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Êtes-vous au courrant pour nos abeilles?

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Hélo

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10 avr. 2008

Posté le: 19 novembre 2008 09:38:28 EST  
Bonjour, je voulais savoir combien d'entre vous êtes au courrant pour nos abeilles? Je pense que c'est une autre bonne raison d'encourrager l'agriculture biologique, qu'en pensez-vous?
J'ai copier coller un texte pour les détails:

Les abeilles désertent leurs ruches et disparaissent par milliards. Le phénomène touche à présent toute la planète. Qualifié de désastre écologique, il menace aujourd'hui l'agriculture et par là même la survie de l'humanité. Pourtant, même s'il est multifactoriel, le dépérissement des colonies d'abeilles semble essentiellement causé par les activités de l'homme et leurs influences sur les équilibres écologiques.

Un phénomène pas si nouveau
En 2006 et 2007, les Etats-Unis tirent la sirène d'alarme : les abeilles disparaissent de manière massive et brutale. En fait, partout dans le monde, une très forte mortalité des abeilles est enregistrée à la fin de l'année 2006 ou après l'hiver 2007 : perte de 60 % des colonies aux USA et jusqu'à 90 % dans certains états de l'Est et du Sud ; 40 % des ruches se sont vidées au Québec, 25 % des colonies sont décimées en Allemagne, idem à Taiwan, en Suisse, au Portugal, en Grèce et dans de nombreux autres pays d'Europe. Pour la première fois, une estimation des pertes financières potentielles liées à la disparition des abeilles est annoncée : près de 15 milliards de dollars pour les seuls Etats-Unis. Devant cette nouvelle marquante, les médias alertent l'opinion publique. Pourtant le syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles est décrit depuis longtemps : au moins depuis les années 1960 aux Etats-Unis, avec une première étude assez poussée parue en 1979.

Le syndrome d'effondrement d'une colonie, un massacre sans cadavre
Depuis le XIXe siècle, on trouve des traces de colonies d'abeilles mourant brutalement. Mais l'épidémie actuelle présente des caractéristiques particulières. Tout d'abord elle est mondiale. Ensuite, la disparition des abeilles est spectaculaire : presque du jour au lendemain la ruche se vide et on ne retrouve aucun cadavre. Ce syndrome d'effondrement des colonies, appelé en anglais CCD (Colony Collapse Disorder) est bien décrit depuis la fin des années 1970. Il est caractérisé par une absence d'ouvrières, seules restent la reine qui continue de pondre et quelques jeunes abeilles. Les rares adultes restant sont infestés par plusieurs virus et des champignons, le couvain est operculé, il reste des stocks de nourriture (miel et pollen) qui, bizarrement, ne sont pas pillés par les autres abeilles et qui sont attaqués très tardivement par les parasites habituels. Dans les ruches qui vont bientôt s'effondrer, on peut noter que les ouvrières sont de jeunes adultes leur nombre ne suffit plus à assurer les soins du couvain et l'essaim refuse de consommer la nourriture apportée (sirop de maïs ou autres suppléments).

Les causes : des abeilles attaquées de toute part
Pesticides et autres produits phytosanitaires
En France, en 1993, les apiculteurs accusent une baisse importante de la production de miel. Ils pointent aussitôt du doigt l'utilisation du Gaucho, un insecticide de semence à base d'imidaclopride, récemment mis sur le marché. L'affaire fait grand bruit et les études scientifiques contradictoires se multiplient. Au final, il s'avère que l'imidaclopride est très toxique pour les abeilles, qu'il se retrouve dans le pollen des fleurs même s'il ne sert qu'à l'enrobage des semences et qu'il perdure dans les sols plusieurs années après. Pourtant rien ne prouve qu'il soit la cause directe de la mortalité massive des abeilles. En effet, certaines colonies sont atteintes dans des régions où il n'est pas utilisé. Après le Gaucho, le Régent, à base de fipronil est mis en cause et entre 1999 et 2006, les deux sont progressivement interdits sur différentes cultures en France. Dans tous les cas, il est évident que les abeilles sont affaiblies par tous les insecticides systémiques répandus sur les cultures, qu'ils soient de la famille des néonicotinoïdes comme l'imidaclopride, le thiamethoxam ou le clothianidine, ou de la famille des pyréthroïdes de synthèse comme la deltaméthrine. Ces substances affectent le système nerveux des insectes. Les abeilles deviennent par exemple incapables de retrouver leur ruche. De la même manière, les cultures OGM produisant elles-mêmes leur insecticide comme le maïs Bt de Monsanto, sont source d'empoisonnement pour les pollinisateurs.

