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Vaccination des enfants: avantages et inconvénients

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Maé

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24 avr. 2007

Posté le: 12 janvier 2009 15:34:53 EST  
Merci Gala ça complète les informations que je possédais moi-même!! Wink

 

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Gala

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12 sept. 2007

Posté le: 12 janvier 2009 15:19:59 EST  
Encore un autre sur la coqueluche...

"L'étude américaine (5) a comparé 13 vaccins acellulaires administrés à 2 200 nourrissons et contenant entre 1 et 5 composants, et un vaccin à cellules entières administré à 119 nourrissons. Au cours du suivi, il a été enregistré, chez les receveurs de vaccins acellulaires, un cas de mort subite, un cas proche de la mort subite (réanimé), deux attaques dontl 'une 3 heures seulement après la seconde injection, et un casd'asthme dans le mois suivant la troisième injection. Encore faut-il ajouter qu'une vingtaine de nourrissons ont été retirés de l'étude en raison de réactions adverses lors des premières injections.
On voit donc que le vaccin anticoquelucheux acellulaire, qui vient d'être recommandé en France pour les injections de rappel, risque d'amener aussi son lot de complications d'autant que le caractère réactogène des vaccins anticoquelucheux acellulaires combinés augmente au moment du rappel (6).
La mortalité due à la coqueluche avait déjà régressé de 96 % depuis le début du siècle quand fut introduit le vaccin anticoquelucheux associé au vaccin diphtérie-tétanos. En raison de son fort pouvoir réactogène, faut-il continuer à faire courir un risque à toute la population infantile pour éviter moins de 10 décès par an comme c'est le cas depuis 25 ans, sachant par ailleurs qu'aucun suivi n'est réalisé pour répertorier les accidents ?"

Michel GEORGET

Michel Georget est agrégé de biologie, professeur honoraire des classes préparatoires aux grandes écoles biologiques et l'auteur de Vaccinations, les vérités indésirables, aux éditions Dangles.
 

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Gala

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 12 janvier 2009 15:17:36 EST  
Même si je l'avais déjà fait par le passé, voiçi ENCORE l'infos concernant les dangers du vaccin anti-coqueluche.

LA COQUELUCHE

La coqueluche est une maladie due à une bactérie très contagieuse qui est habituellement transmise par l'air. La période d'incubation dure de sept à quatorze jours. Les symptômes du début ressemblent à ceux d'un simple rhume avec, parfois, un peu de température; puis le malade se met à beaucoup tousser la nuit. Plus tard, il tousse la journée également. Huit à dix jours après les premiers symptômes, la toux se développe sous forme de quintes.

L'enfant peut tousser jusqu'à douze fois sans reprendre son souffle et son visage peut prendre une teinte bleutée ou écarlate. A la fin de chaque quinte, il reprend sa respiration avec un bruit caractéristique appelé « chant du coq ». La toux amène souvent des vomissements.

La plupart des victimes de la coqueluche ont moins de dix ans. La maladie peut être grave et même mortelle, particulièrement chez les nouveau-nés. Les personnes contaminées peuvent transmettre la maladie à d'autres pendant près d'un mois après le début des premiers symptômes. Il est donc important de les isoler et de protéger les petits de leur contact. Il n'existe pas de traitement spécifique de la coqueluche. On emploie parfois des calmants pour la toux, mais ils sont souvent peu efficaces et je ne les recommande pas. En cas de coqueluche, il faut cependant consulter un médecin, car l'hospitalisation est parfois nécessaire. Le danger pour les bébés est de s'épuiser à cause de la toux ou de faire une pneumOnie.

On vaccine contre la coqueluche en même temps que contre la diphtérie et le tétanos dans le vaccin Di-Te-Per. Bien que l'on utilise ce vaccin anticoqueluche depuis des décennies, c'est l'un des vaccins les plus controversés. Son efficacité n'est pas très bonne. Beaucoup de médecins partagent mon opinion: les dangereux effets secondaires du vaccin peuvent être plus lourds que les bénéfices.

