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Êtes-vous vous-même ?

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Anonyme

Inscrit le :
12 déc. 2010

Posté le: 14 janvier 2011 19:52:29 EST  
Dans la vie de tous les jours, partout où vous aller, êtres-vous toujours la même, toujours vous-même ?

Vous arrive t-il d'être à quelque part et/ou avec des gens et de toujours penser à ce que vous "pouvez" dire ou non, ce que vous pouvez faire ou non....
Vous sentez-vous toujours libre d'esprit lorsque vous êtes avec d'autres ou vous jouer parfois un "rôle" ? Vous mettez-vous un masque ? 

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Anonyme

Inscrit le :
12 déc. 2010

Posté le: 21 janvier 2011 10:09:59 EST  
Idem ici !
Merci ! 

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Clara_82

Inscrit le :
19 nov. 2009

Posté le: 21 janvier 2011 08:39:31 EST  
Un beau merci pour ta suggestion, Gala! Smile
Je vais y voir, c'est certain!  

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Gala

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 20 janvier 2011 17:12:55 EST  
Il y a un livre sur le sujet qui pourrait je pense vous intéressez.

Le titre est " Cessez d'être gentil, soyez vrai !" de l'auteur Thomas D'ansembourg.

C'est un livre qui m'a beaucoup rejoint et aidé car ayant eu une mère très critiquante et rigide, j'ai eu aussi de la difficulté à m'affirmer pendant longtemps et ce n'est pas encore parfait. Surtout lorsque je suis fasse à une figure d'autorité.

C'est un long processus qui passe par la confiance en soi et les réalisations.

Ça passe aussi par une gestion de l'anxiété. Il faut se demander de quoi nous avons le plus peur.

Souvent, c'est de la perte de contrôle. De ne pas pouvoir contenir nos émotions car elles sont refoulées depuis longtemps et nous sentons bien qu'elles sont présentes en nous et qu'elles font pressions.

Les reconnaître sont déjà un très bon début. Savoir aussi s'entourer correctement, de personne saines et positives aides énormément. Wink  

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Clara_82

Inscrit le :
19 nov. 2009

Posté le: 20 janvier 2011 14:14:15 EST  
Euphroisine, ton témoignage me fait sourire... Tu as raison, on adopte deux attitudes complètement opposées qui semblent provenir du même malaise!

Il m'arrive aussi, en certaines circonstances, de me laisser aller davantage dans une conversation... C'est fou comme ça peut me faire du bien! Mais ça arrive peu souvent, malheureusement... Il faut dire qu'être mère au foyer n'aide pas vraiment la cause.

En espérant qu'un jour, on puisse arriver à trouver un certain équilibre dans tout ça! Wink  

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Lotussia

Inscrit le :
03 juil. 2008

Posté le: 18 janvier 2011 11:21:08 EST  

L'esprit de provocation est pour moi une grosse pancarte aux néons ou il est écrit " regardez moi car je ne suis pas sûr d'exister..."


Ah... tu as tellement raison! J'ai justement passé par là.

Intéressant ce sujet, je n'en ai lu que des bouts en diagonale, mais je vais y revenir plus tard, car c'est un sujet qui me touche beaucoup. 

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Euphroisine

Inscrit le :
26 févr. 2008

Posté le: 18 janvier 2011 11:16:49 EST  
Clara_82 a écrit
C'est un sujet qui m'interpelle. Au contraire de la majorité d'entre vous, j'ai l'impression de n'être pratiquement jamais moi-même au contact de la plupart des gens. Il m'arrive de croire que seuls mon conjoint et mes enfants me connaissent vraiment, car plus ça va et plus je ne me retrouve pas dans l'image que je projette chez tous ceux qui croisent mon chemin. Toujours trop polie, toujours trop d'accord avec l'autre, toujours effacée? Je n'aborde pratiquement jamais les gens sauf si le malaise est trop grand et que je me sens presque forcée de le faire. Même en pleine conversation, c'est toujours comme si je la jouais? Mon focus est sur l'image que je projette : avoir les bonnes réactions, essayer de paraître naturelle malgré le stress qui m'habite, tenter d'être pertinente un moindrement dans mes commentaires? En fait, je fuis de plus en plus les situations ou je devrais forcément jaser avec quelqu'un de tout et de rien, par peur de paraître ridicule et de regretter pendant des heures telle ou telle réplique que j'aurais faite et qui m'aurait semblée complètement inappropriée?
Bref, je crois qu'on peut pratiquement parler de phobie sociale? Le résultat, vous l'aurez deviné, est une vie sociale assez ennuyante, merci ! Je suis bien consciente que je devrai foncer et trouver des moyens pour me décoincer, car à l'âge que j'ai, ça risque d'être long longtemps?
 