Parasites
Cependant, les abeilles ne semblent pas seulement menacées par les produits chimiques utilisés pour l'agriculture, elles sont aussi attaquées par des agents plus naturels, au premier plan desquels on incrimine des parasites de la famille des acariens. Les varroas ? Varroa destructor aussi appelé Varroa jacobsoni ? sont arrivés en Europe dans les années 1960 et sont des vecteurs importants de transmission de virus pathogènes dans les colonies d'abeilles. Depuis quelques années un peu partout dans le monde, Outre-Atlantique surtout, les varroas sont devenus résistants à la plupart des traitements chimiques habituels. C'est pourquoi ils sont suspectés d'être à l'origine de l'épidémie actuelle. Cependant, là encore aucun lien direct et aucune corrélation claire n'a pu être établie. D'autres maux sévissent dans les colonies d'abeilles : loques américaines et européennes, acarioses provoquées par Acarapis woodi ou d'autres parasites en train d'arriver en Europe. Cependant, une bonne partie de ces parasites, même s'ils sont en augmentation, étaient déjà présents et ne peuvent expliquer la brusque surmortalité apicole.

Champignons
Les abeilles sont aussi attaquées par des champignons, dont notamment Nosema cerenae, que l'on a retrouvé sur le corps des abeilles mortes. Récent en Europe, c'est un champignon présent depuis plus de 10 ans aux Etats-Unis qui semble être davantage un opportuniste qu'une cause réelle de l'épidémie.

Autres insectes
D'autres insectes en provenance d'Asie ou d'Afrique menacent aussi les abeilles européennes, tels que le petit coléoptère des ruches Aethina tumida et le frelon asiatique Vespa velutina nigrithorax qui s'attaque aux ruches et se répand rapidement car il n'a pas de prédateurs naturels en Europe.

Changements environnementaux et climatiques
L'homme contribue aussi à affaiblir les abeilles en restructurant les paysages et en enlevant les haies où elles nichent, en réduisant la biodiversité florale pour ne faire subsister que quelques espèces agricoles en monoculture sur des centaines d'hectares. De plus, les derniers changements climatiques entraînant, au moins pour nos contrées, des sécheresses accrues et des hivers plus doux, affaiblissent les abeilles qui sortent trop tôt de la ruche et souffrent du manque de pollens disponibles.

Des exploitations excessives ?
Les abeilles domestiques en particulier peuvent aussi parfois être victimes de formes d'agriculture productiviste. Certaines méthodes d'élevage sont intensives (transhumance constante, prélèvement de miel ou de pollen trop important) voire brutales (enfumage) et toxiques (traitement acaricide et antibiotique). Il résulte de ces pratiques - jugées minoritaires par certains experts du domaine de l'apiculture - des reines épuisées au bout d'un an, au lieu de deux ou trois et des ruches affaiblies.

Pollution électromagnétique
Le dernier élément trouvé pour expliquer la disparition des abeilles est la pollution électromagnétique. Une étude allemande a montré que depuis l'avènement et la massification des téléphones portables, elle empêchait les abeilles de retrouver leur chemin car celles-ci utilisent les mêmes longueurs d'ondes pour communiquer entre elles. La mise en place de la téléphonie dite de troisième génération, dont les antennes sont omniprésentes, serait une hypothèse pour expliquer pourquoi les abeilles ne rentrent pas à la ruche. De plus, ces ondes affectent fortement la capacité de résistance des abeilles qui seraient alors plus sensibles aux parasites qu'auparavant et expliquerait le déficit immunitaire relevé sur beaucoup d'entre elles.