Le docteur G. T. Stewart, professeur de médecine communautaire à l'université de Glasgow, en Écosse, est l'un des plus vigoureux critiques du vaccin anti-coqueluche. Alors qu'il était favorable au vaccin jusqu'en 1974, il a commencé à observer des épidémies de coqueluche chez des enfants qui avaient été vaccinés. « Actuellement, à Glasgow, dit-il, 30% de nos cas de coqueluche se produisent chez des patients vaccinés. Et cela me porte à croire que le vaccin ne protège pas de manière efficace. »

Comme pour d'autres maladies infectieuses, la mortalité avait commencé à diminuer avant l'introduction du vaccin. Celui de la coqueluche fut introduit en 1936, mais dès 1900 déjà, la mortalité due à cette maladie avait commencé à diminuer. Si l'on en croit Stewart, la diminution de la mortalité due à la coqueluche atteignait déjà 80% avant que le vaccin ne soit utilisé la première fois. Le facteur. clé du contrôle de la coqueluche n'est probablement pas le vaccin, mais l'amélioration du niveau de vie.

Certains médecins ne sont pas tendres avec leurs confrères qui osent critiquer leurs chers vaccins. En 1982, j'intervins à la télévision dans une émission d'une heure consacrée à la controverse sur le vaccin anticoqueluche. Et voici ce que j'ai dit: « Le danger du vaccin est de loin plus important qu'aucun des médecins présents n'ont jamais voulu l'admettre ». En juillet 1982, le Journal of the American Medical Association (JAMA), dans une violente attaque contre cette émission, écrivait que les producteurs avaient choisi des « experts» douteux qui avaient médit sur le vaccin et roumi de fausses références. Mes propres références furent dénigrées.

Je n'ai pas envie de me défendre contre l'Association médicale américaine qui a dû elle-même, au long des années, dépenser une grande partie de son budget pour sa propre défense. Il est cependant instructif de lire ce que le même numéro du journal disait sur les risques du vaccin anticoqueluche. Jugez vous-même si j'avais raison de douter du vaccin.

« Les dangers du Di-Te-Per ne sont pas inconnus des professionnels de santé. Les composants Di et Te. qui existaient bien avant que le Per y soit ajouté à la fin des années 40, sont des anatoxines partiellement purifiées et considérées comme peu dangereuses. Le composant Per, formé de cellules entières, consistant en quatre unités d'antigènes anti-coqueluche par 0,5 ml de Di-Te-Per, est reconnu universellement comme étant relativement grossier et toxique. si bien que la création d'une version plus sûre est attendue avec impatience. »

« Dès le début des vaccinations de masse du Di-Te-Per, des réactions sévères ont été observées à commencer par l'étude de Byers et Moll. en 1948, sur l'encéphalopathie liée au vaccin. La fréquence de cette réaction n'a pas été établie de manière claire. Il est sûr, cependant, que des crises liées au vaccin, bien que rares, sont beaucoup plus fréquentes que les dégâts cérébraux ou altérations résiduelles qui en découlent. »

Ce texte montre bien que l'Association médicale américaine ne nie pas que le vaccin contre la coqueluche soit dangereux et ait des, effets secondaires potentiellement effrayants. Mais elle ne tient pas à ce que les médias se mêlent d'informer les personnes vaccinées des risques qu'elles encourent.

S'il est condamnable, pour un médecin, de partager avec ses patients sa connaissance des risques des vaccins, je plaide coupable. Les effets secondaires les plus fréquents du vaccin, d'après le JAMA, sont de la fièvre, des crises de larmes, un état de choc et des réactions cutanées locales (?dèmes, rougeurs...). Moins fréquents, mais plus graves, des convulsions et des troubles cérébraux permanents entraînant un retard mental. On a aussi associé le vaccin à la mort subite du nouveau-né. En 1978-79, pendant une campagne de vaccination au Tennessee, on a observé 8 cas de mort subite immédiatement après des vaccinations au Di-Te-Per.

