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AnonymeInscrit le : |
Je comprend ce que tu veux dire Angelbears, tu as raison.
Je ne voulais pas dire qu'un plan de naissance a l'hôpital n'est pas respecté. Au contraire, je crois qu'ils essayent le plus possible de le faire. Mais, ça reste un idéal et il est normal que tout ne se passe pas comme prévu... il faut pas se créer trop d'attentes. Ce que je voulais dire, c'est que tout ce que j'aurais écrit sur mon plan de naissance, ce sont presque toutes des interventions de routines pour les SF. Et puis après 9 mois de rencontres, on a eu en masse de temps pour discuter de mes préférences, des ses techniques, etc... donc je n'en ressentais pas le besoin. Quand tu vas accoucher a l'hôpital, tu ne connais pas les personnes qui vont t'accoucher, alors ça sert a communiquer tes attentes. Pour moi c'est la grande utilisé du plan de naissance. Mais je ne pense pas que les sages-femmes pourraient avoir accès a l'épidurale, le but étant d'avoir un accouchement non-médicalisé. C'est certain que si on me l'avait offert pendant l'accouchement, j'aurais dit un gros OUI sur le coup! Mais j'aimais l'idée de ne pas avoir le choix, car c'est ce que je voulais réellement et je savais qu'après coup je serais contente de l'avoir fait naturellement. |
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AnonymeInscrit le : |
Moi non plus je n'ai pas fait de plan de naissance. J'ai accouché avec une SF et leur pratique correspondait avec mes valeurs. J'étais donc certaine de me faire respecter dans mes choix.
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Marguerite123Inscrit le : |
Mon plan de naissance c'était : on verra, si j'ai trop mal, je prends l'épidurale. Comme je m'y attendais, je suis une vraie moumoune
 et je paniquais à chaque contraction (oh non, oh non dans ma tête) même si je savais que de paniquer me ferait plus mal.  Mais peu importe, ma fille est en santé et c'est tout ce qui compte pour moi. |
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CalipsoInscrit le : |
Moi je persiste à penser qu'on voit la douleur de l'accouchement comme insurmontable car notre vie quotidienne est plus ouatée qu'avant. On a tout le confort de nos jours (et je suis loin de m'en plaindre, entendons nous bien!), chose que les femmes avant nous 'depuis que le monde est monde' n'avaient pas.
Il y a des endroits encore aujourd'hui ou les femmes accouchent quasiment en travaillant, alors il est évident que lorsque ton quotidien est un travail dans les champs ou tu es pliée de 8h à 20h, que tu transportes de lourdes charges en plus de porter les plus grands en écharpe, honnêtement, pas sûre que des contractions soient si insupportables à côté de ce que tu endures déjà le reste du temps. Il y a aussi une question de contexte et d'environnement. |
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AdaraInscrit le : |
Mon plan de naissance etait aussi dans ma tete. Et je l'ai suivi, aucunement medicalisé, pas de monitoring, pas branché a rien, liberté de mouvement, peau a peau... Mais je n'ai pas grand merite non plus, j'accouchemnt moi aussi comme une chatte. J'ai fait rire le personnel medical en disant: Ce n'est pas si pire que ca finalement accoucher!
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mariasuInscrit le : |
haha Weeza, ta soeur est vraiment chanceuse! moi aussi a mes 2 accouchements je vomissais partout! mais quand meme a ma deuxieme j'avais l'impression d'avoir seulement un grosse crampe au lieu de me faire broyer les entrailles comme au premier...
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AnonymeInscrit le : |
Bien d'accord qu'il existe des accouchements naturels sereins. Il y a celles qui sont motivées et bien préparées. Et il y a celles qui sont juste faite pour accoucher les deux doigts dans le nez.
