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17 ans... l'âge parfait pour avoir des enfants?

Auteur Message

Melamibome

Inscrit le :
21 mai 2011

Posté le: 6 octobre 2011 02:33:56 EDT  

Être mère à 17 ans, est-ce que c'est possible? Sans doute!

Être mère à 17 ans, est-ce l'idéal? Sûrement pas!

Dans la mesure où à 17 ans, tu es encore dépendant à plusieurs niveaux dans ta vie de tes parents (rares sont les jeunes de 17 ans totalement émancipés des liens parentaux), je pense qu'il est utopique de croire que 17 ans, c'est l'âge idéal.

Le mot idéal signifie que c'est ce vers quoi on devrait tendre. Si demain matin, toutes les jeunes filles de 17 ans décidaient de faire un bébé parce que c'est supposément l'âge idéal, quel genre de génération d'enfants ça donnerait? Si toutes les femmes de 30 ans se donnaient le mot demain et qu'elles décidaient d'avoir un enfant, s'en sortiraient-elles mieux que celles de 17? Personnellement je crois que oui!

Chaque cas est unique et une jeune fille de 17 ans peut réussir là où une femme de 30 ans a échoué, c'est un fait. Mais est-ce que c'est une majorité? Non!

Donc pour moi, si l'idéal pour UNE jeune fille, c'est d'avoir un bébé à 17, ça ne signifie pas que demain matin, toutes les jeunes filles doivent suivre cette voie. (Et d'ailleurs, ça semble plus l'idéal de la maman de la jeune fille que la jeune fille elle-même puisqu'elle pleurait lorsqu'elle a fait l'annonce de sa grossesse à sa mère, signe de son inquiétude et du fait que, dans l'absolue, ce n'était sûrement pas le scénario ''idéal''...)


Mel 

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coccinelle1111

Inscrit le :
08 juil. 2011

Posté le: 6 octobre 2011 00:27:21 EDT  
Ben pour ma part, il n'y a pas personne qui va me faire dire qu'en Amérique du Nord 17 ans c'est un âge parfait pour avoir des enfants. On put bien me dresser le plus beau tableau du monde, ça rteste que je ne connais pas beaucoup de jeunes filles de 17 ans qui peuvent assumer un bébé sans avoir besoin de beaucoup d'aide extérieure, dont ses parents. Donc si un de mes enfant m'arrive avec cette nouvelle, je n'aurai pas le même ton que la dame qui a écrit le billet. Je pense que je vais trouver qu'on a donné à élever 3 enfants, et je suis pas mal certaine qu'on se retrouverait assez vite merci à payer des factures et à jouer aux guardiens. À 17 ans tu n'as rien vu de la vie, et qu'on ne me parle pas de maturité, je n'achète pas ça, 17 années, c'est 17 années point. As-tu un toit sur la tête, est-ce que tu paies des factures, tu sais quoi de la vie au jour le jour pour t'occuper de te loger, de te nourrir, etc?

Come on, elle pousse la mère! 

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Anonyme

Inscrit le :
07 juil. 2011

Posté le: 4 octobre 2011 22:30:39 EDT  
nos opinions sont presques toujours biaisées par notre situation personnel. C'est difficile de l'éviter. Wink

Ce que je voudrais ajouter, c'est que peu importe la situation des parents et les choix qu'ils font, les enfants vivent avec.

Une jeune mère peut avoir à travailler deux fois plus pour arriver juste à survivre et donc voir moins son enfant. Le couple a peut-être plus de chance d'éclater et l'enfant se trouve privé d'un de ces deux parents, ce qui n'est pas rien. Ce n'est peut-être pas ton cas, mais c'est des choses qui arrivent.

Une mère plus âgée peut changer sa carrière ou complètement l'abandonner suite à la venue de ses enfants. Ou avoir choisi depuis longtemps une carrière qui fit avec son idéal familial.

Tous les parents font des choix. Des bons, des mauvais. Les enfants vivent avec. Et s'adaptent. C'est ça la beauté de la chose. La plupart des parents essayent d'offrir ce qu'il y a de mieux à leurs enfants. Mais cette vision de ce qui est mieux est tellement variable.

Tant qu'il y a beaucoup d'amour et de bonne volonté...

 

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Émy89

Inscrit le :
29 sept. 2007

Posté le: 4 octobre 2011 21:44:15 EDT  
Je constate vraiment que ma situation personnelle biaise mon opinion....
En effet, 17 ans ou 37 ans n'est pas l'idéal, l'idéal est propre à chaque mère ou mère en devenir. Mais, de mon côté, j'ai toujours pensé, et bien avant d'avoir ma fille, que les enfants étaient les bienvenus assez tôt dans ma vie.
Je batit ma vie autour d'eux donc je ne m'empêche pas d'étudier, je l'ai fait en restant a la maison 2 ans avec ma puce....un carriere importante ne m'aurait peut-être pas permis un si long arret. J'ai batit ma maison en considerant les besoins et les exigences d'être mere d'un jeune enfant...ce que j'aurais plus ou moins pu en ayant ma maison avant les enfants. Mon choix de carriere est bien différent considérent le temps que je veux passer avec les enfants....je n'aurais probablement pas changé de carriere si j'avais eu mes enfants plus tard.
Pour ce qui est de sortir...je l'avais fait en masse à 17 ans!
Et les voyages...et bien je les fait avec ma puce!! Les voyages forment la jeunesse à ce qu'on dit!
Voila! Un enfant jeune, mais peut-être pas à 17 ans. 