On estime que le vaccin donne une protection contre la maladie de 50 à 80%. Selon le JAMA, 1000 à 3000 cas de coqueluche sont signalés chaque année aux Etats-Unis avec 5 à 20 cas mortels.

Je pose la question: est-il raisonnable d'exposer chaque année des millions d'enfants au danger potentiel du vaccin dans le but de les protéger de façon douteuse contre une maladie relativement rare?


 

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Tchintcha

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22 mars 2008

Posté le: 12 janvier 2009 11:14:28 EST  
** En vertu de nos règles d'utilisation, le présent message a été supprimé. **


L'Administration
  

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ampumpkin

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15 sept. 2006

Posté le: 11 janvier 2009 22:55:59 EST  
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L'Administration 

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Tchintcha

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22 mars 2008

Posté le: 11 janvier 2009 16:35:22 EST  
Franchement, comme si les vaccins étaient la solution à tou, un antidote à toutes les maladies! Rolling Eyes  

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Maé

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24 avr. 2007

Posté le: 11 janvier 2009 13:33:23 EST  
Non Hélo, mon fils a un pytiriasis liquénoïde (infection de la peau qui créer une irruption sur tout son tronc) depuis qu'il est au monde. Nous avons e le diagnostic il y a quelques mois. Mais chaque fois que ça sortait massivement, nous allions consulter dans le but de tomber sur un médecin qui finirait par nous dire quelque chose de censé. Censé parce que mon fils à l'âge de 2 ans avait fait 4 crises de varicelle, deux urticaires et 3 fois rien d'autre que le terme dermatite (qui englobe tout ce qui a trait à irritation de la peau...). Et à chaque fois, sois le médecin, sois l'interne nous affirmait clairement que ce serait pas arrivé si on avait fait vacciner selon le protocole mon fils...

Le diagnostic est venu avec une biopsie et pour les dermatites il n'y a jamais eu de vaccin à ma connaissance Rolling Eyes  

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Hélo

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10 avr. 2008

Posté le: 11 janvier 2009 10:39:39 EST  
Tchintcha a écrit
Quand tu spécifies que la vaccination n'est pas obligatoire...je crois que tu devrais passer le mot parmi tes collègues md de famille Wink , car je te jure que c'ets pas jojo lors des visites quand on ne fait pas vacciner. On se fait quasiment harceler!!! J,ai du changer de médecin pour ma fille tellement c'était insupportable!

On devrait quasiment partir un post " La stigmatisation des parents ayant décidés de ne pas faire vacciner" LOL Laughing


Laughing Laughing Bonne idée! Je me permet de vous raconter une de mes expériences:
Je vais à l'urgence pour ma fille et le diagnostic est qu'elle fait une sinutsite, et bien le médecin s'est empressé de me sermonner avec mépris sur les vaccins (elle ne les a pas tous) et ajoute que si elle aurait eu ses vaccins, elle n'aurait pas cette sinusite!!! Surprised Je ne vois pas du tout le lien et du coup, j'ai compris qu'il me prenait vraiment pour une demeurée! Je ne suis sûrement pas la seule a qui ça arrive...

Hélo  

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Hélo

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10 avr. 2008

Posté le: 11 janvier 2009 10:18:26 EST  
Papa Gala, j'ai une question pour toi;

Je ne sais pas si tu es au courrant de ce médecin à Québec qui travaille sur un adjuvant végétal à bas de papaye qui est tout a fait sans danger pour l'être humain, alors voilà, si les vaccins étaient faits avec cet adjuvant végétal, est-que tu ferais vaccinnée ta fille ou tu parlerais de petits soldats quand même?

merci,
Hélo 

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Gala

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 10 janvier 2009 22:52:03 EST  
Papa Gala répond :

Carolina a écris :

1- " On peut doser les anticorps pour mesurer la réponse immunitaire . "

Peux tu apporter des précisions sur le terme "doser". Merci!

