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La pression de l'allaitement enfin reconnue par les hôpitaux

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Pattenrond

Inscrit le :
17 juin 2008

Posté le: 3 octobre 2013 10:43:47 EDT  
Voici une reproduction du texte écrit par Maman Éprouvette que j'ai trouvé récemment ici: http://www.mamaneprouvette.com/2013/10/reflexions-sur-la-promotion-et-le.html?showComment=1380806560819#c3398476634698475554

«2 octobre 2013
Réflexions sur la promotion et le soutien en allaitement

À l'occasion de la Journée des professionnels dans le cadre de la semaine de l'allaitement tenue à l'hôpital Sainte-Justine, j'ai eu la chance d'assister à conférence des Drs Suzanne Dionne et Jean-Claude Mercier intitulée L'allaitement maternel exclusif en Amérique du Nord.


Le réseau de la santé peut-il se borner à faire seulement de la promotion pour favoriser l'allaitement maternel? C'est sur cette question fort intéressante que se penchent Suzanne Dionne et Jean-Claude Mercier dans leur conférence L'allaitement exclusif en Amérique du Nord. Leur analyse, nuancée et réfléchie, se base avant tout sur les principaux concernés, la mère et son bébé.


Lorsqu'un professionnel aborde une mère pour l'aider dans son allaitement, il doit prendre conscience que le langage nécessaire est différent de celui utilisé dans les messages de santé publique, mentionnent les conférenciers. S'il est important d'offrir de l'information juste au moment approprié, il faut bien souvent faire preuve d'empathie et s'adresser aux émotions que la mère traverse.


Les recommandations de santé publique sont importantes pour envoyer un message clair à la population et donner des guides aux professionnels. Elles ne devraient cependant pas être présentées aux mères qui allaitent comme des règles absolues. Dans une consultation, ces recommandations devraient être nuancées pour s'adapter à la situation de chaque femme, soulignent avec justesse Dr Dionne et Dr Mercier.


Le même type de réflexion peut s'appliquer à l'Initiative amis des bébés (IAB). Cette certification qui vise à protéger l'allaitement maternel dans les hôpitaux est avant tout une philosophie. Il ne s'agit pas d'une simple liste à cocher. Les conférenciers mentionnent d'ailleurs l'importance de comprendre le sens de ce programme pour être en mesure de bien l'expliquer aux parents. Le but recherché par l'IAB n'est pas un taux d'allaitement à atteindre, mais bien la satisfaction de la mère et de son enfant.


Au bout du compte, Dr Dionne et Dr Mercier nous rappellent qu'avant de faire la promotion de l'allaitement, il faut s'assurer de pouvoir offrir le soutien nécessaire et de mettre en place des environnements favorables aux mères qui allaitent. Sinon, c'est tout le poids de l'allaitement qui repose sur le dos des mères.

Toujours à propos de la promotion:
Difficultés d'allaitement : encore trop fréquentes!
Fait-on fausse route pour la promotion de l'allaitement?

Référence :
Dionne, S., Mercier, J.C. (2013). L'allaitement exclusif en Amérique du Nord. Conférence présentée dans le cadre de la Journée des professionnels dans le cadre de la semaine de l'allaitement tenue à l'hôpital Sainte-Justine, le 1er octobre 2013.
Rédigé par Kathleen Couillard »





 

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Soulma

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04 sept. 2012

Posté le: 10 octobre 2013 17:30:58 EDT  
Moi je sais que quand j'ai accouché il y a deux ans, je ne produisais pas assez pour nourrir ma fille. Une goutte en 2 heures. Ils m'ont obligés à presser mes seins dans de petits gobelets et je me suis blessé. Quand mon conjoint s'est écoeuré que les infirmières ne m'écoutent pas, il a été obligé d'aller au poste des infirmières et demander qu'on me donne du lait commercial. Ç'a pris un bon 5 minutes pour qu'elle accepte. J'ai trouvé qu'ils avaient manqué de jugement. Et le pire, c'est que je voulais allaiter, mais je n'en étais pas capable. 