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Anonyme

Inscrit le :
07 juil. 2011

Posté le: 4 octobre 2011 21:07:14 EDT  
Émy89 a écrit:
IL ne faut pas trop s'égarer les filles...décidément, deux visions s'affrontent : certaines croient qu'il faut bâtir une vie et ensuite y insérer un enfant et d'autres croient qu'il faut que l'enfant fasse partie de la vie et de ces hauts et ces bas.
Comme vous le savez, pour ma part, je crois qu'on batit sa vie autour d'un enfant et avec un enfant. J'ai l'impression qu'en s'installant dans la vie pour ensuite avoir un enfant, on en fait un centre dans nos vies et cela n,est pas nécessairement positif pour l'enfant. De ce que je vois dans les écoles, les enfants sont tellement prévus qu'ils doivent cadrer dans l'horaire déja pré-établi, dans les désirs des parents, etc. Une grande pression se retrouve sur leurs épaules.


Je ne suis pas vraiment d'accord que c'est deux visions qui s'affrontent ni même qu'il y a un lien avec l'âge. Un enfant peut être le centre de ton univers que tu ais 17 ou 37 ans. Je pense à certains témoignages de filles que j'ai lu ici qui, à 18 ans, sans éducation, sans argent, avec une faible estime de soi, voulaient faire un enfant pour "combler le vide dans leur vie" ou "donner un sens à leur vie". Et je connais plusieurs gens dans ma situation qui ont eu leurs enfants dans la trentaine et qui continuent de vivre leur vie, changée, c'est certain, avec un enfant et de bâtir autour de ça.

On a tous une vie, qu'on ait 17 ou 37 ans; une vie avant, une vie après. Deux vies différentes, qu'on le veuille ou non.

Moi, ce que je voulais, c'était finir mes études, me trouver une job, et ne pas faire des enfants avec le premier morron qui tomberait sur mon chemin. La maison, je m'en foutais. Mais je ne voulais pas être dans la misère. Je ne voulais pas avoir à me demander si j'avais assez d'argent pour des bottes d'hiver, genre. À 26 ans, j'aurais été prête. Mentalement, physiquement, socialement, réalistement. Sauf que j'étais célibataire. J'avais bien beau être prête, je n'avais pas le goût de faire ça toute seule. Pour moi, c'était une aventure qui se vivait préférablement à deux.

J'ai eu mes enfants à 31 et 33 ans. Après la maison, avec une carrière bien débutée. Je ne regrette rien. Ce que j'ai perdu en énergie, je l'ai gagné en maturité et en stabilité. Mes filles n'ont pas à cadrer dans quoi que ce soit. Comme n'importe quel parent, je m'adapte.

Je continue de dire qu'il n'y a pas d'âge idéal pour avoir un enfant. Il faut juste être prête. Et peu de filles sont prêtes, selon moi, à 17 ans. Cela dit, je lève mon chapeau à toutes celles qui font face à la situation, peu importe leur âge, retroussent leur manches et font ce qu'elles ont à faire par amour pour leurs enfants. Ce n'est peut-être pas idéal, mais elles le font et beaucoup s'en tirent bien.  

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Émy89

Inscrit le :
29 sept. 2007

Posté le: 4 octobre 2011 20:38:13 EDT  
IL ne faut pas trop s'égarer les filles...décidément, deux visions s'affrontent : certaines croient qu'il faut bâtir une vie et ensuite y insérer un enfant et d'autres croient qu'il faut que l'enfant fasse partie de la vie et de ces hauts et ces bas.
Comme vous le savez, pour ma part, je crois qu'on batit sa vie autour d'un enfant et avec un enfant. J'ai l'impression qu'en s'installant dans la vie pour ensuite avoir un enfant, on en fait un centre dans nos vies et cela n,est pas nécessairement positif pour l'enfant. De ce que je vois dans les écoles, les enfants sont tellement prévus qu'ils doivent cadrer dans l'horaire déja pré-établi, dans les désirs des parents, etc. Une grande pression se retrouve sur leurs épaules.
 

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Anonyme

Inscrit le :
18 nov. 2008

Posté le: 4 octobre 2011 18:56:01 EDT  
Mais le véritable problème dans cette histoire (histoire qui nous manque beaucoup d'informations en passant)

Le véritable problème est-ce vraiment l'âge ou le contexte sociale et économique de cette jeune CHarlotte??