Les synergies : des pistes très inexplorées
La plupart des études scientifiques sur les abeilles et leur surmortalité ont porté sur l'analyse de facteurs isolés les uns les autres. Pourtant, tout porte à croire que les facteurs sont multiples et que des synergies existent entre eux. Ainsi, dans le cas de la pollution électromagnétique, les abeilles affaiblies seraient ensuite détruites par les virus et autres parasites habituels. De la même manière, les champignons qui s'attaquent aux insectes et qui sont utilisés comme arme biologique sont beaucoup plus virulents quand l'insecte est déjà affaibli par des doses sub-létales d'insecticides de la classe des néonicotinoïdes. Ainsi, il est courant de traiter des cultures avec un mélange de spores de champignons du genre Nosema et d'imidaclopride (lutte contre les sauterelles avec Nosema locustea et Nosema pyrausta contre la pyrale du maïs par exemple), dont la synergie est puissante et ravageuse. Rappelons que des doses faibles mais réelles d'imidaclopride ont été relevées dans la plupart des ruches effondrées ou non. Les champignons seraient alors des opportunistes qui profiteraient de l'affaiblissement des défenses des abeilles.

De la même manière, on sait que certains fongicides ou herbicides alliés à des insecticides peuvent accroître de manière spectaculaire la toxicité de ces derniers (plus de 1000 fois).

En bref, il semble évident que les abeilles sont exposées à des cocktails toxiques dont les effets ne se mesurent pas directement, car les dosages ne sont plus ceux des premiers pesticides comme le DDT de l'après-guerre, et que les abeilles meurent de manière plus lente. Les scientifiques américains lors de leur dernier colloque sur les abeilles l'avouent, ils ont retrouvé plusieurs types de pesticides dans les ruches et personne ne sait exactement quelles sont les synergies qui peuvent en découler.

Conséquences ? Du rôle majeur des insectes pollinisateurs
La plupart des études portent sur l'abeille dite domestique, c'est-à-dire Apis mellifera (Europe, Afrique, Amérique, Australie) et Apis cerena (Asie méridionale et orientale). Et si ces deux espèces assurent à elles seules 85 % de la pollinisation des espèces de plantes de nos contrées, il ne faut pas qu'elles cachent ce qui arrive aux autres butineurs sauvages comme les bourdons, Bombus sp., ou d'autres insectes qui eux aussi souffrent des activités de l'homme. Plusieurs espèces de Bombus sont menacées d'extinction, et une récente étude anglo-hollandaise montre l'effondrement parallèle des populations de pollinisateurs et des plantes qui leurs sont associées ? sans préciser si ce sont les plantes ou les insectes qui disparaissent en premier. Avec la disparition des abeilles, c'est 65 % des plantes agricoles qui sont menacées, soit 35 % de notre alimentation. Les cultures maraîchères et fruitières dépendent par exemple à 90 voire 100 % des abeilles et déjà, les Etats-Unis ont dû importer massivement des abeilles d'Australie pour leurs vergers de pommes et leurs champs de myrtilles. 80 % des plantes à fleurs dépendent de ce type d'insectes pour leur reproduction et donc pour leur survie. Si elles venaient à disparaître, le changement serait tellement énorme qu'il est impossible d'en mesurer les conséquences pour l'environnement et pour l'homme. L'abeille est considérée et utilisée comme sentinelle de l'environnement dans de nombreuses recherches actuelles. Sa disparition traduit bien l'état de la planète en ce début de XXIe siècle.

Quelles solutions aujourd'hui ?
Malgré l'évidence que le modèle agricole actuel est le premier responsable de la disparition des populations de butineurs (organisation de l'espace, monoculture, produits phytosanitaires, stress intensif...), les solutions envisagées sont bien moins ambitieuses. On continue de rechercher des causes ponctuelles en étudiant les parasitoses et autres maladies, on met en place des espaces tampons sous forme de jachères fleuries (d'ailleurs parfois avec des espèces inadaptées à l'entomofaune sauvage) ou sous forme de corridors plus ou moins étendus, espérant ainsi préserver un stock suffisamment important de biodiversité pour faire face à des enjeux ultérieurs. Bref, des solutions qui risquent surtout de faire office de « rustines », le temps que d'autres dysfonctionnements majeurs apparaissent. 

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Hélo

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10 avr. 2008

Posté le: 4 décembre 2008 13:23:39 EST  
Je vous laisse un autre lien interessant d'une étude sur les abeilles: http://www.agrireseau.qc.ca/apiculture/documents/Chagnon_DeOliveira.pdf

Hélo 

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Hélo

Inscrit le :
10 avr. 2008

Posté le: 3 décembre 2008 09:03:19 EST  
Je suis d'accord avec vous les filles, ça sent mauvais cette histoire! Comme dans bien des domaines, ça commence tout doucement et la première chose qu'on apprend est que l'utilisation prend toute une autre tournure.

