouer que parfois, je trouve ça difficile d'avoir à consulter quelqu'un d'autre pour prendre des décisions...Avec la première, je décidais de tout, de la marque de couches à la façon de l'élever.

Crée-toi un bon réseau de soutien et fait appel à lui dès que tu en sentiras le besoin. Et si tu te sens débordée, reviens nous voir, nous t'encouragerons.

Bonne chance!

p.s. selon les statistiques, 25 % des familles avec enfants du Canada sont monoparentales.

Merci pour ton expérience, je crois bien que tu as raison. Ma situation est semblable à la tienne, excepté que en août 2009, j'ai dans l'idée de retourner aux études. Mais, études ou travail, tant qu'à moi et pour la vie de l'enfant, ça revient au même:service de garde le jour et maman le soir.

Donc, je vois bien que je ne suis pas seule à penser qu'il y a d'autres options et d'autres écoles de pensées. Merci!

Je suis dans la même situation, père absent totalement et depuis la naissance. Je crois que des doutes j'en aurai toujours mais je reste convaincue des choix que j'ai fait. J'ai souvent l'impression que c'est moi bien plus qu'elle qui vit des déchirements, elle n'a rien connu d'autre alors pour elle tout baigne.

Pour les études et autres concernant les répercussions, bien moi je ne les lis plus et c'est bien ainsi. Ma fille n'est pas un sujet d'étude c'est une enfant, je lui donne le meilleur de moi-même, je l'entoure d'amour et de gens biens pour elle, je lui consacre tout mon temps et toute mon attention, alors pourquoi elle devrait nécessairement devenir carencée. Je préfère être optimiste. A mon avis tout est question d'environnement et d'implication du parent. Si je vivais dans une situation financière et émotionnelle précaire, que j'avais des problématiques non résolues, si je faisais partie d'un groupe à risque en fait (souvent les personnes plus démunies socialement) peut-être que les études pourraient me concerner mais je viens d'un milieu aisé, j'ai des ressources, je suis entourée, je suis scolarisée, et j'ai une maturité certaine. Je n'ai pas d'inquiétude pour l'avenir.

Et bien moi je crois que si tu te sens bien avec ta décision, c'est ce qui importe! Car être malheureuse et regretter, ça n'apporte pas le bonheur!

Je suis ce que j'appelle 'monoparentale à temps partiel'. Mon conjoint est militaire, donc pas souvent à la maison, donc je suis la plupart du temps seule avec mon garçon de 1 an, en plus de travailler comme enseignante.

Ça se fait! Il faut être organisée par contre, et savoir aller chercher de l'aide si on en a besoin, et ne pas hésiter à accepter les offres des gens autour de nous pour s'occuper de notre enfant quelques heures pour pouvoir prendre du temps pour soi.

Bonne chance!