On ne sait rien de plus qu'un article (pour moi ça sonne plus BLOGUE et état d'âme qu'article journalistique)

Ce n'est qu'une opinion diffusée sur un site réputée..

Pour moi, l'âge n'a pas d'importance c'est le climat social et surtout ÉCONOMIQUE de cette jeune fille.

OUI elle a 17 ans, mais elle retarde peut-être sa carrière en DEP de 1 an (qu'elle commenceras sous peu??) et termineras d'ici 2-3 max.et aura un diplome..

Pour moi, il y a plus ..

Pour la manière de l'écrire, ben c'est un texte d'opinion et c'est fait pour régir POINT.

 

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Doudounette

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08 août 2010

Posté le: 4 octobre 2011 15:51:16 EDT  
Bébiz je comprend tres bien ce que tu veux dire et et c'est exactement ce que j'ai dit en d'autre mot lol a une différence près. étant maman a la maison et étant contre les garderie ce n'est pas une chose que je lui dirais lol je préférerais que je garde l'enfant durant ses heure de travail mais c'est elle qui devra subvenir a tout les besoin de l'enfant. si elle est vraiment dans le troube (ex: une bad luck sa arrive) la je l'aiderais surement financierement mais sa sera vraiment pas longtemps comme je l'ai dit elle devra assumé ses responsabilité de maman peu importe son age 

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Bébiz

Inscrit le :
27 sept. 2008

Posté le: 4 octobre 2011 14:24:18 EDT  
Doudounette : Jamais je n'ai dis que je ne l'aiderais pas, mais que je l'épaulerai pour qu'elle puisse se débrouiller! Ce n'est surtout pas moi qui subviendra aux besoin de SON enfant ni qui l'élèvera, mais si elle a besoin d'aire, de conseil, une épaule, je serai toujours là! Je n'ai pas dis non plus que j'arrêterai de travailler pour jouer à la nounou avec SON enfant. Elle devra se débrouiller pour trouver une garderie ou quelqu'un pour s'en occuper ou encore, que je travaille de soir et qu'elle aille à l'école de jour, comme ça, on s'occupera du bébé en "alternance". Je ne sais pas si tu comprend ce que j'essaie de dire... Je ferai tout en mon pouvoir pour qu'elle puisse finir ses études, mais en oubliant pas qu'elle à maintenant un enfant aussi à s'occuper et que ce n'est pas rien!!!


Je sais qu'un enfant malade nous déstabilise, alors imaginez une ado de 17ans qui doit jongler entre bébé, travail et étude s'il y a! On s'entend que ce parcours peut être encore plus difficile quand on commence à bâtir sa vie! De là ma phrase : imaginez une ado de 17ans dans vos souliers... 

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*alexee*

Inscrit le :
23 mai 2010

Posté le: 4 octobre 2011 13:55:53 EDT  
@ mawoui : Ce que je ne comprends pas est que tu fais ce que tu reproches. Tu dis que certaines sont fermer d'esprit et qu'elle juge mais tu as fais la même chose dans ton message ...


Personnellement, je crois qu'il faut une certaine stabilité. Pour certain il en faut plus pour d'autre moins ...


J'avais 17 ans quand je suis tombée enceinte mais ces "excuses" ne sont pas les meilleurs a mon avis. Qu,elle assume son choix et vive avec mais c'est pas tout le monde qui devraient avoir des enfants a cet âges là donc je trouve que sa "promotion" est déplacé. Dire qu'elle est fière de sa la façon que sa fille gère le tout ... FINE! Mais dire que c'est l'idéal et presque que tout le monde devraient fait ainsi ... eh non !!! 

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mymy30

Inscrit le :
07 mars 2008

Posté le: 4 octobre 2011 13:53:43 EDT  
Peaches a écrit

Première chose frappante en lisant le texte de Mawoui c'est la tentative d'éviter le coeur du sujet par tout un amalgame de phrases et de discours à la psycho-pop, et j'entends par-là les allusions à nos «peurs», notre «jalousie», nos «questionnements», notre «amertume» et notre «incapacité», pour ne nommer que ceux-là ( le texte en est plein) . Voilà une tentative désespérée de renvoyer le lecteur à se questionner sur ses propres problèmes, sa propre incohérence, en prenant bien soin d'éviter le coeur même du sujet qu'est la grossesse précoce et toutes les conséquences qui en découle.. Bref, on essaie de noyer le poisson dans un océan de concepts moraux, humains et psychologiques d'une pertinence plus que douteuse...