Ma soeur, s'étant fait dire que les contractions ça faisait mal, a d'abord cru qu'elle avait de fausses contractions. Alors elle a tout bonnement fini d'écouter son film tranquille chez elle avec son chum. Puis, le film fini, son chum est allé se coucher. Elle, trop distraites par ses "fausses contractions" pour dormir, a décidé de se faire un bol de pop corn et d'écouter un autre film. À la fin du film, les contractions étaient toujours indolores, mais de plus en plus régulières et rapprochées. Suivant l'avis de son chum qu'elle avait réveillé, elle a appelé info-santé qui lui ont conseillé de se rendre à l'hôpital au cas où. 4 heures plus tard, elle accouchait de son premier bébé, une belle grosse fille de 9 lbs... Selon ce qu'elle raconte, c'est vraiment quand ça déchire que ça fait le plus mal. Sinon, il n'y a vraiment rien là. Moi, 4 heures avant d'accoucher de ma deuxième, mon chum tenait le bol devant ma face (au cas où je vomirais) pendant que l'infirmière m'aidait à sortir du bain... Parce que l'anesthésiste était arrivé pour me donner le soulagement tant espéré... Je n'avais ni le goût d'écouter un film, ni le goût de manger du pop corn!!! |
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dlasInscrit le : |
J'en ai fais un à mon premier, mais bon, je ne l'ai pas sorti et j'aurais pas été écouté de toute façon par le personnel, vu qu'ils sont très protocole et un protocole de diabète de grossesse, tu changes pas ça comme tu veux! Mon accouchement naturel s'est transformé en césarienne naturelle. Hé, oui... l'épidurale (qu'ils m'ont donné pour contrebalancer l'effet du pitocin) ne faisait plus effet et les premiers coups de bistouri (les 3-4 premiers) je les ai bien senti! L'anesthésiste ne me prenait pas au sérieux quand je lui disais avec calme que je sentais le médecin me couper. Il aurait peut être préféré m'entendre hurler de douleur, arracher les murs avec mes dents?
À la deuxième, j'ai pas sorti mon plan de naissance non plus (et j'aurais pu avoir un accouchement naturel grâce à ma césa, à l'interdiction d'induire le travail et à ma folle envie de ne plus avoir d'épidurale qui fonctionne pas) mais ça s'est transformé en césarienne planifiée (et pas naturelle cette fois-ci, j'ai eu une rachidienne qui a duré une grosse heure). J'espère pouvoir sortir un beau ti-plan de naissance au 3ième... Mais au moins, malgré les deux césa, j'ai eu mon bébé dans les 2hres et j'ai pu allaiter les deux fois (comme je l'ai mentionné à l'infirmière au moment de l'admission). |
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mariasuInscrit le : |
Weeza: tu as bien raison quand tu dis que c'est un choix et c'est vrai qu'il vaut mieux vivre son accouchement que d'y survivre...
Pourtant certaine vivent un accouchement naturel sereinement. Ca a été le cas a mon 2e accouchement. Comme quoi chaque accouchement et chaque femme sont différents.  |
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AnonymeInscrit le : |
Sauf que finallement quand on flanche, on se sent doublement poche... en tout cas moi! Moi je me dis que bien des femmes, depuis que le monde est monde, auraient choisi de ne pas accoucher dans la douleur si elles avaient eu le choix. Tout comme moi j'aurais survécu à un accouchement "naturel" si je n'avais pas eu le choix. Mais toute la différence est là. La plupart d'entre nous avont le choix. Reste à choisir et à être bien avec les choix qu'on fait.  Et dans certains cas, ça permet justement de vivre son accouchement au lieu de "survivre à son accouchement". C'est pas négligeable. |
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mariasuInscrit le : |
Weeza:
Cet argument c'Est plus pour nous encourager, c'est pour nous dire qu'on en est forcément capables puisque tant de femmes l'ont fait avant nous! Sauf que finallement quand on flanche, on se sent doublement poche... en tout cas moi! |
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AnonymeInscrit le : |
bébé kangourou a écrit: J'avais envie de rester mobile et de sentir que j'accompagnais mes enfants pour leur venue au monde. De sentir tout ce qui se passait dans mon corps, de prendre la bonne position parce que je savais ou le bébé était dans mon bassin, d'être baignée d'endorphine, même si oui je trouvais l travail extrêmement intense et qu'il m'arrivait parfois de paniquer un peu. Ce sont toutes d'excellentes raisons d'accoucher "naturel". Et il y en a d'autres: peur des aiguilles, possibilités d'effets secondaires ou de complications, etc. Je comprends très bien le fait que plusieurs femmes souhaitent accoucher de façon naturel... chacune a ses raisons, son expérience. Mais je continue de trouver étrange l'argument "parce que les femmes accouchent comme ça depuis que le monde est monde"... Puisque tu n'aimes pas le parralèle avec le mal de dent, je t'en fais un autre: depuis que le monde est monde, les gens meurrent souvent dans la douleur. Mourir est probablement l'une des expériences les plus significatives qui soit... pourtant, j'aurais mal vu quelqu'un dire à mon père, sur son lit de mort, "Lâche pas champion. T'es fait fort. Les gens meurrent dans la douleur depuis que le monde est monde. Toi aussi tu es capable. Tu n'as pas besoin de morphine pour passer au travers! Accueil la douleur avec sérénité. Ce sera bientôt fini!".  