Bien sûr, j’aurais adoré le suivre dans cette aventure mais… je venais, moi-même, d’obtenir un poste important à Montréal. Sans oublier nos deux enfants, de 1 et 2 ans, qui ne voulaient pas quitter leurs jouets.
Après avoir versé toutes les larmes de mon corps et taxé la vie d’injuste pendant un bon 24 heures, je me suis fait une raison. En même temps, je n’avais pas les moyens de faire autrement. La semaine suivante, Chéri s’est donc envolé vers le vieux continent et moi, moi je suis restée à la maison avec nos enfants, mes maux de cœur et mon cafard.
Se mettre au tricot pour oublier
Je me souviens que les nuits étaient longues et pénibles sans lui. Pour passer le temps, je me suis mise au tricot. Comme l’insomnie n’est jamais disparue, ce qui devait être à la base un foulard s’est transformé en immense pull. Il m’aura fallu six mois pour le terminer. Chacune des mailles de ce chandail en cachemire contient autant d’amour que de peur et de frustration. Mais le résultat est pas mal... enfin, je crois.
Chéri est revenu, la vie a repris son cours, et moi j’avais un chandail vraiment chouette et confo. Je crois bien l’avoir porté tous les jours, jusqu’à mon accouchement. Aujourd’hui, sept ans plus tard, je le porte encore! Entre mon pull et moi, je suis la seule qui semble avoir vieilli. Lui, il est toujours aussi beau et ses couleurs aussi vives.
LE truc pour préserver la couleur et la forme des chandails
J’avais tellement travaillé fort pour confectionner ce pull! Je ne voulais surtout pas qu’il perde son élasticité et je souhaitais absolument le protéger contre l’affadissement de ses couleurs. J’ai donc fouillé sur internet et demandé conseil à mon entourage, dans le but de trouver une solution. Mes recherches m’ont appris que We Are Knitters, un chef de file dans l’industrie, recommandait l’adoucissant textile Downy pour prendre soin des textiles. Sans oublier ma mère qui utilise cet adoucisseur depuis toujours (en fait, d’aussi loin que je me souvienne) et qui me vante ses mérites depuis aussi longtemps. J’ai donc opté pour l’adoucissant textile Downy.
Depuis, à toutes les fois que mon chandail doit faire un tour dans la machine à laver, j’ajoute une petite quantité d’adoucissant à ma lessive. Et après toutes ces années, il n’a rien perdu de son éclat, ni de sa forme.
Ce n’est peut-être pas le plus beau pull du monde, ni le mieux tricoté, mais c’est moi qui l’ai fait et lorsque je le porte, je me remémore les doux instants de ma dernière grossesse. Il ne reste plus rien de ces six mois sans Chéri. Seuls les bons moments demeurent.
Merci Downy de m’aider à préserver un bout de mon histoire.
Bien que ce témoignage soit commandité par Downy, les opinions et le langage qu’il contient sont les miens.