Et si on laissait faire la psychologie de salon pour s'attarder aux vrais enjeux, aux faits? Si on parlait de la réalité de la grossesse à l'adolescence, des chiffres, des statistiques, des opinions de spécialistes, sociologues, professionels de la santé et travailleurs sociaux de part le monde dont le discours n'est pas biaisé par un profond désir de sauver la face, de se justifier, de se rassurer et de se convaincre que ses propres décisions sont sensées et légitimes, alors que tout prouve le contraire.. C'est un mécanisme de protection, et ça, je le comprends Wink

Mawoui a écrit

Qu'est-ce qui vient tant vous ébranler et vous choquer derrière la différence et ce portrait qui tente simplement de démystifier une situation qu'on a peut-être trop longuement catalogué comme étant hors norme ?


Ici on voit bien à quel point le propos est teinté d'ignorance.. La grossesse à l'adolescence n'a absolument rien d'une situation hors normes.. Au contraire, les 4/5 de la planète sont remplis de mère adolescentes, nées pour enfanter dès que «la biologie» le permet.. Et tous les jours on assiste aux ravages de cette problématique sociale, autant en Orient qu'en Occident.. D'ailleurs Marie Larocque l'admet elle-même, sa « Charlotte ne réinvente rien » en étant une mère-adolescente.. À savoir si c'est tout à son honneur, je crois que c'est d'abord et avant tout une question de bon-sens, de culture et d'éducation...  


AMEN!!!!!!! 

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La louve

Inscrit le :
13 avr. 2005

Posté le: 4 octobre 2011 13:43:51 EDT  
Faut pas tout mêler non plus... Gérer les soins à un enfant malade n'est pas plus facile parce qu'on est plus vieux... C'est une question d'organisation et ça, c'est pas une question d'âge... Des personnes débordées, en retard, qui procrastinent ou qui décrochent, y'en a de tous les âges et de tous les milieux.

Pour la question de savoir à quoi s'attendre et avoir de l'expérience avec des bébés... Anecdotes de mon passé: lors des cours prénataux, j'étais la plus jeune (20 ans) du groupe; tous les autre couples étaient bien établis et au-dessus de 27 ans... Et bien j'étais la seule à avoir déjà changé une couche à un vrai bébé, j'étais la seule à savoir de quoi a l'air un nouveau-né, j'étais la seule à avoir déjà géré des pleurs, donné un biberon, etc. Lors de la rencontre de "retrouvailles' quelques semaines après la naissance de nos bébés, j'étais la moins déstabilisée, la moins effrayée par les changements qu'apportait mon rôle de mère dans mon quotidien. L'âge plus avancé n'est pas garant d'une plus grande expérience. 

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Doudounette

Inscrit le :
08 août 2010

Posté le: 4 octobre 2011 13:40:13 EDT  
j'avoue effectivement mais je sais pas si c'est moi qui est stupide ou quelque chose dans le genre mais sa page de roman j'ai rien comprit d'un boute a l'autre. non spa vrai jai comprit qu'elle traitais pas mal de fille d'étroite d'esprit et de non compréhensive et qu'elle disais que certaint était en colere parce que supposément elle était jalouse mais sinon pour le reste jai totalement décrocher et je me demende encore a quoi sa a servi d'aller poster sa quand je suis sure qu'il y en a plein qui on fait comme moi et qui on pas toute lu 

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Doudounette

Inscrit le :
08 août 2010

Posté le: 4 octobre 2011 13:33:11 EDT  
Je suis d'accord avec toi Bébiz mais seulement sur certains points. Oui une femme de 17 ans qui tombe enceinte peut avoir beaucoup de probleme a savoir comment marche un enfant surtout si elle en a presque jamais cotoyer. Et oui effectivement sa doit etre dure d'etre maman et d'aller a l'école en meme temps.

Moi si cela arrivais a ma fille, je l'épaulerais a 100 mille a l'heure si elle décidais de garder l'enfant. Sa ne me derengerais vraiment pas de m'occuper du bébé pendant qu'elle finirais ses études mais je lui ferais tres bien comprendre que maintenant qu'elle est maman c'est son enfant qui passe avant tout et qu'elle a des responsabilité a prendre. Qu'elle veule sortir mettons 1 fois par mois avec ses amies fine with it. Je connais plein de maman qui le font. Mais pas tout le temps.
De base je ne serais pas du genre a laisser mes enfants se débrouiller avec leur troube je les aiderais mais en leur disant que je ne suis pas une garderie ni un porte-feuille et je me dit que c'est ce que toute maman devrais faire mais bon c'est mon avis personnel bien entendu  

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mymy30

Inscrit le :
07 mars 2008

Posté le: 4 octobre 2011 13:30:23 EDT  
@Mawoui : je m'excuse mais tout ton blabla ne me convaiquera pas que c'est une bonne chose de faire des bébés à 17 ans, avec ou sans papa...

oui, moi je pense qu'il est préférable de s'installer dans la vie avant de mettre un enfant au monde. Ca, c'est ce que moi je pense et ce que moi j'ai fait. Toi, tu fais et tu penses comme tu veux mais force est d'admettre que tu juges beaucoup et que tu ne sembles pas faire une grande place à l'opinion des autres.