2- " Par exemple, les médecins doivent être vaccinés contre l'hépatite B (pour protéger les patients). À tel point que l'on vérifie ensuite les anticorps, et qu'un certain % de personnes ne sont pas immunisées. Il faut alors les revacciner pour s'assurer qu'elles sont bel et bien protégées ."

Ils y a certains points que je ne semble pas encore comprendre, ou peut-être est-ce dans la façon dont ta phrase est formulé, mais selon le principe de la vaccination, le vaccin ne protège pas littéralement " tel un bouclier" mais il est sensé favoriser la réponse immunitaire. Alors comment pourrait-elle empêcher quelqu'un de transmettre ou d'attraper une maladie quand sont rôle est d'optimiser la réponse immunitaire ? Ex: Je suis immunisé contre la grippe, car j'en guérie et je n'en meure pas... Cela ne m'empêche pas la transmettre et/ou d'en tomber malade.

Je terminerais sur une question : " Est ce qu'une immunité optimale te permet d'éliminer une maladie sans même en ressentir ses symptômes ?"

Ceci dit, je respecte beaucoup le fait que tu prenne le temps d'en débattre ici c'est très intéressant et très rare que nous pouvons avoir des réponses plus précise de la part d'un médecin sur le sujet...  

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Maé

Inscrit le :
24 avr. 2007

Posté le: 10 janvier 2009 22:35:57 EST  
Heureuse de te relire Papa Gala!!! Wink  

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Gala

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 10 janvier 2009 22:26:09 EST  
Papa Gala à une opinion. !!

Avant tout, j'aimerais dire que j'ai longtemps douté et j'ai gardé une approche la plus détaché possible, tout au long de mes recherches, afin de savoir si nous allions faire vacciner ou non notre enfant et le doute c'est dissipé avec les réponses et le manque de réponse. Voici mon opinion et mes constatations.


Je vais utiliser une analogie que certains médecins donnent souvent en exemple pour expliquer l'effet d'un vaccin quand l'exemple du bouclier n'a pas passé, c'est celle ou les anticorps sont perçu comme des soldats (je dois le dire à ma façon...)

" SI il y a développement de petits soldats (anticorps) suite au vaccin, ces petits soldats ne seront que des recrues qui auront eu un entraînement sur des poches de terre.. ( virus inerte ou mort ou autre version inactif. Mais lors d'une vraie attaque d'un virus vivant, il n'y a que les vétérans qui en viennent à bout, car c'est eux qui ont déjà combattue et/ou ont été entraînés sur des ennemis vivant, qui avait toute leurs vigueurs et leurs astuces de défense. "

Alors, les vraies questions surgissent...

- Est ce que les produits stabilisant des vaccins, qui sont injectés directement dans le sang de vos enfants pour avoir une petite quantité de soldat sous-entraîné (si il y a formation de de soldat..) val la peine?

- Est-ce que cela vaut la peine pour l'élimination de possibles remords entretenue férocement par votre médecin ou pédiatre de famille ?

- Est-ce que ça vaut la peine d'injecter des produits toxiques pour si peu et pour des maladies bénigmes de l'enfance et pour des maladies ou il y a 2 cas au Canada en 10 ans non mortel : exemple le Tétanos ?

Moi mes remords, je les ai éliminés en même temps que le cas des vaccins !

Cela peut paraître contradictoire, mais je trouve "le principe" du vaccin géniale, je suis un scientifique, j'essais de baser mes opinions et mes conclusions sur du solide et du reproductible.