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Pattenrond

Inscrit le :
17 juin 2008

Posté le: 10 octobre 2013 08:22:19 EDT  
J'avoue que tu as un point là! mdr Le choix des mots peut être importants par moment. Et le terme «lâcher» n'est peut-être pas approprié.

Évidement mon intention n'était pas du tout de mépriser l'arrêt de l'allaitement... bien au contraire!

Mais en même temps... je parle souvent de lâcher prise... donc en ce sens, lâcher l'allaitement est pour moi un certain lâcher prise... Dans le sens, la vie fait en sorte que ça ne se passe pas bien pour moi l'allaitement, alors je lâche prise.

On pourrait parler longtemps de terminologie, d'étymologie ou même de polysémie!!! mdr 


Édit: j'ai fait une petite recherche dans mon Antidote et voici ce que ça a donné:

« Du latin laxicare, relâcher.

TRANSITIF DIRECT
-Rendre moins tendu; desserrer. Lâcher la bride, un cordage.
-Cesser de tenir. Lâcher la main de quelqu'un. Lâchez-moi!

[Familier] Délaisser, abandonner brusquement. Lâcher l'école. Les investisseurs nous ont lâchés.

-Ne plus importuner. Lâche-nous un peu, tu nous embêtes!
.
PRONOMINAL
-Se lâcher : [Familier] se laisser aller, se comporter sans retenue.

INTRANSITIF
-Céder; se briser. La corde a lâché.»




Pas de notion de lâcheté... Ce serait une impression donc que le terme lâcher est péjoratif....

Mais comme les impressions sont hyper importante quand on parle d'allaitement, c'est un facteur à prendre en considération!  

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Melamibome

Inscrit le :
21 mai 2011

Posté le: 9 octobre 2013 18:21:56 EDT  
Pattenrond a écrit
En tout cas, la phrase: ''t'aurais dû m'en parler avant de faire ça'' c'est pas professionnel du tout! C'est jugeant et à la limite méprisant! Comme si tu n'étais pas capable de prendre tes propres décision, qu'il fallait qu'elle te donne son autorisation avant de lâcher l'allaitement!


Pour moi, c'est autant jugeant et limite méprisant, comme tu dis, que de choisir le mot ''lâcher'' pour désigner la cessation de l'allaitement.

Si on veut que les femmes ne se sentent pas juger dans leur choix d'allaiter ou non, de poursuivre ou de cesser, faudrait peut-être arrêter de lier des termes péjoratifs à l'arrêt de l'allaitement tel que le verbe ''lâcher''.

Le verbe ''lâcher'' fait référence à la lâcheté, ce qui n'a rien de glorieux et de valorisant quand on choisi de l'associer au mot ''allaitement''.

Il serait préférable de dire ''cesser'', ''arrêter'', ''terminer'' etc.

Mais si j'entends quelqu'un dire ''Elle a lâché l'allaitement'', je ne peux m'empêcher de le voir négativement et d'y associer un jugement de la part de celle qui le verbalise ainsi.

Certains diront que je suis puriste, mais personnellement, je trouve que ça fait toute la différence du monde de bien choisir les termes qu'on utilise, surtout dans un cadre aussi émotif que l'allaitement.

Je pense que dans l'oreille d'une maman en difficulté, se faire dire ''tu cesses l'allaitement'', versus ''tu lâches l'allaitement'' ça fait une nette différence sur le sentiment de culpabilité. Enfin, moi j'y accorderais une importance particulière.

