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elle mangait si bien avant d'avoir gouté au chocolat, chips

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chenille04

Inscrit le :
24 oct. 2006

Posté le: 2 août 2009 13:53:48 EDT  
ma cocotte a 18 mois, et elle adorait manger tout ce qui avait dans son assiette... Mais depuis que je lui ai fais gouté du chocolat, des chips ou n'importe quoi d'autre qui n'est pas bon pour la santé et bien elle ne mange presque plus... ce midi, j'ai cuisiné du bon poisson avec du riz, et elle a levé le nez dessus, meme chose pour le reste... je suis découragé, il me semble qu'elle ne mange pas bien... n'aime pas les légumes, dans le fond, elle aime que les champignons, et si j'essaie de les cacher dans un repas, elle les trouves et va manger que cela... je suis bien tanné de popoter et de tout jeter par la suite... en plus j'ai un bébé de 7 mois qui mange des céréales, et bien ma plus vieille veux déjeuner que ca ou des toast au nutela, rien d'autre... quand je parle a d'autre maman que leurs enfants mangent tout dans leurs assiettes, légumes, viande... et bien moi j'me dis que m'ont enfant manque de quelque chose. est ce que c'est une passe, est ce que je devrais ne plus lui donner de cochonnerie comme ont dit si bien de temps en temps...pour ne plus retomber dans le meme panneaux... quand penssez vous??? je ne sais plus quoi faire!!!! 

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chenille04

Inscrit le :
24 oct. 2006

Posté le: 2 août 2009 21:21:36 EDT  
wow les filles, c'est assez complet vos réponses, j'ai trouvé réponse a mon problème, merci emcore milles fois... 

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may66

Inscrit le :
02 nov. 2008

Posté le: 2 août 2009 16:03:23 EDT  
Le refus de manger
http://www.naitreetgrandir.net/fr/Etape/1_3_ans/Alimentation/Fiche.aspx?doc=bg-naitre-grandir-enfant-refus-de-manger


Par Sophie Desroches
Mon enfant refuse de manger ou mange comme un oiseau, que faire?
La croissance ainsi que l'intérêt de votre enfant pour la nourriture se stabilisent lorsque ce dernier atteint 2 ans. C'est aussi à partir de cet âge que son appétit varie d'une journée à l'autre, tout comme d'un repas à l'autre. Les quantités d'aliments consommées par votre petit diminuent donc inévitablement.
L'attitude de votre enfant à table constitue un problème fréquent. En effet, à son âge, votre enfant ressent souvent le besoin d'affirmer son autonomie en refusant de manger. Il rejette alors des aliments appartenant à des groupes alimentaires spécifiques, ou refuse complètement de manger aux repas et s'empiffre d'aliments de faible valeur nutritionnelle entre les repas. Toutes ces tactiques ont un seul et même but : obtenir votre attention et des faveurs de votre part.
Quelques comportements à adopter :
Offrez les repas à votre enfant à des heures régulières.
Servez-lui des collations nutritives et peu caloriques deux heures avant ou après les repas pour ne pas couper son appétit lors du repas suivant.
Limitez l'apport de liquides (125 ml de jus et 500 ml de lait par jour).
Servez de petites portions à votre enfant et ne le forcez pas à terminer son assiette.
Servez à votre enfant des aliments sains et nutritifs.
Limitez les distractions à table (télévision, radio, jouets).
Évitez de parler à votre enfant de son faible appétit pour ne pas faire du repas un moment de stress.
Planifiez des périodes calmes avant de manger.