Et tu sais quoi? je vais réfléchir. Oui, réfléchir pour comprendre pourquoi le propos et le ton utilisé me dérange autant. 

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Bébiz

Inscrit le :
27 sept. 2008

Posté le: 4 octobre 2011 13:02:57 EDT  
Ce qui me choque le plus dans cet article, c'est qu'elle banalise la grossesse précosse! Désolé, mais ce n'est certainement pas une valeur que je veux inculquer à mes enfants!!! Si ma fille m'arrive et qu'elle est enceinte à 17ans, je ne la renierai pas pour ça, mais je ferai tout en mon pouvoir pour l'épauler et qu'elle puisse se débrouiller!

Question comme ça : Une ado qui vient tout juste d'avoir 17ans, qui est encore aux études et qui est enceinte... Comment fera-t-elle pour subvenir aux besoin d'un enfant??? Qu'est-ce qui arrivera si l'enfant à naître à une maladie ou une malformation quelconque? Si l'enfant décède à la naissance (c'est rare oui, mais cela existe encore en 2011)? Comment un enfant de 17ans peut vivre dans ses conditions sans affecter sa vie (pour reprendre les paroles de la mère). On ne sait pas quels "bobos" peut avoir notre bébé à la naissance! Juste comme exemple de bobos : Mon garçon à développé un souffle au coeur à ses 1an. Ce sont des rendez-vous de contrôle à Ste-Justine assez régulièrement pour voir si cela évolue ou si une opération sera nécessaire... Est-ce qu'une ado de 17ans sait faire face à ce genre de situation? Est-ce qu'ils savent tout ce que cela peut impliquer? (enfant qui devient bleuté par manque d'oxygénation, ce qui est encore très fréquent pour nous, etc).

Un ado de 17ans sait-il tout ce qu'un enfant peut impliquer? On le sait surtout en devenant parent la première fois! Ce n'est pas toujours rose... Même avec la plus grande des maturité que l'on peut avoir à 17ans, on ne connaît pas grand chose de la vie en tant que tel et encore moins sur les bébés à moins d'avoir élevé ses frères et soeurs! Imaginez quand vous êtes dépasser par votre enfant, les crises, les pleurs que vous vous sentez impuissante... imaginez une "enfant" de 17ans dans vos souliers et en plus, si le père a fichu le camps...

Dans le coin ou j'habite, il y a pleins de jeune filles maman. La plus part, c'est leur mères qui garde le bébé, car elles sortent faire le party le soir! et que dire du père... dans la majorité du temps, le père est même plus là au 6mois de l'enfant. C'est ça que vous souhaitez pour vos enfants? Pas moi! Il y a une école tout près pour les jeunes femmes enceinte ou les jeunes mamans : Rosalie Jeté et j'y ai déjà vue une enfant de 12ans qui allait devenir mère!!!!!

J'espère tellement mieux que cela pour mes enfants. Dans le sens de mieux, je veux dire qu'ils n'aient pas à calculer leur temps pour pouvoir passer leur temps avec leur enfants. Ne pas avoir besoin de devoir jongler avec travail, école ET bébé!!! Je leur souhaite au moins d'avoir les 2pieds placé (leurs études pratiquement terminé ou mieux encore, terminé, un bon travail stable). J'ai 25ans, jusqu'à récemment, je travaillais 40h/semaine, je suis au cégep qui est à 1h de chez moi et j'ai 2 enfants et je peux vous dire que je ne souhaite cette situation à PERSONNE!!!! mais c'est pas mal ça qui attend la vie de ses jeunes de 17ans...  

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Mawoui

Inscrit le :
23 sept. 2009

Posté le: 4 octobre 2011 11:28:40 EDT  
Je suis bien consciente que j'allais choquer et je l'assume entièrement. Je ne vais pas revenir sur vos propos, même si je suis en désaccord avec certains d'entre-eux.

Néanmoins, je tiens à préciser ceci : quant à ce que vous avancer comme un ton condescendant ou une attitude méprisable de ma part, je suis bien désolée si vous l'avez perçu ainsi, mais telle n'est pas le cas, au contraire. Et là dessus vous faites entièrement fausse route ... Si le fait de soulever des questionnements et des remises en question pour pousser un peu plus loin en profondeur serait de l'ordre de la condescendance, je crois que c'est un brin réducteur, non ? Je crois que personne n'essaie de se placer au-dessus de personne ou d'afficher une certaine supériorité. Et certes, vous avez probablement raison en avançant que des gens ont pu percevoir des jugements envers leurs vies. Seulement, je crois qu'on ne défend pas notre vie ou notre idéal en attaquant celui d'autrui. Mais on a le droit de le remettre en question. Ni en tenant des propos tels que vous avancer à savoir que mon texte "semble exprimer qu'il faut être conne, peu ouverte d'esprit ou insécure pour ne pas être éblouie et en total accord avec ce texte." Absolument pas. Mon texte n'exprime pas cela et je n'avance franchement pas ça. J'ai simplement essayé de soulever en quoi il dérange. Et je n'ai jamais dit si j'étais en accord ou non avec ce texte. Au même titre que, si vous relisez comme il faut son texte, l'auteur n'a jamais "clamer haut et fort que c'est une situation idéale et que toutes les femmes devraient enfanter à 17 ans." ... peut-être vous êtes vous laisser prendre par le titre de l'article qui est certes tendancieux ?