Mel

 

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bebe_eloi

Inscrit le :
13 déc. 2010

Posté le: 9 octobre 2013 13:50:50 EDT  
Ouin très ordinaire comme marraine d'allaitement!
J'en suis une et quand il y a quelque chose qui cloche et bien je me rends chez la maman!
Le soutien est primordial et vérifier une positon au sein ça se fait pas par téléphone???..Sad
 

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Izza01

Inscrit le :
03 juin 2012

Posté le: 9 octobre 2013 11:26:32 EDT  
J'ai été vue par l'IBCLC de l'hôpital puis elle a réussi à trouver la position pour que mon fils tête le côté qu'il n'aimait pas. Les infirmières aussi étaient très aidantes et conseillaient bien. Sauf qu'à la maison, c'est redevenu difficile. J'ai, en même temps, fait un gros gros baby blues (j'ai eu très peur de la dépression, je pense que je suis passée vraiment proche). Donc je ne trouvais pas l'énergie d'aller chercher plus que la marraine qui était supposée "me suivre".

Je comprends tout à fait qu'elles soient bénévoles et ne soient pas en mesure de voir toutes les mamans mais il me semble que quand tu as une maman en larmes au téléphone, qui te dit avoir tellement mal qu'elle allaite en pleurant plus fort que bébé, tu fais un peu plus que lui dire "as-tu essayé de changer de position ?".

L'infirmière qui vient au retour à la maison c'est bien mais un suivi sur du plus long terme, ce serait une bonne chose. Ou simplement une ou deux visites supplémentaires parce que, pour l'avoir vécu, quand on est en baby blues, on a juste envie de rester en boule au fond de son lit, on est bien loin d'avoir le courage/l'énergie/la force d'aller chercher de l'aide...

Je me le suis fait dire "l'aide existe, c'est à toi d'aller la chercher" et bien c'est justement là le problème...  

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Pattenrond

Inscrit le :
17 juin 2008

Posté le: 9 octobre 2013 09:16:05 EDT  
La plupart des marraine d'allaitement son des bénévole. Alors, des fois, on tombe sur des moins bonne que d'autres... qui vivent des moins bonnes journées que d'autres... J'ai rien contre le bénévolat! J'en fait moi-même, mais la réponse que tu as eu quand tu lui a demandé de venir te voir à l'hôpital en est une fréquente quand on parle à une bénévole. Elle donne du temps gratuitement sans rien attendre en retour, donc c'est normal qu'elle mette ses limites. C'est plus souvent qu'autrement un support de type maman à maman ... (pas toujours, on s'entend, il y a des marraine d'allaitement hyper formée et hyper professionnelle!)

En tout cas, la phrase: ''t'aurais dû m'en parler avant de faire ça'' c'est pas professionnel du tout! C'est jugeant et à la limite méprisant! Comme si tu n'étais pas capable de prendre tes propres décision, qu'il fallait qu'elle te donne son autorisation avant de lâcher l'allaitement!

Une conseillère en lactation , c'est généralement quelqu'un qui est payé pour le faire . Donc, meilleure service et un déplacement à l'hôpital, c'est très certain!!! Je croyais que c'était que des conseillères en lactation qui travaillaient en lien avec les hôpitaux! Et les infirmière sont supposées avoir une bonne formation quand même... 

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Izza01

Inscrit le :
03 juin 2012

Posté le: 9 octobre 2013 08:44:02 EDT  
Pour mon fils, l'allaitement a mal été dès le début. On ne me l'a pas mis en peau à peau donc il n'a pas têté immédiatement car son état a nécessité un passage d'une demi-journée en néonat. Je l'ai eu avec moi environ 6-7 heures plus tard.

Par la suite, il refusait de prendre un sein ce qui fait que dès le départ, j'avais un côté en sang puisqu'il ne voulait que ce côté. J'ai demandé, avant la naissance, une marraine d'allaitement.

Et bien, oui elle a appelé plusieurs fois mais même si je lui disais que ça n'allait pas, jamais elle n'a proposé de venir me voir pour essayer de regarder ensemble si la prise était bonne, si la position pouvait être améliorée, etc. Il faisait froid et elle avait un bébé à la maison. Heuuu dans ce cas-là, retire ton nom de la liste des marraines !