Avez-vous établi un horaire des repas et des collations?
Votre enfant aime avoir une certaine routine en ce qui a trait aux heures des repas et des collations. Offrez-lui ses repas et ses collations selon un horaire régulier afin de le sécuriser et de favoriser son appétit.
Les collations sont-elles problématiques?
De nombreux enfants préfèrent consommer de petites portions d'aliments à la fois. Si c'est le cas de votre enfant, les collations peuvent s'avérer tout aussi importantes que les repas afin de combler ses besoins nutritionnels. Malheureusement, les collations peuvent parfois avoir un effet néfaste sur sa consommation alimentaire. Si elles sont données trop près des heures de repas, elles peuvent diminuer l'appétit de votre enfant lors du repas suivant. Servez-lui alors des collations nutritives qui ne sont pas trop riches en calories au moins 2 heures avant ou après les repas. Ne laissez pas votre enfant grignoter à longueur de journée.
Donnez-vous trop à boire à votre enfant?
De nombreux enfants avalent de très grandes quantités de lait ou de jus de fruits. Consommés en quantités excessives, ces liquides peuvent diminuer l'appétit de votre enfant puisqu'ils occupent un espace dans son estomac et qu'ils contiennent des calories. Limitez l'apport en jus de fruits de votre enfant à un maximum de 125 ml (1/2 tasse) par jour. Limitez aussi son apport en lait à 500 ml (2 tasses) par jour. Offrez-lui les liquides de 1 à 2 heures avant les repas. Lors des repas, servez-lui à boire après le mets principal.
Servez-vous les bonnes quantités à votre enfant?
Ce n'est pas la quantité, mais la qualité des aliments ingérés par votre enfant qui influence davantage sa santé et sa croissance. Servez de petites portions à votre enfant afin de ne pas le décourager. Laissez-le décider de la quantité d'aliments qu'il désire consommer. Retirez-lui son assiette de 20 à 30 minutes après le début du repas sans émettre aucun commentaire désapprobateur (verbal ou non verbal) et ce, peu importe la quantité d'aliments consommée. N'insistez pas pour que votre enfant vide son assiette. Plus vous le forcerez, plus il résistera.
Servez-vous les aliments appropriés à votre enfant?
Comme mentionné précédemment, la qualité des aliments offerts à votre enfant est d'une très grande importance. Offrez-lui un éventail d'aliments sains et nutritifs. Présentez ces derniers sous un jour favorable. Donnez l'exemple en mangeant vous-même une variété d'aliments équilibrés. De plus, évitez de qualifier les aliments de « bons » ou de « mauvais ». Votre petit sera toujours davantage attiré par les aliments dits « mauvais » ou « interdits ».
N'oubliez pas que donner l'exemple vaut bien des discours. Mangez une variété d'aliments sains afin que votre enfant vous imite.
À son âge, votre enfant a probablement plusieurs aversions alimentaires. Offrez-lui régulièrement de petites portions des aliments qu'il n'apprécie guère afin de lui permettre de se familiariser avec ceux-ci et de développer, avec le temps, de nouveaux goûts. Préparez ces aliments séparément. Offrez-les-lui dans un plat à part sur la table et laissez-le décider s'il désire en consommer ou non. Vous pouvez aussi essayer de servir ces mêmes aliments de manière nouvelle et créative afin de les rendre plus attrayants.
La dextérité de votre enfant n'est pas encore totalement développée. Offrez-lui donc des aliments faciles à manipuler pour ses capacités. Ne soyez pas trop exigeant envers lui pour ce qui est de l'utilisation des ustensiles, de la propreté et des manières à table.
Prend-il ses repas dans un environnement favorable?
À son âge, votre enfant a une grande imagination et il est facilement distrait. Il est donc primordial de limiter les distractions potentielles pendant les repas. Interdisez que les repas se déroulent devant la télévision ou en écoutant la radio. Ne permettez pas non plus à votre enfant d'apporter des jeux, des jouets ou des livres à table.
Prend-il ses repas dans une atmosphère sereine?
Le repas devrait être un moment agréable au cours duquel votre enfant mange, discute et échange avec les autres membres de sa famille. Incluez votre enfant dans la conversation en abordant des sujets qui l'intéressent. Évitez d'évoquer des sujets délicats tels que son faible appétit ou ses caprices alimentaires.
Votre attitude influence grandement l'atmosphère au cours des repas. Si votre enfant perçoit votre frustration ou votre exaspération devant son manque d'appétit, il peut alors ressentir une certaine angoisse. Le repas risque alors de devenir synonyme de moments tendus et désagréables pour votre enfant. Adoptez une attitude plus positive et plus souple. Félicitez-le lorsqu'il démontre un progrès, quel qu'il soit.
Votre enfant est-il disposé à manger?
Lorsqu'il est fatigué, votre enfant mange moins. Veillez à ce qu'il ait suffisamment d'heures de sommeil. Augmentez-les en devançant son heure de coucher ou en planifiant une période d'au moins 1 heure de sieste durant sa journée. En étant plus reposé, votre enfant mangera davantage que lorsqu'il est épuisé.

N'oubliez pas qu'à son âge la croissance de votre enfant est très irrégulière. Ses poussées et ralentissements de croissance ainsi que son niveau d'activité inconstant font en sorte que votre enfant a une faim variable. Si la croissance de votre enfant est harmonieuse, qu'il consomme des aliments nutritifs quotidiennement et qu'il est en pleine forme, il est inutile de vous inquiéter.
Souvenez-vous que votre enfant recherche d'abord et avant tout votre attention. Donnez-lui énormément d'attention en dehors des périodes des repas. Ignorez ses petits caprices. Avec un peu de persévérance, vous éliminerez ce comportement.