Ce qu'il y a de comique, c'est que toi et moi avons adopte des strategies sociales diametralement opposees, mais que nos sentiments sont les memes.
Alors que toi, tu es plutot reservee, moi, je suis une veritable pipelette. Je parle sans arret, suis le centre de l'attention, etc.
Ce qui n'empeche pas qu'apres coup, tout comme toi, je regrette pendant des heures, des jours, et meme des annees, une connerie que je peux avoir dite.
Je ne cesse de me repeter que je devrais etre plus discrete, plus reflechie, mais je n'y arrive pas...
Moi aussi, je me soucis beaucoup de l'image que je projette, et j'ai l'impression que c'est a ce moment-la que je projette une image moins reluisante.
Quand j'arrive a me detacher de cette image, je me sens mieux et les gens reagissent plus positivement...

 

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Clara_82

Inscrit le :
19 nov. 2009

Posté le: 18 janvier 2011 10:02:24 EST  
Je crois que mes trois petits points se sont transformés en points d'interrogation! Désolée! 

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Clara_82

Inscrit le :
19 nov. 2009

Posté le: 18 janvier 2011 10:01:04 EST  
C'est un sujet qui m'interpelle. Au contraire de la majorité d'entre vous, j'ai l'impression de n'être pratiquement jamais moi-même au contact de la plupart des gens. Il m'arrive de croire que seuls mon conjoint et mes enfants me connaissent vraiment, car plus ça va et plus je ne me retrouve pas dans l'image que je projette chez tous ceux qui croisent mon chemin. Toujours trop polie, toujours trop d'accord avec l'autre, toujours effacée? Je n'aborde pratiquement jamais les gens sauf si le malaise est trop grand et que je me sens presque forcée de le faire. Même en pleine conversation, c'est toujours comme si je la jouais? Mon focus est sur l'image que je projette : avoir les bonnes réactions, essayer de paraître naturelle malgré le stress qui m'habite, tenter d'être pertinente un moindrement dans mes commentaires? En fait, je fuis de plus en plus les situations ou je devrais forcément jaser avec quelqu'un de tout et de rien, par peur de paraître ridicule et de regretter pendant des heures telle ou telle réplique que j'aurais faite et qui m'aurait semblée complètement inappropriée?
Bref, je crois qu'on peut pratiquement parler de phobie sociale? Le résultat, vous l'aurez deviné, est une vie sociale assez ennuyante, merci ! Je suis bien consciente que je devrai foncer et trouver des moyens pour me décoincer, car à l'âge que j'ai, ça risque d'être long longtemps?
 

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Euphroisine

Inscrit le :
26 févr. 2008

Posté le: 17 janvier 2011 06:06:37 EST  
Gala a écrit
Il m'arrive aussi d'être intolérante, en particulier lorsqu'il s'agit de cas ou la personne par son comportement nuira à ses enfants ou à ses proches...

Dans ces cas-là, il faut vraiment que je respire à fond... Rolling Eyes

 

Et on nuit tres souvent a ses proches quand on se ment a soi-meme !

Exemple ?

Une personne de ma connaissance se plaisait et se complaisait a repeter qu'avoir un enfant, ca gachait le couple. Et ce, en presence de ladite enfant.

Or, dans les faits, elle a concu un enfant pour tenter de sauver un couple deja conflictuel au depart.

Ce genre de comportement me rend intolerant !
Mad

Autre exemple ?

Une autre personne de ma connaissance se plaignait d'avoir ete victime de violence psychologique de la part de son conjoint. Et elle le croyait reellement.

Or, dans les faits, je l'ai souvent entendu crier elle-meme a la tete de son conjoint qu'il etait un imbecile !
Mad  

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cat4d

Inscrit le :
05 janv. 2008

Posté le: 16 janvier 2011 14:11:32 EST  
Moi je crois qu'en vieillissant je suis rendue comme un petit caméléon Cool
Au travail, je n'agis pas du tout de la même façon qu'à la maison ou avec mes amis. Mes valeurs restent les mêmes mais ce que je vais dégager va être différent.Si bien que je me suis souvent fait dire..." mon dieu, je ne te croyais pas comme cela". Ça n'a pas toujours été le cas mais je crois que ma vie est beaucoup plus facile depuis que je m'adapte aux différents milieux. Plus jeune, j'étais plus impulsive et ça ne m'a que très rarement servi. 

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Gala

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 16 janvier 2011 13:43:20 EST  
Il m'arrive aussi d'être intolérante, en particulier lorsqu'il s'agit de cas ou la personne par son comportement nuira à ses enfants ou à ses proches...

Dans ces cas-là, il faut vraiment que je respire à fond... Rolling Eyes

 

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Euphroisine

Inscrit le :
26 févr. 2008

Posté le: 16 janvier 2011 12:10:02 EST  
Taz et Gala : le plaisir est partage !

