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LiliemmaInscrit le : |
http://www2.canoe.com/infos/chroniques/richardmartineau/archives/2008/09/20080904-045900.html
C'est quelque chose! Et nos enfants cotoient des familles dont les parents peuvent peut-etre agir de la sorte??? Je m'excuse, mais un parent est conscient quand son enfant est un trouble fete ou qu'il manque de discipline ou pire, qu'il est du genre a envoyer chier un professeur. Moi, ca me désole et je suis plus que convaincue que la plupart du temps, c'est bel et bien la faute de l'enfant. En tout cas, je vous reviendrai la dessus quand mes filles auront 12 ans..... MC |
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ASMOInscrit le : |
Je partage ton point de vue Marie-Lili, dans ce sens tu as raison. Moi je parlais plutôt des parents coopératifs pour expliquer certaines problématiques chez les enfants. Bref j'ai un peu débordé du sujet! Il demeure que le parent qui tape sur l'enseignant au sens propre comme au sens figuré n'est pas celui qui aide le plus son enfant à cheminer dans ses difficultés!
Merci pour ta précision Marie-Lili |
Marie-LiliInscrit le : |
VéroS a écrit Je suis totalement d'accord avec les affirmations accusant les parents, mais lorsque ce dernier ne sait plus quoi faire avec l'enfant et qu'il a fait plusieurs efforts sans parvenir à un résultat, l'enseignant doit lui aussi dealer avec la situation. Le caractère de l'enfant peut également être en cause. Ce n'est pas toutes les mères (ou tous les pères) qui peuvent se permettre d'être à temps plein ou 4-5 jours semaines complets avec leur enfant, car ils ont consciences qu'un problème existe et qu'il ne suffit pas de les voir la fin de semaine et les soirs pour parvenir à le contrôler. Je comprends VéroS. Sauf que lorsque le parent est conscient des difficultés qu'il a avec son enfant, il a tout intérêt à coopérer avec les enseignants et autres intervenants dans le développement de son enfant. Le parent qui réagit en agressant l'enseignant ou en discréditant les tentatives de ce dernier n'aide ni sa cause, ni celle de son enfant. L'enfant se sent alors pris entre deux instances qui ne s'entendent pas, normal qu'il soit désorienté et réagisse tout croche! C'est également ce qui se passe dans les familles où des parents s'attaquent à tout bout de champ devant l'enfant! Tandis que lorsque parents et enseignants s'entraident et font front commun, sans chercher à se nuire les uns les autres, il y a tout à parier que l'enfant va bien s'en sortir, même si les parents ou l'enseignant présentent certaines lacunes dans leur façon d'agir. Et lorsqu'il y a désaccord entre eux, il y a moyen de régler cela de façon "adulte" et responsable. Personne n'est parfait, mais personne n'a intérêt non plus à mettre des bâtons dans les roues de l'autre! Je tiens également à signaler que Richard Martineau recherchait les histoires d'horreur, oui elles arrivent, mais ce ne sont pas tous les enfants et ça n'arrive pas à toutes les années scolaires. Ne jugeons pas toute une génération sur deux articles et 5 ou 6 témoignages chocs. Ça, je suis d'accord, on ne nous montre que le côté sombre de la chose. Les enseignants qui lui ont écrit que tout allait relativement bien pour eux n'ont certainement pas été publiés! |
BibibeauInscrit le : |
VéroS a écrit Comment voulez-vous qu'un tel parent coopère avec l'enseignant. À la maison c'est l'enfant qui a le gros bout du bâton... Tu as bien raison! |
ASMOInscrit le : |
Je suis contente pour toi Gege123, si tu as la chance de vivre dans un climat favorable au développement des enfants, tu redonnes de l'espoir.