 

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may66

Inscrit le :
02 nov. 2008

Posté le: 2 août 2009 16:02:25 EDT  
Les caprices alimentaires
http://www.naitreetgrandir.net/fr/Etape/1_3_ans/Alimentation/Fiche.aspx?doc=bg-naitre-grandir-enfant-alimentation-caprice-alimentaire


Par Marie Charbonniaud
Pour lui ou elle, c'est un jeu; pour vous, un véritable enjeu! L'alimentation amuse votre tout-petit par ses couleurs, ses textures, sa variété. De votre côté, vous vous inquiétez de son appétit ou vous négociez ses caprices. Pourquoi? Parce que vous savez que la qualité des aliments conditionne sa santé, actuelle et future.
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« Mon enfant ne mange rien, c'est un caprice! »
« Je vais insister, car c'est pour son bien »
« Au pire, je lui donne ce qu'il demande, pourvu qu'il mange »

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Erreur no 1 : « Mon enfant ne mange rien, c'est un caprice! »
Tenir compte de son ralentissement de croissance
« La 1re année de vie est un exploit dans la vie du bébé : il triple son poids et double sa taille. La 2e année, sa croissance ralentit et l'enfant perd l'appétit. Ce ralentissement est normal et votre petit réduit spontanément son alimentation. C'est difficile à admettre pour les parents, qui ont tellement hâte de voir leur enfant manger! », explique Louise Lambert-Lagacé.
« Chaque enfant a des besoins propres à son métabolisme, sa taille, son poids. Contentez-vous d'offrir des aliments variés et de qualité. Votre enfant ira chercher tout ce dont il a besoin en respectant ses goûts et son appétit. »

Louise-Lambert Lagacé
Retenir que l'enfant repère son niveau de satiété instinctivement
En plus, il s'autorégule : s'il mange peu ou s'il mange des aliments à faible teneur en énergie lors d'un repas, il mangera davantage ou choisira des aliments à teneur en énergie plus élevée au prochain repas. « Le plus gros défi se trouve donc du côté des parents : entendre ces signaux de satiété et arrêter de s'inquiéter », insiste la nutritionniste.
Accepter son désir d'affirmation
Pour le jeune enfant, manger est une activité parmi d'autres. Vers 2 ans ou 3 ans, il préfère apprendre à grimper, à sauter, à parler, à chanter, à devenir autonome... « Il peut se le permettre, puisqu'il a moins faim! » rappelle la nutritionniste. Ce « non-appétit » a donc une double dimension : en plus de transmettre le message du corps qui dit avoir moins besoin de nourriture, il donne à l'enfant un nouveau pouvoir. « Refuser des aliments lui permet d'exprimer sa faim d'autonomie. Il aimera un jour un menu qu'il refusera la fois suivante. Si on ne respecte pas cela, on brime sa capacité de prendre des décisions. On risque alors d'initier une relation malheureuse avec les aliments », poursuit-elle.
Pour une épicerie santé, remplacer :
le jus de fruits par un fruit, qui contient encore toutes ses fibres et autant de vitamines;
vos céréales « blanches » par leur équivalent « brunes », c'est-à-dire, à grains entiers (le pain, les pâtes, le riz, le blé, etc.);
le sucre par du sirop d'érable, de la mélasse ou du miel, des sucres « naturels »;
le beurre et les huiles raffinées par des huiles végétales « première pression »;
occasionnellement, la viande par du poisson, des légumineuses, du tofu ou des oeufs.
Erreur no 2 : « Je vais insister, car c'est pour son bien »
Toujours respecter son appétit
En d'autres termes, disent à l'unanimité les spécialistes, ne forcez pas votre enfant. Plus vous manifesterez votre inquiétude et vos exigences, plus il résistera. De plus, il risque de développer une mauvaise relation avec la nourriture, explique Louise Lambert-Lagacé. L'enfant mangera trop pour vous faire plaisir et obtenir votre affection, ou il refusera de manger s'il éprouve trop de pression ou se sent dévalorisé.
Pour les mêmes raisons, évitez le chantage aux desserts, conseille-t-elle. « D'ailleurs, le dessert, c'est idéalement un fruit ou un yogourt nature. Ce n'est pas une récompense en soi, ça fait partie d'un menu. Si votre enfant n'a pas faim pour le pâté chinois, il peut quand même avoir du yogourt nature ou un fruit, sans être pénalisé. Ce sont aussi des besoins. » En fin de compte, qu'il ait un appétit d'ogre ou d'oiseau, votre enfant trouvera son rythme : les tout-petits ne se laissent jamais priver de l'énergie dont ils ont besoin pour poursuivre leurs découvertes!
Les enfants de 2 ans et 3 ans devraient manger, en 1 journée : 4 portions de fruits et légumes, 3 portions de produits céréaliers, 2 portions de lait et substituts et 1 seule portion de viande ou équivalents.
Puis, de 4 ans à 8 ans, ces portions passent respectivement à : 5 portions de fruits et légumes, 4 portions de produits céréaliers, 2 portions de lait et substituts et 1 seule portion de viande ou équivalents.
1 portion étant l'équivalent de ½ tasse environ
Encore des légumes!