MAIS il y a tout ces exemples qui m'empêche d'avoir des remords face aux vaccins et me font remarquer les nombreuses contradiction et exagération entourant les vaccins par exemple:

- l'application pratique du vaccin ( la théorie c'est beau.. mais la pratique ?)
- les principes de fabrication,
- la propagande de peur institutionnalisée
- les "pubs" négative
- l'aspect "sacrée" du vaccin
- la foi aveugle envers nos médecins qui n'encourage pas la populations à bien se renseigner à ce sujet trop souvent..
- les médecins qui ne répondent pas de façon clair et précise à des question à des questions plus pointues
- les effets secondaires
- le prix $$$
- l'inefficacité des vaccins combinées ( prouvé dans plusieurs pays dont la France... )
- le manque de considération de certaines étapes dans la progression des virus avant la contamination du corps que le vaccin "bypass" ( peau, enzyme, flore intestinale ect...)
- les stabilisants toxiques ( métaux lourd et/ou d'autre connus pour leur toxicité. ) Gala en n'a souvent parlé ici...
- l'injection de vaccins dans les bébés ou le système immunitaire n'est pas encore totalement achevé..
- le manque de méthodes de validations de la réaction immunitaire lors du vaccin ( la procédure, la méthode mesurable et reproductible.)
- la différence si infime entre l'effet de la vaccination et l'effet placebo ( l'effet placebo coûte rien et ça marche en plus...!! )
- les conclusions d'études non partiale commanditées.
- le manque de formation des médecins sur les vaccins que nous devons écouter, tel un gourou devant ces disciples !
- qu'un enfant qui est allergique aux oeufs, cela ne soit n'est pas grave pour lui et les autres qu'il ne soit pas vacciné, mais qu'un enfant sans allergie est pratiquement en danger de mort et mets en danger les autres tel un pestiféré s'il n'est pas vacciné (vaccin dans les écoles)
- que l'immunité dû aux vaccins ne soit que temporaire mais pas celle acquise naturellement.
- la migration des virus
- les conséquences graves sur un adulte pour certaine maladie de la petite enfance (s'il n'a pas développé une immunité naturelle exemple la varicelle)
- l'effet placebo
...ect!!!!
Plus tu t'informes et plus il y en n'a.

Et moi qui avait crue, avant mes recherches, trouver les preuves autre de toute doute du bien fonder des vaccins! Je me suis vite désillusionné.


Voilà!!



  

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Christiana

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 10 janvier 2009 20:23:18 EST  
On peut doser les anticorps pour mesurer la réponse immunitaire.

Comme je disais, tout le monde ne va pas avoir une réponse immunitaire suffisante à un vaccin. L'efficacité du vaccin se mesure en terme de propagation ou non d'épidémie, et non pas de son infaillibilité à produire une réponse immunitaire chez tous les sujets.

Par exemple les médecins doivent être vaccinés contre l'hépatite B (pour protéger les patients). À tel point que l'on vérifie ensuite les anticorps, et qu'un certain % de personnes ne sont pas immunisées. Il faut alors les revacciner pour s'assurer qu'elles sont bel et bien protégées.

On dose aussi les anticorps contre la rubéole des femmes enceintes (en fait idéalement des femmes en âge de procréer). Là encore, dans certains cas, la vaccination a échoué et il faut revacciner. C'est pour protéger le foetus.

La partie du virus ou de la bactérie, ou de la toxine, choisie dans le vaccin est celle qui permet à l'organisme de se défendre efficacement sans tomber malade, si jamais il rencontre ce microbe.

En passant, on reçoit quand même beaucoup d'heures de formation en microbiologie et en immunologie ;)

Aussi, nous savons que les études sont souvent financées par les compagnies pharmaceutiques, et les articles de revues scientifiques sont jugés de manière critique en connaissance de cause. C'est certain que ce système est imparfait, j'en conviens. 

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Gala

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 10 janvier 2009 19:49:48 EST  
Selon moi, si il y a complication, ce n'est pas le fait d'avoir ou non vacciné qui aura changé quoique ce soit...Encore une fois, tout vient de ce que l'on pense de l'immunité et de la vaccination.