Par contre, je comprennais très bien mon père qui aimait mieux souffrir (un peu) que de prendre trop de morphine. Il désirait simplement rester le plus lucide possible le plus longtemps possible. Idem pour l'accouchement. Il y a au moins 100 bonnes raisons de refuser l'épidural (et autant pour choisir de l'avoir). Mais l'argument "parce que les femmes font ça comme ça depuis toujours", pour moi, est le moins convaincant de la gang. |
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AnonymeInscrit le : |
Je pense aussi que c'est bien de faire part de ses intentions au personnel en arrivant, l'infirmière était super compréhensive (je voulais naturel) et elle a tout fait pour m'aider; bain, ballon, position, elle était super encourageante et savait bien plus quoi faire que mon chum (surtout coté respiration) qui était un peu pris de cours par les évenements (disons que les cours prénataux ne valait pas de la mer**. La seule chose c'est quelle était décue quand j'ai dit que j'en pouvais plus et que je voulais l'épidurale, j'étais déjà assez décue de moi-même je n'avais pas besoin quelle en rajoute... Sinon chapeau, elle m'a vraiment écoutée!
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bébé kangourouInscrit le : |
Je ne l'ai jamais compris celle-là... quand vous vous faites faire un plombage, vous-vous dites quoi? Ma mère est née à l'époque où quand une dent était cariée, on l'arrachait à frette... pourtant, moi, pour un plombage, je ne me pose pas la question. Euh... c'est tellement différent pour moi un plombage d,un accouchement! Il y a un bébé au bout de ce processus, un bébé qui doit faire son chemin lui aussi, qui travaille fort. Ce n'est pas du tout pour moi comme d'avoir mal lorsque je suis malade, ou que je me fais arracher une dent J'avais envie de rester mobile et de sentir que j'accompagnais mes enfants pour leur venue au monde. De sentir tout ce qui se passait dans mon corps, de prendre la bonne position parce que je savais ou le bébé était dans mon bassin, d'être baignée d'endorphine, même si oui je trouvais l travail extrêmement intense et qu'il m'arrivait parfois de paniquer un peu. Toute cette expérience pour moi à été merveilleuse, et vraiment transformatrice pour MOI. Alors j'ai toujours de la difficulté avec cette comparaison, pas que j'ai quoi que ce soit contre la péridurale, mais parce que se faire arracher une dent et mettre un enfant au monde sont pour moi deux choses complètement différente. Est-ce que je vois un sens à souffrir chez le dentiste? Absolument pas! Mais est-ce que je vois un sens dans la douleur de mettre un enfant au monde, pour moi et seulement pour moi OUI!Et je voudrais aussi ajouter que le plan de naissance à tout-à-fait sa place, si la maman le désire. Oui il faut rester ouverte, et savoir que tout ne se passe pas nécessairement comme on le désire, mais de là à dire qu'on à qu'a dire ce qu'on veut une fois sur place, durant l'intensité du travail, parfois les femmes ne veulent pas avoir à expliquer leurs choix ou à tenir tête à quelqu'un, alors le plan de naissance trouve du sens pour informer de certaine choses à l'avance tout en étant consciente des imprévus possibles! |
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AnonymeInscrit le : |
Faut croire que je suis pas chanceuse car j'ai eu le tube urinaire au 2, p-ê que c'est dans le protocole des unités de naissance?
CarolAnn: Bonne chance pour ton accouchement! Dit-toi que peux importe ce qui arrive c'est le résultat final qui compte! |
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Fany83Inscrit le : |
MDW a écrit Je ne suis pas sure mais je crois que quand tu as une épidurale tu as automatiquement un tube urinaire (j'en ait eu les 2 fois) Bravo à toute les mamans qui ont accouché naturellement! Vous êtes fortes! J'ai eu l'épidurale et j'ai pas eu de tube urinaire moi.. |
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CarolAnnInscrit le : |
Moi je n'ai pas encore accouché mais ça s'en vient dans les prochains jours....