Il ne les aime pas? Alors offrez-les :
? en mini portions pour commencer;
? crus ou précuits, avec des trempettes, ou découpés en formes amusantes;
? en soupe, gratinés, ou dans les sauces pour les pâtes;
? en collation, dans l'auto pendant les longs trajets, ou dans votre sac au magasin;
? en jus, grâce à l'extracteur à jus : jus de carottes et céleri, etc.

Enfin, emmenez-le au marché, à l'auto-cueillette l'été et, si vous avez un jardin, plantez des légumes avec lui!
Cultiver l'amour du repas
Chez les parents d'Emma, même du haut de ses 20 mois, le repas est l'un des moments où « ça jase » le plus. « Je lui demande avec qui elle a joué à la halte-garderie, si elle a vu des éléphants ou des grenouilles dans la journée. Notre discussion est sans limites! », confie son père, François. « Pendant ce temps, sans réfléchir, elle mange presque comme nous. »
Au CPE des Carrefours, où dînent 80 enfants, l'ambiance à table est également très importante. « On essaie d'en faire un moment magique, pour que les enfants aiment cette activité et y trouvent du plaisir chaque fois. On évite toute confrontation ou punition, on prend notre temps et on reste à leur écoute, tout en discutant », explique la conseillère pédagogique Nathalie Ré.
C'est, en effet, pendant les repas que les enfants développent des aptitudes sociales, apprennent à participer, à échanger, à affirmer leur personnalité. Idéalement, le repas doit donc être pris à heure constante, dans une ambiance détendue et sans télévision. Ce qui n'est pas toujours le cas. Selon l'enquête de l'Institut de la statistique du Québec, 31 % des enfants ne considéreraient pas le climat du repas comme « agréable ». Soit parce qu'il se donne en vitesse et n'offre pas l'occasion de se parler, soit qu'il donne lieu à des disputes (16 %). De même, à 4 ans, 42 % des enfants québécois écoutent très fréquemment la télévision pendant les repas. Un conseil : si vous voulez favoriser la communication avec votre tout-petit et son amour du repas, éteignez la télévision!

Erreur no 3 : « Au pire, je lui donne ce qu'il demande, pourvu qu'il mange »
Garder le cap sur la qualité
« Certains parents s'inquiètent tellement de la quantité qu'ils en viennent à délaisser la qualité », remarque Louise Lambert-Lagacé. Pourtant, puisqu'il s'agit, le plus souvent, d'un manque d'appétit passager, mieux vaut focaliser sur la qualité et la variété, quitte à laisser l'enfant grignoter. « Ainsi, il découvrira ce qu'il aime à force de goûter aux différents aliments », explique-t-elle.
La nouveauté le rebute? C'est normal! « Avant de démissionner, il faut offrir un aliment au moins 10 fois à un enfant, pour lui laisser la chance de le découvrir vraiment », ajoute la nutritionniste. C'est ainsi qu'au CPE des Carrefours, les menus reviennent toutes les 5 semaines, pour laisser aux enfants le temps de s'habituer à un aliment. Enfin, inutile de demander à un tout-petit qui rechigne son choix entre 4 menus. Plus vous céderez à ses exigences, plus il se montrera difficile! Au contraire, cela le rassurera de voir que vous gardez fermement les commandes des menus.
Favoriser son appétit
5 collations simples et nutritives
? Fruits frais coupés avec du yogourt
? Bagel (ou galette de riz) avec du beurre d'arachide et une banane
? Muffin avec tranches de pomme
? Sucettes glacées préparées avec du jus de fruits 100 % pur ou du yogourt
? Mélange de céréales sèches avec un contenant individuel de lait