Les histoires de complot, ça existe bel et bien et si personne ne veut en entendre parlés parce que ça fait trop peur ou que cela angoisse trop, les conséquences risquent alors d'être désastreuses...La plupart des données qu'ont les médecins concernant l'immunité des vaccins proviennent des compagnies pharmaceutiques elles-mêmes..

Je ne considère pas mon pédiatre comme la personne la mieux placé pour me parler de vaccination si celui ci à seulement en tête ce qu'il a apprit dans les quelques heures de cours sur l'immunisation par vaccination. Un médecin qui a prit le temps de varier ces sources est en mesure d'exposer les dangers autant que les ( peut-être selon moi..) avantages de la vaccination dans certains cas PRÉCIS ( personne à risques..) et encore...

Des effets secondaires négatifs reliés à la vaccination ont été très et trop souvent cachés au public tout comme les médicaments d'ailleurs dont plusieurs sont retirés à chaque années des tablettes des pharmacies sans que cela ne s'ébruite trop, tout cela, c'est une histoire de $$$

J'ai une question pour toi CAROLINA,

Comment fait t-on pour valider la réaction du corps face aux vaccins et s'assurer que celui-ci fonctionne ?

Quel est la valeur d'un globule blanc qui a été crée pour s'attaquer à un virus mort et un globule blanc qui à été crée pour détruire un virus actif ?


 

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Christiana

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 10 janvier 2009 19:23:06 EST  
J'ajouterais que l'important est d'être à l'aise avec votre choix. S'il y a une complication (soit d'une maladie infectieuse qui s'aggrave, soit de la vaccination...), même si elle est rare en théorie, vous aurez à vivre avec cette complication à 100%, et ce, pour toujours.

L'autre question à se poser, c'est : et si tout le monde commençait à refuser la vaccination, et qu'il n'y avait plus d'effet protecteur dû à la vaccination des autres, feriez-vous le même choix ?

Je conclue en disant que les médecins sont très insistants de par l'aspect "santé publique" de la vaccination. Votre décision n'implique pas que vous et votre enfant, elle implique toute la communauté, et ça, on ne le voit pas forcément.

Quant aux histoires de complot mondial, etc... je passe mon tour Wink 

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Maé

Inscrit le :
24 avr. 2007

Posté le: 10 janvier 2009 12:58:40 EST  
J'aimerais savoir si d'autre parmi vous avez la même information que moi concernant la méningite. Elle est prévisible selon certain car son cycle épidémique est à tous les 10 ans. Donc en 2012 elle devrait resurgir!. Vous en savez un peu là-dessus?? 

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terredesenfants

Inscrit le :
10 janv. 2009

Posté le: 10 janvier 2009 00:39:47 EST  
Il faut arrêter d'avoir peur!!!!
Bonjour,
je ne vais pas parler des études, des lectures que j'ai faites sur le sujet ou des ingrédients que les vaccins contiennent car je crois que tout les arguments ont déjà été très bien exposé.

Je voudrais parler de mon expérience personnelle. Je n'ai jamais été vaccinnée étant enfant (née en 1981). Lorsque j'étais au primaire il y a eu une épidémie de rubéole. J'étais à ce moment là, la seule enfant non-vaccinée dans mon école. L'école à même voulu m'exclure en donnant pour argument que j'étais un danger pour les autres élèves. Mes parents on refusé et je suis restée à l'école. En bout de ligne 90% des enfants de l'école ont été malade (tous étaient vaccinés) et moi? Je n'ai jamais eu la rubéole.

Ma tante est chiropraticienne spécialisée en pédiatrie. Elle est aussi accompagnante à la naissance. Elle a une clientèle variée certains pro vaccins certains anti-vaccins et elle pratique depuis environ 15 ans. Elle m'a affirmé qu'il y a une différence visible entre la santé d'un enfant vacciné et d'un enfant non vacciné. Elles me dit que les enfants non-vaccinés ont généralement moins de problèmes de santés: coliques, diarrés, troubles de l'humeur...