Hélo  

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La louve

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13 avr. 2005

Posté le: 1 décembre 2008 10:24:58 EST  
Attention: opinion extrème.

Pour moi, la puce électronique est l'équivalent du tatouage dans les camps de concentration.
Je ne comprends absolument pas comment les gens peuvent accepter ça...
Vive la manipulation par les émotions. Sad  

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Takhisis

Inscrit le :
02 mai 2006

Posté le: 1 décembre 2008 09:53:11 EST  
Yin&Yan, comme j'ai dit 2 de mes chats ont cette fameuse puce et ça ne permet pas du tout de les retrouver... Au nombre de fois ou un de mes chats s'est pousser ça aurait pue être pratique par contre Wink Mais bon, s'ils font ça, ça va être un tout autre type de puce qui va devoir être implanter! 

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Maman Nangaï

Inscrit le :
18 févr. 2008

Posté le: 1 décembre 2008 05:01:56 EST  
Puce pour animaux ou pour humains, qui émet des ondes ou pas, est pour moi l'une des plus grandes atteintes à la charte des droits et liberté de l'être humain. Je suis contre, contre, contre. Et c'est très rare que je suis farouchement contre quelque chose sans aucune possibilité d'ouverture d'esprit. Mais devant la puce, c'est le cas. 

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Takhisis

Inscrit le :
02 mai 2006

Posté le: 30 novembre 2008 09:00:03 EST  
En fait je crois que vous connaissez mal les implications de la puce électronique chez les animaux. Elle n'émet pas d'onde en tant que tel ou à très courte porté car elle est simplement un "code à barre"

Ça ne permet pas de retrouver l'animal (ils pousse pas mal dans les médias de ce coté). Tout ce que ça fait c'est qu'un animal perdu, lorsqu'il est retrouver, peut se faire "scanner" le cou par un scanner qui ressemble à ce que les magasin utilisent pour l'épicerie (les policiers, les refuges et certains hôpital vétérinaire ont le scanner) et ça donne un numéros de style code barre qu'on peut ensuite aller faire valider sur internet pour avoir les informations complète du propriétaire.

La façon de l'implanter oui c'est une seringue mais l'aiguille est assez immense... Les chiens normalement vont hurler à mort pendant l'implantation et les chats eux sont juste trop sans coeur. Je dirais que le trou de l'aiguille est plus gros que la capsule d'encre dans les stylo bic (vous savez, quand on ouvre le style il y a un compartiment d'encre dedans) mais plus petit que le stylo lui même donc quand même très gros... On est loin des vaccins! 

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La louve

Inscrit le :
13 avr. 2005

Posté le: 29 novembre 2008 20:27:40 EST  
Twisted Evil

J'imagine un peu l'avenir: le gars à la caisse qui se fait scanner un bras... transaction refusée... "C'est vrai, faut que j'utilise mon autre compte! Pouvez-vous scanner ma cuisse droite?"
Pour les renseignements médicaux: le bras droit
Pour le dossier juridique: cheville gauche...

Twisted Evil  

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La louve

Inscrit le :
13 avr. 2005

Posté le: 29 novembre 2008 20:23:48 EST  
Les membres du Baja Beach Club à Barcelone se font implanter une puce Verichip d'Applied Digital Solutions. Celle-ci assure une fonction de porte-monnaie virtuel dans le cadre de cet établissement[1].

Surprised Surprised Surprised Surprised Surprised  

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La louve

Inscrit le :
13 avr. 2005

Posté le: 29 novembre 2008 19:35:32 EST  
Quelqu'un sait comme ces puces sont implantées?

Un risque que le scénario d'une implantation secrète de puces via les vaccins se réalise?


Je sais, on tombe totalement dans les théories de conspiration. Surprised  

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Takhisis

Inscrit le :
02 mai 2006

Posté le: 29 novembre 2008 18:06:12 EST  
Cellulaire, j'en ai jamais eue et ça ne m'intéresse pas. Je n'en achèterai pas à mes enfants non plus... J'ai eue une pagette quelques temps mais elle m'était utile seulement quand je travaillais!