Je suis totalement d'accord avec les affirmations accusant les parents, mais lorsque ce dernier ne sait plus quoi faire avec l'enfant et qu'il a fait plusieurs efforts sans parvenir à un résultat, l'enseignant doit lui aussi dealer avec la situation. Le caractère de l'enfant peut également être en cause. Ce n'est pas toutes les mères (ou tous les pères) qui peuvent se permettre d'être à temps plein ou 4-5 jours semaines complets avec leur enfant, car ils ont consciences qu'un problème existe et qu'il ne suffit pas de les voir la fin de semaine et les soirs pour parvenir à le contrôler. Je suis également d'avis que certains professionnels n'ont pas leur place dans l'enseignement. J'ai eu l'occasion de voir un enseignant ruiner les débuts scolaires d'un élève... Oui l'enfant était difficile, mais maintenant il déteste l'école et je suis presque certaine qu'il fera face à des difficultés importantes durant son cheminement (je n'ai rien pu faire, ce n'est pas mon enfant). Je tiens également à signaler que Richard Martineau recherchait les histoires d'horreur, oui elles arrivent, mais ce ne sont pas tous les enfants et ça n'arrive pas à toutes les années scolaires. Ne jugeons pas toute une génération sur deux articles et 5 ou 6 témoignages chocs. PS Aujourd'hui on parle de l'enfant tyran, donc le parent (ancien enfant-roi) est complètement soumis à l'enfant tyran qui va même jusqu'à l'attaquer physiquement. Comment voulez-vous qu'un tel parent coopère avec l'enseignant. À la maison c'est l'enfant qui a le gros bout du bâton... |
HistoricaInscrit le : |
gege123 a écrit Mon dieu, je vous lis et je me demande si je n'habite pas sur une autre planète avec mes 19 élèves et une maman qui venait à toutes les semaines m'aider pour l'apprentissage de la lecture, la technicienne en classe 2½ heures par jour, la technicienne de l'école qui faisait des ateliers de prévention, les ateliers de trouble du langage pour mes 6 petits poux et l'orthophonie aux 2 jours pour 5 de mes élèves. Dans mon cas, je n'habite pas sur la même planète. J'ai 28 élèves dans une classe jumelée (2 niveaux) et je ne suis pas une exception, les autres classes sont aussi nombreuses. Oui on a un peu d'aide de l'ortho mais c'est pas suffisant pour les besoins qu'éprouvent les élèves. Et au niveau de l'intégration, même si l'enfant est différent on a pas nécessairement l'aide appropriée pour les besoins de l'élève. Au niveau des ressources, j'ai encore des livres qui date de 1970 pour les sciences naturelles |
GalaInscrit le : |
GEGE123: Il ne faut pas généraliser c'est certain mais et il est tout à fait possible que tu sois dans une bonne école qui prend soin des élèves et de bons élèves !
Je connais des enseignants (3) qui ne peuvent malheureusement pas en dire autant...Ils vont jusqu'à employer le terme " médiocrité " Un autre me raconte qu'il a été mit en arrêt de travail parce qu'il allait sauter les plombs ! Le secondaire semble plus éprouvant que le primaire d'après ce que je constate...Les problème n'étant pas régler jeune, ceux ci tendent à s'aggraver avec le temps et les hormones qui embarquent ! |
gege123Inscrit le : |
Mon dieu, je vous lis et je me demande si je n'habite pas sur une autre planète avec mes 19 élèves et une maman qui venait à toutes les semaines m'aider pour l'apprentissage de la lecture, la technicienne en classe 2½ heures par jour, la technicienne de l'école qui faisait des ateliers de prévention, les ateliers de trouble du langage pour mes 6 petits poux et l'orthophonie aux 2 jours pour 5 de mes élèves.
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HistoricaInscrit le : |
Gala a écrit Des enfants roi qui élèves...des enfants roi à leur tour !! J'ajouterai que les nouveaux profs proviennent de la première générations d'enfants roi..... Quelle beau mélange. Le système scolaire est en effet très malade. Les classes sont surchargés, l'intégration sans ressources adéquate est imposé de force. Les élèves fort s'emmerdent et sont contaminé par le comportement des élèves qui font la pluie et le beau temps. Bref, j'aime énormément mon travail mais je sais que dans ces conditions je ne pourrai pas travailler dans une salle de classe pour les 25 prochaines années car l'énergie, le travail demandé et les attentes sont presque impossible à atteindre. Ils faudrait faire des miracles, ce qui n'est pas toujours possible. Heureusement que le dîplome en éducation ouvre plusieurs portes de carrière. |
SofyInscrit le : |
L'autre jour, le doc Mailloux disait dans une emission de TV que 65% des meres etaient incompetentes a differents niveaux...
Je trouve de plus en plus qu;il a raison... et les peres ne semblent pas mieux... C'est domage mais les generations prochaines risquent de faire dure. Voici ma petite annecdote: Je suis orthophoniste et je voyais un enfant de maternelle pour trouble de langage. Dans le milieu scolaire du Quebec, pour qu'une ecole ait une subvention pour un enfant (educ specialisee, groupe reduit d'eleves en difficulte...) il doit avoir une "cote". Dans les cas de langage, pour avoir la cote, l'enfant doit avoir des troubles de langage assez importants MAIS avoir une intelligence normale. Donc, un enfant avec deficience intellectuelle ne peut avoir la cote langage, parce que ses problemes de langage sont causes par sa deficience. Bref, pour savoir que l'intelligence est OK, il faut un test en psychologie. J'en parle aux parents en leur expliquant que je suis certaine que l'intelligence est OK et que la cote langage permettra a leur enfant d'avoir une educatrice A LUI l'annee suivante. Bien le pere a capoter, m'a interdit de revoir son enfant en orthophonie et m'a donnee un mechant blast de ..... . pis l'enseignante (la conne) dit au papa "Vous avez raison, son langage n'a pas de probleme, il va bien en classe... " TOUS les resultats montraient que l'enfant avait de GRAVE probleme de comprehension de langage... Comme il etait intelligent, il trouvait le moyen que ca ne paraisse pas. Exemple, il regardait les autres pour savoir ce qu'il devait faire lorsqu'il ne comprenait pas la consigne. Alors oui, il y a des parents caves et irresponsables mais croyez-moi, ils ne sont pas seuls.... C'etait ma tranche de vie... Ciao! |
gege123Inscrit le : |
Bien que je trouve qu'il y a beaucoup de généralités (la majorité n'est quand même pas réflétée par ces textes, heureusement), j'ai un exemple à ajouter au commentaire de Hochi.