J'aimerais rappeler que l'être humain à survécu des milliers d'années sans médecins et sans vaccins. Notre corps est une machine complète qui, si l'on en prend soin, est capable de survivre presque tout.  

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Lälälälou

Inscrit le :
06 sept. 2008

Posté le: 9 janvier 2009 16:45:31 EST  
Maman Nangaï a écrit

Actuellement, au Burkina c'est la saison de la rougeole et de la méningite qui commence. La rougeole!?! J'ai été surprise quant le pédiatre m'a dit ça. Me semble n'avoir jamais entendu un tel truc chez nous!


Il y a environ 20 ans, il y avait eu une épidémie de rougeole dans ma région (je sais pas si on peut parler d'épidémie, mais plusieurs personnes avaient été touchées). Le vaccin de ma soeur contre cette maladie n'avait pas été fait dans les règles de l'art, c'est flou dans mon souvenir, ou bien elle ne l'avait pas eu, ou bien elle l'avait eu mais beaucoup trop jeune. L'école avait demandé à voir nos carnets de vaccination et avait averti les parents dont les enfants n'étaient pas protégés de régler ça au pc. Dès le lendemain, m'a soeur l'avait déjà contractée, tout comme les 3 autres jeunes de l'école qui n'avaient pas été vaccinés. C'est pas juste un p'tit rhume une rougeole! Et il y a des séquelles permanentes! Ma soeur a été alitée près de 2 mois, sans pouvoir voir la lumière et n'avait même pas de force pour lire une revue. Sa vue a été altérée, elle aurait même pu la perdre. Après la maladie, elle était très sensible à la lumière et est devenue myope. Et quand on parle d'un taux de mortalité de 1/1000, je trouve ça énorme. Je me souviens que ma mère s'était sentie bien coupable de ne pas avoir adéquatement fait vacciner ma soeur, d'autant plus qu'une fois guérie, le médecin lui avait dit qu'il y avait des risques de mort subite dans l'année qui suit la maladie.

Comme plisieurs, je suis aussi bien partagée sur la nécessité de soumettre nos enfants à la vaccination. D'un côté, je trouve qu'il y en a trop et que certains ne sont peut-être pas très utiles. Mais d'un autre côté, je sais que certaines maladies sont virulentes et peuvent avoir de graves conséquences, même si elles sont diagnostiquées rapidement.

Je pense qu'il est vrai de dire que l'amélioration de nos conditions de vie tend à diminuer l'éclosion d'épidémies et à freiner leur propagation. Toutefois, quand une épidémie de rougeole ou de méningite frappe une région, bonne hygiène ou pas, les enfants des garderies et les écoliers ont tous autant de chances de contracter le virus s'ils ne sont pas vaccinés.

Je dois dire que j'aime bien les propos de Carolina, ils sont nuancés et pas alarmistes. Et je dois dire que je trouve l'argument de l'autisme particulièrement mesquin: il n'est pas prouvé et non fondé, mais il fait particulièrement peur. C'est délicat comme sujet puisque d'un côté comme de l'autre, on a l'impression en tant que parent de faire du tord à notre enfant! Tu vaccines pas, tu fais courir des risques à ton enfant; tu vaccines, tu empoisonnes ton bébé!  

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Maé

Inscrit le :
24 avr. 2007

Posté le: 9 janvier 2009 15:57:00 EST  
Oui et non... en fait j'ai mentionné qu'elle y allait fort (dans un autre post) et elle s'est sentie visée et s'est mise à effacer tous ses messages offensants, blessants ou arrogants live... puis pouf...  

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Tchintcha

Inscrit le :
22 mars 2008

Posté le: 9 janvier 2009 15:25:30 EST  
Angele Dei a été signalée?? 

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