Je suis bien désolée que vous ayez sentie de la condescendance dans mes propos. Peut-être qu'en essayant de mettre de l'avant que celle de certaines, je dis bien certaines et non tout le monde, mes propos ce soit teintés de cette même condescendance. Alors si tel est le cas, j'en suis sincèrement désolée. Et bien triste que votre impression s'en soit réduite à cela...

 

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Anonyme

Inscrit le :
07 juil. 2011

Posté le: 4 octobre 2011 10:11:51 EDT  
@ mawoui: Sais-tu, la condescendance de ton texte m'ébranle plus que celle de l'auteur de la lettre. Pas tes opinions. Ta condescendance. Ton texte semble exprimer qu'il faut être conne, peu ouverte d'esprit ou insécure pour ne pas être éblouie et en total accord avec ce texte.

Des propos tels « qu'attendre d'être installée », d'avoir fait ses études, une carrière etc. bref la situation idéale, sur quelles compétences vous appuyez-vous pour vous poser ainsi en juge ? D'abord, en regard de quoi répond-t-il cet idéal ?

L'auteur du texte exprime son idéal en fonction de sa vision de la vie, de son parcours, et de ses opinions. Je ne vois pas en quoi c'est méprisable, comme ton texte le laisse entendre, que les filles ici y opposent leur idéal en fonction de leur vision de la vie, de leur parcours, de leurs opinions.

De vous mentir à vous même, clamant qu'il faut un papa, et de préférer rester à ses côtés, même si parfois malheureuses, parce qu'on vous a inculqué « qu'il le faut ».
Ce n'est pas à nous qu'il faut un papa (même si ça aide), c'est à l'enfant à naître. Dans notre société actuelle, on ramène le rôle des hommes à rien. D'un côté on veut qu'ils s'impliquent, de l'autre on leur dit qu'ils ne sont pas essentiels, qu'on peut très bien se passer d'eux, « qu'on s'en fout ». Quel message ambigu est-ce qu'on envoie à nos garçons? Oui, on peut élever un enfant sans père. Mais on ne réussira pas à me convaincre que c'est l'idéal. Un père, c'est important.

Lorsque vous critiquez ainsi l'auteur et sa manière de composer avec sa vie, qu'est-ce qui vous dérange profondément ? Qu'elle appuie sa fille, ou qu'elle lui démontre dans une attitude d'ouverture et d'amour qu'elle lui fait confiance ?
Je pense que tout le monde ici est d'accord qu'une mère appuie sa fille. Moi-même, si une de mes filles m'arrivaient enceinte à 17 ans, je lui offrirais tout mon amour et tout mon appui. Mais je n'irai pas clamer haut et fort que c'est une situation idéale et que toutes les femmes devraient enfanter à 17 ans.

Et que ce qui fait peur lorsqu'on ne peut le dominer, il est toujours préférable de lui cracher dessus ou de le cataloguer selon une notion de bien / mal d'ordre judéo-chrétien? Quelle triste réalité. Alors on préfère croire qu'on sait c'est quoi la vie « sans sauter des étapes »
Que je sache, personne n'a parlé en terme de bien et de mal, de la bible ou de religion. Personnellement, ça, je m'en fou. Ce n'est pas MAL d'avoir un enfant alors qu'on est soit même à peine sortie de l'adolescence. Personne ne crache sur les jeunes filles qui sont dans cette situation. Mais ça peut être plus difficile. C'est ce point que plusieurs ont soulevé; qu'il pouvait y avoir plusieurs difficultés reliées à une grossesse à 17 ans et que l'auteur n'aborde pas ses difficultés dans sa vision de l'idéal.

Je crois que c'est alors l'occasion de prendre le temps d'observer et tenter de comprendre pourquoi la différence vient autant nous chercher.
Je pense que plusieurs y ont lu un jugement envers leur vie. J'avoue que l'auteur, en voulant défendre la situation dans laquelle se trouve sa fille, n'hésite pas à cracher sur ces parents qui font un autre choix. Les femmes qui ont des enfants à 30 ans sont marginales. Les pères on s'en fout ce n'est pas important. Si sa fille avait voulu se faire avorter elle n'aurait pas été d'accord, etc.

C'est vraiment domage qu'en voulant démystifier les grossesses chez les adolescentes, décrire que ça peut aussi être une belle chose, elle ait senti le besoin de se montrer si supérieure. Écrite autrement, son histoire aurait pu avoir un réel impact positif.
  