Puce électronique, 2 de mes chats en ont une (ça vient automatiquement avec les animaux acheter à la SPCS Montréal) et j'avoue que cette histoire de tumeur me fait peur Surprised

Pour les abeilles je trouve ça bien triste quoi que ayant une phobie assez chronique de ces bébêtes là, même si je trouve dommage ce qui leur arrive, ça me fait un peu "plaisirs" (j'ai vraiment peur, s'en est pathétique...) 

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Hélo

Inscrit le :
10 avr. 2008

Posté le: 29 novembre 2008 15:24:17 EST  
Merci Adélor!
Tu es plus efficace que moi.. Wink

Hélo
 

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Adelor_03

Inscrit le :
25 oct. 2008

Posté le: 29 novembre 2008 15:07:57 EST  
Voici ceux que je connais Yin & Yan

Terra vie dans les Laurentides
http://www.terravie.org/

Le Mont Radar en Beauce
http://www.leradar.org/

Il y a un quartier écologique qui se construit à St-Mathieu en Mauricie
http://www.mamaisonapex.ca/ecoquartier.html

Et cohabitat québec, à québec
http://www.cohabitat.ca/ 

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Hélo

Inscrit le :
10 avr. 2008

Posté le: 29 novembre 2008 11:30:40 EST  
Yin Yan, il commence a y avoir beaucoup de ces villages au Québec et il y en a partout dans le monde. Fait une recherche sur Google avec Éco-Village ou Éco-Hameau, tu verras, il y a beaucoup d'info sur le sujet! Wink

A+
Hélo 

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Hélo

Inscrit le :
10 avr. 2008

Posté le: 29 novembre 2008 10:15:37 EST  
Mon chum aussi fait un lien avec le style des communes, mais je crois qu'il y a une dfférence, c'est plutôt basé sur une phylosophie de vie qui tourne autour de l'environnement, de plus tout le monde a sa propre maison, ce n'est pas comme si les gens vivaient tous sous le même toît. Je suis prête a admettre que bien-sûr il n'y a pas de système parfait, mais celui des éco-villages me plait énormémment!

Hélo 

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La louve

Inscrit le :
13 avr. 2005

Posté le: 27 novembre 2008 13:54:30 EST  
Le mien de mari non plus Hélo. Confused

Mais on habite à la campagne, on a un grand jardin, de la place pour des animaux éventuellement... et on se bâti tranquillement un réseau...

(y'a des maisons à vendre dans le coin Wink

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Hélo

Inscrit le :
10 avr. 2008

Posté le: 27 novembre 2008 13:46:07 EST  
La louve, je rêve depuis longtemps de pouvoir habiter dans un éco-village! Mon chum n'est pas du tout vendu à l'idée..

Hélo 

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Hélo

Inscrit le :
10 avr. 2008

Posté le: 27 novembre 2008 13:44:33 EST  
La louve, wow, c'est encourageant! Est-ce qu'on pourraient croire que l'effet serait bon avec nos abeilles?

Désolée, n'ayant pas la haute vitesse, je ne peu pas regarder tout les liens que vous mettez.. Embarassed

Hélo 

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La louve

Inscrit le :
13 avr. 2005

Posté le: 27 novembre 2008 13:44:10 EST  
Les puces implantées. Surprised

Ça commence drôlement à ressembler aux livres de science-fiction. Rolling Eyes


Qui se joint à moi pour créer notre propre village gaulois pour résister à l'envahisseur??? Astérix, Panoramix, rappliquez, on a besoin de vous!!!

C'est pas parce qu'on rit que c'est drôle...  

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La louve

Inscrit le :
13 avr. 2005

Posté le: 27 novembre 2008 13:38:09 EST  
Yin & Yan, j'ai trouvé l'info dans ce livre.

Voici ce que j'ai trouvé à ce sujet sur le Net. Il semble que le créateur du mélange de Fleurs de Bach ait approuvé le mélange d'essences nord-américaines. Plus encore: il est dit qu'un mélange appelé Yarrow Special Formula a été utilisé avec des résultats favorables suite à la catastrophe de Tchernobyl Exclamation La formule actuelle a été enrichie de deux autre variété de Yarrow. 

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Hélo

Inscrit le :
10 avr. 2008

Posté le: 27 novembre 2008 13:35:13 EST  
Ouf...on en a pas fini avec les ondes de toutes sortes!!

Hélo 

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