L'an dernier, j'ai appelé un parent car son enfant manque énormément d'habiletés sociales. À 6 ans, il provoquait déjà les grands de 12 ans et il se demandait pourquoi il se faisait tabasser. Après avoir discuté, sévi, fait une feuille de route à l'enfant, sans résultat, je demande au parent une évaluation en psychologie pour savoir comment aborder le problème avec le petit puisque mes ressources personnelles sont épuisées. Le père est monté sur ses grands chevaux en me disant qu'il était hors de question que son fils prenne du ritalin ( ) et que s'il fallait, il le retirerait de l'école puisqu'il en avait les moyens. Il a même ajouté que son fils ne manquait de rien puisqu'il avait une télé 42 pouces dans sa chambre Voyons, tout le monde sait qu'une télé 42 pouces est nécessaire dans le bon développement d'un enfant de 6 ans. J'ai fini par lui dire que si c'était ce qu'il croyait de meilleur pour son enfant ça le regardait, mais que ça n'apprendrait pas à son fils à vivre en société. Finalement, un an plus tard, le parent a accepté de faire suivre son enfant par l'éducatrice spécialisée de l'école afin qu'il puisse avoir des ateliers d'habiletés sociales. Le problème n'est toujours pas réglé. |
HochiInscrit le : |
Une des enseignate a ecrit: «J'enseigne dans une école située dans un milieu aisé, alors imaginez ce qui se passe dans les quartiers défavorisés !
C'est vrai que les milieu aisé sont parfois aussi "pire" que les milieu defavorisé et je dirais meme qu'il sont pire car ces parents on les moyens d'aider leurs enfants mais ils sont tellement occuper qu'ils les laissent a eux meme... Avoir des enfants pour cette classe revient souvent a entretenir un rang sociale acceptable. Je ne dis pas que c'est comme ca dans toutes les familles riches mais ca arrive plus souvent qu'on penses. Je travail dans un secteur assez aisé et parfois ca me decourage! Des enfants qui arrive a 6h45 et reparte a 18h00 tout ca pour permettre au parents de faire carriere au centre ville et payer la maison a 300 000$ et+, les deux autos de l'année, le chalet, les deux voyages dans le sud par année, l'école privé au plus vieux, le restos, les cadeaux le linges griffés aux enfants, ect... Quand ils arrivent pour prendre leurs enfants ils les laissent faire tout ce qu'ils veulent, il ne sont pas pour, en plus, faire la "discipline" a leurs enfants ils sont bien trop fatigués... Et la bien sure c'est nous qui doit repondre de leurs "acusations" du genre "Comment ca mon enfant n'est pas propre encore?", "Pourquoi avec toi ca va bien et chez nous c'est un monstre?", "Il ne veut pas se coucher le soir, arrete de lui faire faire des siestes car je ne peux pas tolerer qu'il se couche plus tard que 19h30", ect. Et j'en ai seulement 8!! Imaginer 38 maintenant! C'est vrai qu'il y a un manque criant de personnel aidant comme des aide-educatrice mais souvent les ecoles n'ont pas les subvention pour les engager et encore moins pour les psychologue qui sont obliger de faire une journée semaines dans 5 ecoles differentes... Et les profs n'ont aucune aide, ni soutient de la direction c'est epouvantable... En tout cas... En esperant qu'on y voit la fin un jour... |
van26Inscrit le : |
Ca dépend vraiment des milieux...