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mel_gazoo

Inscrit le :
03 nov. 2008

Posté le: 4 octobre 2011 09:45:16 EDT  
C'est assez absurde cet article la entk!!
Probablement que oui a dix-sept, biologiquement, le corps est plus aptes que jamais a^porter un enfant, nous avons nos menstruations entre 10 et 12 ans pour la plupart, le corps est pret tres tot à accueilir un enfant, mais psychologiquement, tres peu sont pretes à ces ages...

Il est vrai qu'avant, (peut-être au moyen age...) les femmes étaient mariées à 14-15 ans avec des hommes de trente ans et avaient des enfants tres jeunes. Et encore dans plusieurs sociétés comme en afrique ou en amérique du sud, plusieurs femmes ont des enfants tres jeunes, mais n'oublions pas que ces sociétés, sont pauvres, manque d'éducation, etc...

Ici on est chanceux, on peut avoir de longues années d'éducation et il est bien plus souhaitable de vivre un peu avant d'avoir des enfants. Mais en meme temps bcp de femmes attendent assez tard pour v ivre leurs premieres grossesse et cela place souvent l,enfant et la mère à risques, ici c«,est un peu l,inverse, on attend d,être très prêts mentalment, alors que le corps a dépassé le moment propice pour concevoir un enfant... c,est quand meme un drole de paradoxe!!

Et pour avoir eu une petite niece dont la mère l'a eu à dix-sept ans, je peux vous assurer que sa grossesse et son accouchement se sont très bien passé, mais psychologiquement, elle du passer à une étape tout d'un coup, elle n,était certainement pas prete à 100 pour cent à ce moment, mais elle n,a pas eu le choix... elle a perdu de nombreux amis qui n'était pas rendu au meme stade qu,elle, elle a du abandonné le secondaire, elle a eu bcp de difficultés et d'obstavles à surmonter parce sa condition de vie avait changé, oui c,était pour avoir eu sa fille, son rayon de soleil, son trésor, mais oui c'était difficile. Elle est responsable, elle est maintenant monoparentale depuis que l,enfant a deux ans parce que le père avait de nombreux probleme, lui aussi était jeune, et n'était pas prèt, et il ne l,est toujours pas, six ans plus tard.... Alors avec tout ça est-ce que c,est vraiment souhaitable d'encourager les jeunes femmes à avoir des enfants à seize ou dix-sept???

C,est bien d'avoir nos enfants jeunes, mais il faut être prêts... si une perssonne est prete à dix-sept ans, je ne vois pas de probleme, mais malheureusement, je crois que la plupart des jeunes de notre société ne sont pas prêt à ce jeune age, attendre quelques années c'est souvent mieux...

Moi aussi j,ai eu mon petit garçon assez jeune, a vingt, mais j,avais un amoureux plus agé, il était lui aussi pret et nous étions un couple stable, je crois tout ça sont des facteurs pas nécessaires, mais TRES aidants!!

Alors je crois qu'il n'y a pas d,age véritable pour avoir des enfants, chaque personnes est différentes, et il faut se sentir prêt pour ce grand changement qui arrivera dans notre vie Smile

 

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Mawoui

Inscrit le :
23 sept. 2009

Posté le: 4 octobre 2011 09:31:32 EDT  
J'ai longuement hésité à commenter ce débat. Loin de moi l'idée d'éviter d'assumer mes opinions ou non. Simplement, je ne crois pas que je vais ajouter quoi que ce soit qui vais changer ou être en mesure de nuancer les jugements que j'ai lu sur d'autres sites. Et j'imagine que mon impuissance face à de telles prises de position m'attriste déjà profondément. Je vais néanmoins me faire un plaisir de copier / coller mon apport ici dans le site de Maman pour la vie où j'ai lu beaucoup trop de jugements puérils, des propos diffamatoires et de la généralisation stupide. Je n'ajouterai rien au débat en tant que tel, simplement à la façon dont il est alimenté.