Gala : J'aime bien les ames compatissantes comme la tienne, mais helas, je dois faire beaucoup d'effort pour parvenir a en etre moi-meme une, car je suis plutot intolerante. Surtout, ce qui me fache, ce sont les gens qui se mentent a eux-memes, et ca foisonne !

Je pense que l'ideal, c'est de se situer quelque part entre "etre trop soi-meme" (Donner son opinion meme quand les autres n'y sont pas interesses, entrer dans les details de sa vie sexuelle avec des gens qu'on connait a peine...) et ne pas se connaitre.

Comme disait La Rochefoufou : "ON se deguise tant aux autres qu'a la fin, on se deguise a soi-meme." Et le but de la vie sur Terre, s'il y a en a un, c'est de se connaitre. C'est dire qu'il y en a tout un paquet qui passe a cote...
Confused    

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Gala

Inscrit le :
12 sept. 2007

Posté le: 16 janvier 2011 11:53:27 EST  
Ben oui c'est le fun de te relire de nouveau Euphroisine ! Wink

Je pense que tout le monde livre un dur combat et il vrai que certaine personne cherche la provocation plus que d'autre mais encore là, pourquoi le font-ils ?

L'esprit de provocation est pour moi une grosse pancarte aux néons ou il est écrit " regardez moi car je ne suis pas sûr d'exister..."

C'Est un appel à l'amour qui a s'en doute un jour ou l'autre manqué... 

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Coccinelle06

Inscrit le :
21 janv. 2008

Localisation :
Rouyn-Noranda

Posté le: 16 janvier 2011 11:13:22 EST  
Hey Euphroisine!! Plaisant de te revoir! 

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Euphroisine

Inscrit le :
26 févr. 2008

Posté le: 16 janvier 2011 10:43:17 EST  
La metaphore du vetement est effectivement assez representative : et il exite des milieux ou le port de l'uniforme est exige, et cet uniforme peut etre assez laid...

De la meme facon, il existe des milieux de travail assez conformistes.

J'ai moi-meme travaille dans un milieu ou la bitcherie etait assez intense. (Ce qui me fait penser aux modes vestimentaires et clans qui peuvent se former, surtout au secondaire).

Incidemment, j'ai cru remarque que les gens les plus bitchs etait aussi ceux qui n'aimaient pas leur travail.

***

Maintenant, je travaille entouree d'artistes et de gens passionnes, qui trippent a fond sur ce qu'il font, et je peux vous assurer que le niveau de bitchage est considerablement moindre...  

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*LouColou*

Inscrit le :
14 janv. 2011

Posté le: 15 janvier 2011 23:05:07 EST  
Weeza a écrit

Pour continuer dans la métaphore... si une personne n'a pas les moyens de s'acheter des vêtements convenables pour aller travailler, elle a besoin d'aide financière. Si une personne n'est pas en moyen de mettre de côté ses faiblesses et vulnérabilités lorsque c'est inapproprié, alors elle a besoin d'aide psycologique.
 


Voilà aussi la nuance que je fais. Y'a toujours bien une marge entre porter des joggings parce qu'on est pauvre et porter des joggings pour faire un pied-de-nez au monde.

Il est bien évident que des personnes pauvres, violentées, traumatisées, en dépression, handicapées ou je ne sais quoi d'autre peuvent parfois sembler inappropriées. C'est une conséquence d'un vécu difficile, oui. Mais il y a de ces personnes qui font exprès d'être inappropriées au nom d'un soi-disant droit à l'intégrité de leur flamboyante personnalité et ils se surprennent après de vivre de la frustration ou des relations insatisfaisantes... Le problème, c'est qu'elles persistent dans leur attitude. Elles ne réalisent pas qu'elles doivent s'adapter aux gens et aux situations et qu'on ne peut juste pas étaler notre nous-mêmes à tous vents, n'importe comment.

Oui, le manque de jugement social peut résulter d'un vécu difficile, mais il peut aussi simplement résulter d'un esprit borné. Perso, j'ai tendance à avoir pas mal plus de compassion pour le premier que pour le deuxième. 

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*alexee*

Inscrit le :
23 mai 2010

Posté le: 15 janvier 2011 23:01:53 EST  
Au travail je mettais un masque de gentille & polie puisque dans le service a la clientèle on sait tous que c'est l'enfer avec les clients parfois. Sinon avec ma famille (mère, tante, oncle, grand-parent,etc) aussi je met un masque plus épais cette fois-ci, je ne suis vraiment pas moi-même mais mon copain comprend très bien même lui "joue" un jeux. 

