loi 26, j'ai téléphoné au bureau de mon député.....

bonjour,

voilà, j'ai téléphoné au bureau de mon débuté aujourd'hui pour savoir s'il savait quand la loi 26 serait effective?.

voici ce que j'ai eu comme réponse :
ils sont présenterment en chambre, et ils terminent en juin.
selon lui, tout les projets déposés doivent entrer en vigueur à la sortie de cette session parlementaire, donc en JUIN !!!

bon, maintenant, je tente de pas trop m'emballer?? et je j'aimerais vous demander qqchose?.

de téléphoner votre député vous aussi, voir si l'info se ressemble un peu?..

pour qu'on puisse comparer les réponses??

on se tient au courant!

tangerine 

Salut à toutes!

Il y a t-il des nouvelles sur la loi 26 ou bien la grippe A(H1N1) a pris toutes la place!

Bis 

Salut les filles!

En effet Lea, ça fait très longtemps que je n'avais pas écrit! Je lis encore quelque post, comme celui là et celui de la FIV, mais je m'implique moins. Mettons que j'avais besoin de penser à autre chose un peu.

En fait,le lien que je vous ai mis, nous a fait prendre une décision à mon chum et moi. Nous n'attendrons pas la loi. Ça peut être long et je suis tannée d'attendre. Surtout, c,est la limite d'embryon qui nous a vraiment motivé. C'est vraiment rire du monde. Avec un embryon je n'ai que 25% de chance de concevoir... Non mais c'est éprouvant physiquement et psychologiquement ce processus là, et eux tout ce qu'ils veulent c'est sauver le coût des grossesses multiples. En tout cas, je ne suis pas le genre de fille à chialer, mais le gouvernement qui joue avec nous ça me "/$%?%?&%%$//!!!!!

De toute façon on en veut plus qu'un enfant. Alors le prochaine FIV on la fera gratuite, c'est tout!

Je te souhaite un gros merde pour cette insémination! Nous la méritons toutes notre bédaine!

Alors d'ici les prochaines semaine je vais retourner activement sur le post des FIVs.

À plus les filles!!  

Salut Gen 31

Je suis contente d,avoir de tes nouvelles, ca fesait longtemp!! Je vois que tu es en attente de la loi, entre temps essayer vous autre chose ou il n'y a pas tellement d'autre solutions? Nous on continue les IAC, je sui a ma 2e et je suis a 7DPO, on se croise les doigts. On souhaite aussi que cette loi passe... c'est assez long la bureaucratie...

A bientot

Lea

 

Salut les filles,

allez voir sur ce forum si ça vous intéresse, il y a une fille de l'ACIQ qui donne pas mal d'info: les étapes à venir et tout.

http://www.dlvdm.com/forum/lofiversion/index.php/t213809.html


À part ça, moi aussi je suis toujours dans l,attente de cette loi!!!

Bye !   

merci les filles pour ces informations, qui d'autres a des nouvelles ! 

Je remonte ce poste que je trouve tres important!!

Continuez d'appeler et je le ferais aussi

Allez les filles on ne lache pas 

C'est bien pour celles qui sont sur les assurances de la RAMQ, mais ça pénalise ceux qui ont une assurance privée qui ne défraient pas ces coûts. Si j'avais eu à passer par là, le crédit de 50% m'aurait presque autant avantagé que leur loi de la gratuité, car mes assurances ne remboursent pas les médicaments pour des traitements extracorporels. Le même médicament qui était payé pour l'IAC ne l'était plus pour la FIV. Je pense à celles qui seront dans la même situation...

Bonne chance à vous toutes qui attendez après cette loi... 

Je viens de voir que le projet de loi a reçu une approbation de principe le 29 mai dernier et a été vient d'être étudiée par la Commission des affaires sociales de l'ASsemblée nationale le 16 et 17 juin. Donc on peut espérer une adoption avant la fin de la session parlementaire avant le 23 juin.

Cela dit, pas de règlement, pas de gratuité. Ça va encore prendre du temps pour le règlement. 

Bonjour les filles, Voici ce que mon homme a obtenu de notre député! (ok c'est long mais c'est a jour!!)

Bonne lecture
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Voici un texte écrit dans le courrier parlementaire que je reçois chaque jour....Je crois que la réponse à ta question y est...

(6) Procréation assistée
Encadrement et financement par l'État

Le Courrier parlementaire© du mardi 2 juin 2009
Afin de soutenir, aider et protéger les personnes qui ont recours aux services de procréation assistée, le ministre Yves Bolduc a déposé le projet de loi 26, dont le principe a été adopté par les députés, la semaine dernière. Ce n'est pas la première fois que le gouvernement présente un texte sur l'encadrement des activités de procréation assistée, il l'avait fait en 2004 et en 2007. Ces propositions législatives n'ont toutefois pas passé l'étape de l'adoption finale. Contrairement aux textes précédents, celui qui est maintenant rendu à l'étude détaillée, englobe aussi la question du financement de trois traitements de fécondation in vitro, qui seront remboursés par l'État.