j'espère!J'ai fais un plan de naissance qui a 2 bonnes pages et je me demande si je vais le sortir à l'hôpital. Mettons que je suis assez "directive" dans ce que je veux et ce que je ne veux pas et j'ai peur que ce soit mal perçu par le personnel... parce-que quand j'ai fais ce plan, à environ 32 semaines de grossesse, j'ai fais beaucoup de recherches et de lectures et ce plan est mon accouchement idéal. Je sais TELLEMENT que ça ne se passera pas comme ça que je crois que je vais plutôt le relire tranquillement avec mon chum à la maison avant de partir pour l'hôpital et qu'on s'ajustera au fur et à mesure si c'est possible. Ceci n'est pas un débat sur la péridurale mais c'est vraiment important pour moi d'accoucher naturellement même si je n'empêcherais jamais le dentiste de me geler!!! Pour moi c'est la seule façon que je vois de vivre à fond mon accouchement, en sentant chaque contraction et en étant en harmonie avec mon corps. L'accouchement naturel a quand même plusieurs avantages comme celui de pouvoir se mobiliser à volonté et de sentir la poussée donc d'éviter les déchirures en pouvant pousser dans la position désirée. Mais bon, je parle à travers mon chapeau, je ne sais pas c'est quoi une contraction douloureuse. Les douleurs de l'accouchement sont aussi les seules douleurs qui n'annoncent pas un dysfonctionnement dans le corps. C'est une douleur "normale" dans le processus de la naissance donc qui est à classer dans une catégorie à part, selon moi. Je vous en reparle après mon accouchement... |
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mariasuInscrit le : |
Weeza a écrit Je voulais accoucher sans épidurale parce que - et je me cite - "depuis la nuit des temps, les femmes accouchent" Je ne l'ai jamais compris celle-là... quand vous vous faites faire un plombage, vous-vous dites quoi? Ma mère est née à l'époque où quand une dent était cariée, on l'arrachait à frette... pourtant, moi, pour un plombage, je ne me pose pas la question... c'est comme pour tout le reste pour moi... je prend jamais ou presque de tylenol ou advil, je déteste les médicaments... je suis peut etre maso mais j'essaie d'acceuillir la douleur, la tolérer jusqu'a ce qu'elle parte d'elle même. Je crois que le corps est beaucoup plus fort qu'on le pense. Et aussi j'ai toujours proné le naturel et ce dans a peu pres toutes les sphères. ex: allaitement, chirurgies, médicaments, etc... |
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MissBarnikInscrit le : |
Weeza a écrit Je ne l'ai jamais compris celle-là... quand vous vous faites faire un plombage, vous-vous dites quoi? Ma mère est née à l'époque où quand une dent était cariée, on l'arrachait à frette... pourtant, moi, pour un plombage, je ne me pose pas la question... Avoir pu prenre la péridural, je l'aurais pris volontiers! Par contre, si je peux peut-être donner un mini truc aux filles qui veulent accoucher naturellement... l'effet placebo, c'est pas mal plus puissant qu'on le pense! Mon chum ne m'a jamais autant menti que durant mon accouchement. C'est lui qui me disait que la contraction s'en venait, alors je m'y préparais (ben, mettons que j'essayais de survivre et de continuer à respirer! ) et quand elle finissait. Sauf que souvent, mon chum disait que la contraction finissait alors qu'elle continuait d'augmenter, d'augmenter! Mais étrangement, ça faisait moins mal, parce que je croyais à mon chum quand il me disait que ça finissait au lieu d'augmenter...Le cerveau, c'est efficace en basouelle! (la preuve, j'ai zéro souvenir de mon accouchement, c'est mon chum qui me l'a raconté! ) |
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AnonymeInscrit le : |
Je voulais accoucher sans épidurale parce que - et je me cite - "depuis la nuit des temps, les femmes accouchent" Je ne l'ai jamais compris celle-là... quand vous vous faites faire un plombage, vous-vous dites quoi? Ma mère est née à l'époque où quand une dent était cariée, on l'arrachait à frette... pourtant, moi, pour un plombage, je ne me pose pas la question... Moi, pour l'épidurale, je m'étais dit "on verra ce que je suis capable d'endurer". À entendre ma soeur, un accouchement, c'était vraiment rien de bien terrible; ça ne faisait pas si mal que ça. Et l'épidurale c'était pour les moumounes. Elle aussi prendrait probablement la boîte sous la galerie pour un prochain si prochain il y avait... Moi, je vais laisser faire pour la boîte.
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Dossier de la semaine
L'alimentation durant la grossesse
