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Histoire de peur. (épisode #2 ajouté)

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TinKer-Bell

Inscrit le :
14 nov. 2010

Posté le: 13 mars 2009 15:13:23 EDT  
La tempe qui tappe un beat. La cuisse qui claque, comme prête à décamper, mais le reste du corps figé. Téthanisé. Absolument, démentiellement persuadé que ça y était.
La mort.

LA MORT.

Je gage que juste de l'écrire, le poil de dos va s'épiller tout seul. -encore-

Une idée comme des fois on en a. Jongler avec une patate, la voir tomber. Se trouver ridicule l'instant d'après. Lancer un spaghetti cuit à son Chéri, pour faire drôle. Râler parce qu'il se trouve des instincts de compétition et qu'il nous lave carrément avec le reste des pâtes. Exécuter une gigue et s'écraser par terre, à cause d'une plaque de glace. ENFIN. On comprend.

Moi: «Viens! on va dans la vieille baraque en arrière!»
CHéri: «C'est pas elle que tu pensais hantée quand t'étais petite ?»
Moi: «Des histoires de p'tite fille qui veut impressionnée les enfants autour d'elle ça! Hihi.»
C'est une vieille chose qui tient par la peau des dents, dans le sous-bois de notre parc. Ça doit faire environ 20pieds par 12 de haut?

Il était évidemment 18h30. Juste un peu comme le soleil est moins brillant. Dans la cabane, il fait noir parce que les fenêtres sont placardées -et taggées-. Y'a une escalier qui permettait d'aller sur le toît.
J'y monte, je suis accompagnée par Chéri. Mais j'ai hâte d'y être, je fais plus vite. En plus, l'ambiance lugubre et toute cette poussière fait quand même pas envie de s'attarder.

DAns ma tête j'ai entendu comme un coup de fouet.

SCHLACK!
Y'avait quelque chose DEVANT MOI. Quelque chose sans pied! pis un chapeau! Un criss de chapeau que plus personne porte aujourd'hui!
Cri de mort.
Je dévalle l'escalier, passe près de CHéri et lui dit de sortir.
Lui: «Quoi, pourquoi ? Voyons ?»
Moi: «SORS !!!»

Et comme pour me rassurer, je regarde en haut des marches que je viens de descendre. Je me disais que ce que je venais de voir serait parti.
NON !!!!!!!
La chose est là et me REGARDE, un peu penchée vers moi. C'est noir et ça semble pas être content de me voir.
Juste comme, enfin, mes jambes acceptent de bouger et que je gagne presque la sortie, elle me lance quelque chose !
QUI ME TOUCHE !!!

...


.



Une réglisse tissées aux cerises.

Je me réveille -quelle surprise!- la peur au ventre.
Mais pas une peur de -je viens de rêvée à de quoi de TERRIBLE- Noooooooon. Une peur de gamin, irrationnelle, persuadée que ça s'peut, qu'elle a vu le truc NOUÈRE pour vrai.
La gorge comme poudrée et le cerveau inquiet de zoomer la chambre.

Jusqu'à ce que je résume, pour moi-même, ce que je venais de vivre.
«Alors, alors... on est très effrayé d'avoir RÊVÉE à un ombre noir qui nous a lancé une réglisse a la cerise.»
«Je pense... oui, je pense que nous pouvons poursuivre cette nuit, maintenant.»

Tinker, qui s'est amusée à revivre une partie de son enfance, cette semaine XxxxxxxxxxX  

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TinKer-Bell

Inscrit le :
14 nov. 2010

Posté le: 13 mars 2009 15:26:52 EDT  
Je suis dans la maison. Plus précisemment dans les escaliers. On y traine si souvent, comme ça, dans les escaliers!

Je suis dans mon quotidien presque platte. Mais certainement tranquile. En fait et pour tout dire, je viens d'aller à la salle de bain!!! :croche:

MiniWee est dans le salon et gazouille. Et là, je suis comme attirée vers la porte (d'entrée). Personne n'a frappé, non plus appuyé sur la sonnette. Je dois juste, aller répondre.

SCHLACK! Encore le coup de fouet. -et le poste de radio, pour les plus intimes-.

J'ouvre ma première porte.

Personne.

Alors, consciemment je me dis que. Puisque j'ai entendu le fouet, nécessairement QUELQU'UN veut entrer. (?!)
Je me recule.
Encore un peu.

Je dis.

«Tu peux entrer.»
J'attend.

SHLACK! Je sursaute. C'est blanc. transparant. Mais cette fois, elle a un visage. C'est une femme avec les cheveux longs, mais attachés en chignon derrière la tête. Elle a une veste, un genre de tricot et elle me sourit. Elle a aussi un bouquet de fleur.
Les fleurs me déplaisent.

«Laisses-tes fleurs dehors!» Je lui parle avec mes yeux qui veulent sortir de leur orbites. Et après, je panique pour de bon. Je ne la connais pas cette femme! Qu'est-ce qu'elle fait à venir flotter entre mes deux portes!
Je coule dans mes jambes, j'ai envie de courir, mais je suis soudée au tapis.

*Calmes-toi TInker! elle ne t'a rien lancée!* -Quand j'y pense ça me fait marrer-.
Il y a un temps où je ne fais que la regarder, comme persuadée que quelque chose va se passer. Je finis par articuler dans un souffle de mourrant;

«J'ai trop peur.»

Elle a fait «oui» de la tête et a juste cessé d'être visible. Mais.
Ce qui m'a achevé -et réveillée encore-.

C'Est que je l'ai sentie passé à côté de moi. Elle est entrée quand même. L'espèce.

Tinker, la dame Blanche et l'excès de Kisses Cherry! XxxxxxxxxxX

P.S: premier rêve date du mois de février
deuxième date d'hier! hihi 

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