«Les commissions parlementaires tenues en mars 2006 et juin 2008 nous avaient alors confirmé le besoin d'encadrer la pratique, mais avaient surtout mis en relief la question du financement des services de fécondation in vitro, et son lien avec la réduction du taux de grossesses multiples», soutient le ministre de la Santé.

La stimulation ovarienne est incluse
Les technologies de pointe telles la fécondation in vitro, la conservation de gamètes et d'embryons, l'insémination artificielle, le transfert d'embryons, de même que le diagnostic préimplantatoire sont toutes des activités touchées par le projet de loi.

Habituellement, a expliqué le ministre, les procédés pharmaceutiques pour la stimulation ovarienne ne sont pas inclus dans les activités de procréation assistée. Toutefois, à la fois pour la sécurité des femmes qui y ont recours et aussi pour réduire le nombre de grossesses multiples, «nous avons décidé d'encadrer leur utilisation par le projet de loi».

Ce que propose plus concrètement le projet de loi, c'est d'abord l'instauration d'un permis d'exercice pour les centres de procréation assistée en fonction des services offerts, soit le domaine clinique, le domaine de la recherche, ou les deux. Ensuite, il contient l'obligation d'obtenir un agrément des activités auprès d'un organisme reconnu par le ministre, de même que la mise sur pied d'une procédure d'inspection et de surveillance et d'un mécanisme de reddition de comptes de la part des centres auprès du ministère.

Un encadrement des pratiques professionnelles par les pairs, de même que l'évaluation des projets de recherche par des comités d'éthique de la recherche reconnus est également au nombre des mesures du projet de loi. Autre disposition très attendue, la création d'un système de collecte de données permettant de suivre l'évolution du domaine et les éventuelles pratiques risquées sera aussi mise en place.

Limitation du nombre d'embryons
Aux dires du ministre, plusieurs enjeux de santé sont associés à la procréation assistée, mais les experts s'entendent pour identifier les grossesses multiples comme étant le principal problème lié au traitement. «Je spécifie d'emblée que la réglementation accompagnant la loi comprendra un aspect visant à limiter le nombre d'embryons transférés lors des protocoles de fécondation in vitro». Selon lui, le fait d'avoir recours à la réglementation sur cet aspect, plutôt qu'à des modifications législatives, permettra au gouvernement de pouvoir agir avec plus de souplesse et de pouvoir s'adapter plus rapidement à l'évolution des pratiques de la procréation assistée.

Ce texte législatif très attendu a été relativement bien accueilli par les parlementaires des deux groupes d'opposition. Pour l'opposition officielle, la prise en charge des traitements de fécondation in vitro par la RAMQ est bienvenue et permettra effectivement de limiter le nombre de grossesses multiples.

«Tant et aussi longtemps qu'on ne payait pas les traitements à même la RAMQ, les couples infertiles étaient tentés évidemment, avec le budget limité qu'ils avaient, de provoquer cette grossesse tant souhaitée en recourant à la stimulation ovarienne et, ce faisant, on augmentait les risques de grossesses multiples», soutient le député péquiste Bernard Drainville.

Orientations réglementaires
Même si le projet de loi vient un peu tard, insiste-t-il, l'opposition officielle est tout de même heureuse que le gouvernement libéral se soit rangé dans le camp des parents qui souffrent d'infertilité, un changement de cap très apprécié. Toutefois, prévient le critique péquiste, lors des deux autres propositions du gouvernement en matière de procréation assistée, nous avions demandé les orientations réglementaires du ministre, ce que nous allons faire de nouveau concernant le projet de loi 26.

Une requête que le député adéquiste Éric Caire trouve effectivement pertinente, lui aussi. C'est beaucoup plus simple, selon lui, de travailler sur un règlement pour s'ajuster aux nouvelles technologies et à l'évolution de la science, «mais on aimerait ça avoir le projet de règlement pour l'évaluer à sa juste mesure».

Aux dires du député de La Peltrie, le ministre s'octroie également un grand pouvoir d'évaluation éthique dans ce domaine. «J'aurais aimé retrouver, dans le projet de loi, l'Assemblée nationale comme tribune de discussion, comme tribune d'échange par excellence sur ce qui concerne l'ensemble de la population du Québec. Et j'aurai à soumettre au ministre un amendement dans ce sens-là».


Katrine Pilon
Attachée politique
Sylvain Pagé, député de Labelle 

Merci ! À voir le nombre de demande pour des donneuses je suis sûr que nous ne sommes pas les seuls. Et ça il faut le faire comprendre. Car au brunch je n'ai pas eu l'impression que le ministre comprenait la question et c'est pareil dans les courriels que j'ai échangé avec son bureau. Il parle du problème d'éthique et de rémunération pour la donneuse. Mais avant d'en venir là ils devraient inclure le don d'ovule au même titre que le don de sperme.

Je sais je me répète, quand il y aura assez de noms sur la pétition je n'en parlerai plus !

Francois et Sylvie