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Euphroisine

Inscrit le :
26 févr. 2008

Posté le: 15 janvier 2011 22:53:36 EST  
Weeza a écrit

J'ai déjà fortement suggéré à une employée qui avait des problèmes majeurs de consulter les services d'aide psycologiques (gratuits et confidentiels) aux employés. Convaincue qu'elle n'avait aucun problème et que c'était le reste de l'organisation qui était contre elle, elle a refusé et elle a fini par me remettre sa démission quelques mois plus tard. Mon petit doigt me dit qu'elle ne doit pas être beaucoup plus heureuse dans son nouvel emploi... Je trouve ça dommage.

  

Peut-être pas.
Je pense aux soldats qui étaient dépendant de l'opium au Vietnam et qui, lorsqu'ils sont revenus aux États-Unis, se sont sevrés sans subir aucun des symptômes habituels.
Si le milieu ne lui convenait pas, pour une raison ou pour une autre, peut-être a-t-elle réussi à s'épanouir ailleurs...
***
Pour revenir à la métaphore du vêtement, il faut aussi tenir compte du fait que la décence est subjective. Je peux trouver qu'une fille en décolté plongeant est décente et un autre peut trouver que le port du Hijab est une insulte à la société d'accueil. tout est une question de point de vue.
***
Aussi, si c'est la vulnérabilité des autres qui nous dérange, peut-être est-ce surtout parce qu'on n'arrive pas à supporter sa propre vulnérabilité...
***
Enfin, bref ! On a souvent tendance à se donner bonne conscience en se disant que les boucs émissaires sont en quelque sorte responsables de leur sort. Sauf qu'il faut avoir marché un mille dans les souliers de quelqu'un avant de pouvoir le juger. L'histoire familliale, en outre, peut expliquer bien des mécanismes de défense (personnalité paranoide, passive-agressive, narcissique, histrionique, pessimiste, perverse) même si ceux-ci sont inappropriés au contexte actuel...
Question  

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Anonyme

Inscrit le :
19 janv. 2010

Posté le: 15 janvier 2011 20:59:50 EST  
Euphroisine a écrit:

Weeza a écrit


Je trouve que quelqu'un qui se présenterait à une réunion de travail importante en culotte de jogging ou en pyjama manquerait de jugement et de professionnalisme. De la même façon, quelqu'un qui affiche toutes ses vulnérabilités et ses faiblesses dans un contexte de travail manque de jugement et de professionnalisme.



La métaphore de l'habillement représente bien l'idée du masque, mais suppose que quelqu'un n'ait simplement pas le budjet pour s'habiller convenablement ? De la même façon, il est peut-être au-dessus des moyens de certaines personnes de dissimuler leur vulnérabilité, non ?


Pour continuer dans la métaphore... si une personne n'a pas les moyens de s'acheter des vêtements convenables pour aller travailler, elle a besoin d'aide financière. Si une personne n'est pas en moyen de mettre de côté ses faiblesses et vulnérabilités lorsque c'est inapproprié, alors elle a besoin d'aide psycologique.

Mais il faut aussi à la base vouloir faire un effort. Une personne qui veut vraiment va trouver quelques dollar pour s'acheter un vêtement convenable (à défaut d'être beau ou à la mode) dans un comptoir ou au Village des Valeurs. De la même manière, une personne qui le veut vraiment va faire un effort au niveau de sa personnalité... ce ne sera peut-être pas parfait, mais ce sera déjà ça.

J'ai déjà fortement suggéré à une employée qui avait des problèmes majeurs de consulter les services d'aide psycologiques (gratuits et confidentiels) aux employés. Convaincue qu'elle n'avait aucun problème et que c'était le reste de l'organisation qui était contre elle, elle a refusé et elle a fini par me remettre sa démission quelques mois plus tard. Mon petit doigt me dit qu'elle ne doit pas être beaucoup plus heureuse dans son nouvel emploi... Je trouve ça dommage.

Et évidement, je ne parle pas d'être une personne complètement différente selon le contexte et d'aller contre nos valeurs. Je parle simplement de s'adapter aux circonstances.   

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Anonyme

Inscrit le :
12 déc. 2010

Posté le: 15 janvier 2011 20:06:20 EST  
Wow merci pour vos réponses.

Je suis ici depuis peu et j'adore vous lire.

Effectivement Gala tu es toujours intéressante à lire, on a plusieurs opinions semblables, j'ai hâte de débattre un peu aussi avec vous, hihihi !

J'aurais pu écrire mot pour mot ce que KeRryMe a écrit. Je me reconnait totalement dans ce que tu décris.

Moi aussi avec ma famille je sens qu'on s'est éloignée un peu, je sens que j'ai pris des valeurs de ma belle-famille et que ça m'éloigne parfois des "miens"... Des fois j'ai l'impression de ne plus leur montrer la vraie moi...

Selon moi on n'a pas la même attitude, voir mentalité avec notre conjoint, les enfants versus le patron... hehe !


C'est très intéressant de vous lire !  

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