Certains parents sont tellement aidants tandis que d'autres... J'enseignais en 2e année avant mon congé de maternité. Un jour, un élève de ma classe commet une fois de trop un geste irrespectueux et dangereux. Je m'en remets donc à la direction pour la conséquence à apporter. L'élève est expulsé pour le reste de la journée. Comme la directrice est absente 40% du temps puisqu'elle doit diriger deux écoles, elle me demande de quitter l'école le plus tôt possible pour ne pas avoir à faire avec la mère de l'élève en question qui est reconnue pour avoir " un sale caractère". À 2h50, la cloche sonne, pas le temps de quitter, la secrétaire ( qui vient de recevoir une tonne de bêtises par la tête ) me dit que la mère est là et voulait me voir, mais comme j'étais en réunion la secrétaire lui a demandé de prendre rendez-vous pour le lendemain. J'ai attendue qu'elle parte, mais celle-ci surveillait ma voiture !?! Elle a stationné sa voiture derrière la mienne afin que je ne puisse pas quitter puis s'est mise à me crier après. Je n'ai pas réagit, pas un mot autre que ce genre de conséquence n'était pas de mon ressort, mais bien la décision de la direction...De toute façon, elle était trop en colère. Finalement, le professeur d'éducation physique et le concierge sont arrivés et lui ont demandé de quitter sinon ils appelaient la police. Finalement, deux jours plus tard, elle venait s'excusait après avoir discuter avec la direction... Ce que je ne comprenais pas c'est qu'elle était fâchée que son fils ait été mis renvoyé, mais pas des gestes que celui-ci avait commis. C'est le monde à l'envers pour moi.... *Mais je souhaite croire que ce genre de parent est une exception. Ma directrice m'avait mentionné qu'elle n'avait jamais vu une mère aussi agressive dans sa carrière..Quelle chance, moi à ma première année d'enseignement, j'avais pogné le "jack pot" ! Je pense que dans notre temps, nos parents ne contredisaient JAMAIS les enseignants, aujourd'hui cela semble être plutôt l'inverse. À quand le juste milieu? |
GalaInscrit le : |
Quelle tristesse..
Des enfants en manque de repère, d'encadrement et d'autorité en souffrance..Des enfants sans parents ! Des enfants roi qui élèves...des enfants roi à leur tour !! |
lynyInscrit le : |
«Je me suis déjà fait dire par une mère : «Je ne t'appelle pas pour te dire que mon fils n'a pas fait son lit, alors ne m'appelle pas pour me dire qu'il n'a pas fait ses devoirs ! C'est TON problème, pas le mien...» Un ptit coup de pied dans le cul avec ça? |
FraisinetteInscrit le : |
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gege123Inscrit le : |
Chris2312 a écrit Je n'ose pas imaginer ce que vivent les enseignants, qui sont avec les enfants cinq jours par semaine... Ce n'est quand même pas si pire que ça. La majeure partie des parents sait bien vivre et est très réceptive aux suggestions qu'on leur fait. On rencontre bien sûr des numéros une fois de temps en temps, mais ils ne sont qu'une infime partie des parents. En plus, entre profs, on se parle et une fois qu'une a vécu une telle expérience avec un parent, on se passe le mot et on laisse tomber. On se concentre sur l'enfant et on s'arrange tout seul. |
Marie-LiliInscrit le : |
misslady a écrit dommage je voulais lire l'article mais on me dit qu'il a été retiré Non, il est toujours là. Clique sur le lien que j'ai mis dans mon message. Il se peut qu'il y ait une publicité avant, tu n'as qu'à attendre qu'elle finisse ou cliquer en bas pour la fermer. |
missladyInscrit le : |
dommage je voulais lire l'article mais on me dit qu'il a été retiré
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Chris2312Inscrit le : |
J'ai déjà été coach de natation et j'entraînais les moins de 10 ans. Pas besoin de vous dire qu'on ne visait pas les Olympiques!!!
J'entraînais la soeur d'une championne de 16 ans qui n'avait malheureusement pas le talent de sa soeur. La petite haïssait s'entraîner. Elle pleurait tout le temps, dérangeait les autres, était même parfois violente avec les autres enfants. J'ai rencontré les parents, pour leur suggérer de laisser leur fille faire une pause dans son entraînement, peut-être même essayer un autre sport. Le père est devenu tellement enragé qu'il m'a menacée de me faire perdre mon poste et a même levé la main pour me frapper. Heureusement, sa femme est intervenue, même si elle ne voulait pas non plus que sa fille prenne une pause. Cette jeune fille n'a jamais percé en natation et en plus, elle a dû vivre avec le sentiment d'avoir déçu ses parents! J'ai quitté mon poste volontairement à la fin de l'année, épuisée d'avoir à dealer avec les parents et ce, cinq heures par semaine seulement!!! Je n'ose pas imaginer ce que vivent les enseignants, qui sont avec les enfants cinq jours par semaine... |
gege123Inscrit le : |
Oh que non, je ne suis pas un tel parent, mais j'en ai vu. Heureusement, à l'école où je travaille, la direction n'accepterait jamais une telle attitude de la part des parents. Il y a même une affiche à l'entrée de l'école qui le spécifie. Les agressions verbales et physiques ne sont permises de personne : parent, enfant ou personnel de l'école.
Je trouve que dans le premier cas, la direction a une grande part de responsabilité. L'enseignante serait certainement retournée au travail si elle avait été supportée. |