Idées tirées du Guide alimentaire canadien 2007
Pour garder ouvert son appétit jusqu'au repas, voici quelques trucs utiles. Il est conseillé d'alléger ses collations (voir nos exemples de collations ci-contre) et de les offrir au moins 2 heures avant ou après le repas. « Certains parents considèrent que leur enfant ne mange pas. Or, lorsqu'on fait le bilan de la journée, on réalise qu'il a avalé tout ce dont il avait besoin en dehors des repas », note Louise Lambert-Lagacé.
Ensuite, évitez de servir du lait ou du jus en même temps que le repas. Un verre de jus (même pur) fournit 6 sachets de sucre et autant de calories qu'une boisson gazeuse; c'est un véritable coupe-faim! Tout comme le lait ou le pain. Donnez plutôt de l'eau au repas et du lait à la fin. Enfin, il faudra peut-être ajuster l'horaire du repas en soupant plus tôt. Pour Maude, ça a été le déclencheur pour que son fils, Ralph, retrouve son appétit. « Ce n'était simplement pas la bonne heure pour lui », convient-elle.
Pour bien manger sans se ruiner, penser :
aux légumes secs en boîte et au tofu (bien moins chers que la viande);
aux fruits et légumes de saisons (et aux paniers de légumes moins parfaits, souvent à 1 $ au marché);
aux poissons comme le maquereau, les sardines, le hareng, le thon (riches en acides gras essentiels).
Adapté du magazine

Volume 2, numéro 3

  

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Anonyme

Inscrit le :
06 nov. 2008

Posté le: 2 août 2009 15:50:35 EDT  
Les "cochonneries", c'est bien, mais c'est comme tout : avec modération. Donc, moi, je suis contre l'idée de les bannir complètement de l'alimentation, car ça en fait un "idéal" ou un cadeau que les enfants recherchent et ils tombent dedans encore plus quand il arrive une occasion spéciale où il y en a (fête, Noël, etc.).

C'est normal qu'un enfant aie des préférences, surtout pour le sucré, mais ce qui est important, c'est de continuer à offrir de la variété à chaque repas. Ne pas forcer l'enfant à manger ce qu'il n'aime pas, mais lui apprendre qu'il y en aura quand même dans son assiette. Ça ne sert à rien non plus de cacher des trucs qu'elle aime plus ou moins, car elle les trouvera.

Si c'est quelque chose de nouveau (ou que ça fait longtemps qu'il n'a pas essayé), je demande à mes filles (surtout la plus grande) qu'elles en prennent au moins une bouchée. Si tu n'aimes pas, tu le laisses dans un coin de l'assiette, mais au moins, tu goûtes avant de dire non. Aussi, je n'accepte pas des "beurk, c'est pas bon, c'est dégueu", mais plutôt des "je n'aime pas ça". Et surtout, résister à donner une 2è portion de dessert ou d'un seul item qu'ils aiment beaucoup, parce qu'ils n'ont pas mangé beaucoup du reste.

Une autre chose, aussi, qui décourage parfois les enfants, c'est quand on leur mets une trop grosse portion dans leur assiette. Mieux vaut leur en resservir une 2è fois que de remplir leur assiette.

Aussi, des fois, une belle présentation peut aider. Par exemple, faire un bonhomme sourire de légumes dans l'assiette, ou une forme d'animal qu'elle aime. Couper les légumes différemment (radis en fleur, par exemple).

Finalement, je me suis rendue compte avec mes cocottes que la texture est souvent très importante. Par exemple, j'avais beaucoup de difficulté à faire manger de la viande à ma plus vieille, jusqu'à ce que je me rendes comptes que je lui faisais des morceaux trop gros et qu'elle avait de la difficulté à les mâcher. Maintenant, je lui coupes des morceaux très petits (presque haché) et ça passe beaucoup mieux.

À 18 mois, aussi, elle commence à exprimer ses préférences et veut se différencier de vous. Tu peux lui offrir de petits choix, pour lui donner l'impression de décider. Par exemple : "Pour la collation, veux-tu une pomme ou une banane?" ou bien "Veux-tu ta toast coupée en carrés ou en triangles?" ou encore "Veux-tu du beurre d'arachide ou de la confiture ce matin?". Ce qui est important, c'est de ne lui donner des choix que parmi des trucs que tu juges convenable pour ce repas.

Bonne chance! Wink 

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