@Celles (plusieurs, malheureusement) du forum -je ne vous nommerais pas simplement pour éviter d'entrer dans votre jeu et d'attaquer bassement et directement, vous saurez certainement vous reconnaître) : Derrière vos « je ne juge pas », qui suintent pourtant le jugement à n'en plus finir, tant d'incompréhension qui vous renvoie à vos propres peurs? soyez s'il vous plaît honnêtes? cette légèreté dans le ton de l'auteur (drôle de pointer du doigt ainsi un ton léger alors qu'on est en mesure de croire qu'après avoir mis au monde 5 enfants et qu'elle s'exprime magnifiquement, l'auteur est à même de poser un regard beaucoup plus critique que vous ne le pouvez), pourquoi elle vous interpelle ainsi ? Celles qui mettent tout ceci de l'avant, avec amertume, et tristement ça se sent, vous êtes vous questionner à savoir ce qui se cachait peut-être sous votre colère et votre « indignation » ? Cherchez y comme il faut voir s'il n'y aurait pas terré bien loin des soupçons d'admiration et pourquoi pas de l'envie et de la jalousie ? Derrière vos médisances et votre incompréhension, une incapacité à vous remettre en question ? Et d'avoir la sincérité de le reconnaitre. Ça ne change rien au débat, à certains de vos arguments qui peuvent mettre de l'avant que oui la réalité peut être difficile, je dis bien « peut », que certains propos auraient peut-être pu être plus nuancer? ce qui sort avec évidence pour moi de tout ça, c'est que lorsqu'on met de l'avant que « des propos ou un ton sont mal appropriés », que quelqu'un ne devrait pas « banaliser » le fait d'avoir un enfant, c'est certainement que cela vient vous rejoindre profondément dans votre manière à vous de vivre l'événement? dans votre histoire personnelle. Et de constater quelqu'un qui est capable de construire sa vie, une vie de femme en y intégrant ses enfants, et non en n'en faisant que le centre de sa vie, vous bouleverse autant ?
Des propos tels « qu'attendre d'être installée », d'avoir fait ses études, une carrière etc. bref la situation idéale, sur quelles compétences vous appuyez-vous pour vous poser ainsi en juge ? D'abord, en regard de quoi répond-t-il cet idéal ? De notre société actuelle ? Vous la faite cette société, et non le contraire je vous le rappelle. Vous avez le pouvoir de par vos actes et vos choix de la transformer ?
Sinon, vos expériences de mères qui peut-être ont connus des débuts difficiles (ou encore été témoin) sont suffisantes pour ainsi s'édifier en juge ?

N'avez-vous pas le sentiment d'être incapable de composer avec l'inattendu, l'inconnu, de vous créer une fausse sécurité, un monde de faux-semblant que vous croyez inébranlable en vous cachant en plus derrière l'argument de mettre toutes les chances de son côté ? De vous mentir à vous même, clamant qu'il faut un papa, et de préférer rester à ses côtés, même si parfois malheureuses, parce qu'on vous a inculqué « qu'il le faut ». Lorsque vous critiquez ainsi l'auteur et sa manière de composer avec sa vie, qu'est-ce qui vous dérange profondément ? Qu'elle appuie sa fille, ou qu'elle lui démontre dans une attitude d'ouverture et d'amour qu'elle lui fait confiance ? Qu'est-ce qui vient tant vous ébranler et vous choquer derrière la différence et ce portrait qui tente simplement de démystifier une situation qu'on a peut-être trop longuement catalogué comme étant hors norme ? Comment pouvez-vous oser avancer que de tels propos sont négatifs ? Parce qu'ils pourraient remettre en question le petit ordre établi dans lequel vous préférez vous cacher plutôt que de vous ouvrir les yeux ? Ouf ? Marie est une sorcière et il faut la brûler hein ?
Voilà le sentiment dérangeant qui m'a parcouru en parcourant de tels réactions, opinions, jugements. Que ce qui n'est pas régit, mis de l'avant dans un cadre prédéterminé fait encore et toujours constamment peur. Et que ce qui fait peur lorsqu'on ne peut le dominer, il est toujours préférable de lui cracher dessus ou de le cataloguer selon une notion de bien / mal d'ordre judéo-chrétien?Quelle triste réalité. Alors on préfère croire qu'on sait c'est quoi la vie « sans sauter des étapes »
En osant se questionner et chercher sincèrement en quoi les propos d'autrui nous rejoignent ou nous dérangent ainsi, on ouvre la porte à un vaste monde d'émotions qui nous renvoie à notre propre histoire. Je crois que c'est alors l'occasion de prendre le temps d'observer et tenter de comprendre pourquoi la différence vient autant nous chercher. Pourquoi, et en quoi, ce ton justement « léger » (qui est pourtant empli d'amour et de sincérité) vient profondément déranger? Je ne peux répondre pour personne. Mais j'oserai avancer que face à des mots qui regorgent de confiance et d'amour, et surtout d'acceptation qu'on ne peut intrinsèquement avoir de contrôle sur la vie, plusieurs se sentent encore et toujours absolument démunis. Et qu'on préfère se mentir et se voiler la face par des attitudes dominatrices qui nous donnent un semblant de contrôle et nous empêche de constater notre propre ineptie ?

Bravo à l'auteur, la belle sorcière Wink pour ce texte ébranlant, c'est le moins qu'on puisse dire ;-)

Quelle chance qu'elle a sa fille que sa mère lui ai transmis suffisamment d'amour de soi et de confiance pour qu'elle ose avancer avec ses peurs, plutôt que de se cacher derrière elles, et d'entamer les premiers pas afin de créer une vie qu'elle choisit. Non en regard d'un idéal controuvé et malmené pour répondre au besoin d'un système et par le fait même éviter de l'ébranler, mais bien avec son coeur ! C'est tout à son honneur !
 

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