Puis j'ai senti un jugement gros comme ça quand j'ai dis que j'étais passé à la préparation. Sa réponse "j'aurais aimé ça qu'on en parle avant que tu prennes cette décision" ! Ben c'est parce que ça fait je sais pas combien de fois que je te pleure ça au téléphone que ça ne fonctionne pas ! Tout ce qu'elle me disait au téléphone, je le savais déjà, moi aussi j'ai lu le Mieux-Vivre pis moi aussi j'ai suivi les cours prénataux du CSSS Jeanne-Mance !

En tout cas, tout ça pour dire qu'on juge beaucoup les mamans qui n'allaitent pas ou cessent d'allaiter très tôt. Elles ne donnent pas le meilleur, sont non persévérantes, etc. mais moi je ne me suis pas sentie accompagnée comme il faut pour arriver à ce que cela fonctionne ! Le pire, c'est qu'autant le CSSS Jeanne-Mance que l'hôpital où j'ai accouché ont ou sont en voie d'avoir la certification Amis des bébés ! 

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Enirak03

Inscrit le :
19 déc. 2007

Posté le: 7 octobre 2013 21:40:10 EDT  
Ma fille qui aura 5 ans était prématurée, née à 34 semaines à 4.4 lbs, neutropénique en prime. Avant mon accouchement, je me disais si j'étais capable d'allaiter jusqu'à 6 mois tant mieux, sinon ce sera les préparations. Mais avec sa prématuritée et sa maladie (aucuns globules blancs), j'aurais aimée l'allaiter mais elle avait de la misère de prendre le sein. À l'hôpital, il y avait qqn qui venait pour nous aider 1 journée par semaine!! C'était carrément ridicule!! Les 2 fois qu'elle est venue (pendant genre 30 secondes!) elle a réussi à mettre ma fille au sein mais dès que ma fille débarquait, elle était plus capable de le prendre! J'ai tirer mon lait pendant 1 mois (j'ai fais une méga mastite qui m'a obligée d'arrêter car déjà que ma production de lait avait diminué après 15 jours et là c'était pire après ma mastite) et ensuite j'ai mêlé mon lait à la préparation, donc au final, ma fille a eu de mon lait pour 2 mois.

Ma meilleure amie a accouchée il y a 1 an et c'était carrément le contraire! Elle avait de la misère à allaiter alors elle avait une infirmière tout le temps avec elle (il était rendu que l'infirmière lui levait pratiquement le chandail devant les visiteurs! Mon amie est devenue mauvaise un moment donné!!) et ils ne voulaient pratiquement pas les laisser sortir de l'hôpital tant que son fils ne buvait pas comme il le faut, ils voulaient rien savoir qu'elle lui donne le biberon!

Donc un milieu, ce serait SUPER!!! Faire essayer les mamans,donner de l'aide à l'allaitement pour celles qui veulent le faire, et ne pas lincher les mamans qui ne sont pas capable ou qui ne veulent pas 

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Pattenrond

Inscrit le :
17 juin 2008

Posté le: 4 octobre 2013 17:27:13 EDT  
Comme tu dis, il est difficile de juger une situation qu'on a pas vécu...

mais crois-moi, c'est très possible d'être à bout après une journée! J'en ai été témoin très souvent...

Il y a plein de facteur qui entrent en ligne de compte dans une situation pareille, bien sûr, et souvent, les gens qui regardent la situation de l'extérieur ne voient pas toute la montagne de choses qui ont mené à ce que la maman soit «à bout» après une journée. C'est très complexe en fait...

Pour en revenir sur la formation mentionnée plus haut par plusieurs personnes... je suis entièrement d'accord. Mais il y a une petite chose qui m'inquiète. J'espère juste que la formation ne sera pas unilatérale sur une option. Les mamans qui décident de ne pas allaiter ont elles-aussi besoin de soutien et on l'oubli trop souvent... le texte semble par contre mentionner qu'ils allaient y porter attention. 

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Maxal

Inscrit le :
29 déc. 2010

Posté le: 4 octobre 2013 13:57:19 EDT  
Personnellement, je n'ai jamais ressenti cette fameuse "pression". Le personnel hospilatier a toujours été très aidant et inobstrusif envers moi avec l'allaitement.

Je me doute que cela ne se passe pas toujours ainsi car j'entend des histoires, mais il est dur de porter un jugement sur une situation que nous n'avons ni vu, ni vécu. Je lis parfois que des filles sont outrées que l'infirmière a voulu vérifier la prise au sein... Euh c'est normal, non? Comment peuvent-elles nous aider si nous ne les laissons pas regarder et toucher? En tk, c'est peut-être juste moi aussi qui voit ça différemment.

Je pense que nous devons quand même continuer de promouvoir l'allaitement et la formation en matière d'allaitment des infirmières. Tout le monde est gagnant.

Pour le reste, bien j'imagine que nous devons respecter de choix de toutes, mais moi, d'un point-de-vue strictement personnel, j'ai bien de la misère avec celles qui ne se refusent d'essayer ne serait-ce qu'une fois ou encore celles qui arrêtent au bout d'une journée "pcq ça ne marche pas". Dans le premier cas, je pense qu'il y a un problème avec la vision de l'allaitement et des sein, dans le deuxième, bien je ne sais pas... Un manque de persévérance peut-être? Tu ne peux pas être à bout de l'allaitement au bout d'une seule journée, après plusieurs journées/semaines de difficulté, je peux comprendre, mais une journée? J'ai bien de la misère à le croire, mais encore là, je n'ai pas vécu cette situation alors mon opinion ne vaut pas grand chose j'imagine. 

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bebe_eloi

Inscrit le :
13 déc. 2010

Posté le: 3 octobre 2013 11:52:07 EDT  
je pense que tout le monde le sait que le lait maternel est ce qu'il y a de mieux. Je pense aussi que le soutien c'est là que doit être mis l'argent et non dans la promotion de l'allaitement et offrir une formation adéquate aux médecins et infirmières oh que oui!!!!!!!!! 

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Laprise

Inscrit le :
27 févr. 2012

Posté le: 3 octobre 2013 11:37:53 EDT  
Je pense que le message sur l'importance du lait maternel et les dangers de la PCN est passé. Maintenant, on peux-tu mettre l'argent sur le SOUTIEN? Les médecins qui suivent des bébés devraient être obligés d'avoir leur formation de base en allaitement. Les infirmières en périnatalité devraient toutes avoir accès à de la formation continue et reconnue en allaitement. Et les groupes bénévoles de soutien devraient aussi être mieux soutenus par les CSSS. 

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Mumy

Inscrit le :
10 déc. 2008

Posté le: 3 octobre 2013 11:19:32 EDT  
J'espère donc moi aussi que c'est le retour à l'équilibre, au juste milieu, au bon gros bon sens en ce qui concerne l'allaitement.

On est malheureusement passé d'une société qui ne valorisait pas l'allaitement à l'époque à une société qui culpabilise maintenant celles qui ne peuvent ou ne veulent pas allaiter et c'est aussi terrible!

À suivre... 

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Pattenrond

Inscrit le :
17 juin 2008

Posté le: 3 octobre 2013 10:56:18 EDT  
Est-ce qu'on assisterait enfin à un retour de balancier? À un juste milieu?

Personnellement je pense que le nombre de maman allaitante ne pourrait qu'augmenter en fournissant de l'information juste, non biaisée et équilibrée aux mamans qui viennent d'accoucher en plus de leur donner autant de soutien, peu importe le choix qu'elles font.

On ne gagne rien à tirer sur une plante pour la faire pousser!  

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