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nath_29Inscrit le : |
Bonjour a toutes,
Il y a deux semaine une nouvelle terrible m'a tombé dessus. Ma mere est atteite du cancer du pancréas ( a la queue) et elle n'est pas opérable.... Elle n'a que 58 ans..... je ne sais pas si quelqu'un d'entre vous a déja vecu une situation semblable. Le pire c'est que je ne sais pas grand chose ma mere ne parle pas, perte d'appetit et la moi et ma soeur on se relais mais très difficile .... Selon les doc sans traitement il lui donne environ 3 1/2 mois-4 mois vraiment ca fait une ciel de choc mais la elle commence sa chimio demain mais je capote est ce que ca va vraiment l'aider? Est ce qu'elle va perdre toute qualité de vie? Comment ca fonctionne ca la chimio? Aussi avez-vous des titres de livres a me conseiller car moi meme je suis quelqu'un qui ne parle pas beaucoup et je voudrais savoir comment affronter tout ca parce que là seule chose que je vois en avant de moi c'est une montagne mais enver ma mere il faudrait que je suis au mois positive pour permettre du bon temps encore... Merci a toutes |
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audreyfleurieInscrit le : |
mes sympathies...sinceres....
C'est drôle quand même, c'est le même poème qu'on avait choisit pour écrire sur la petite carte de condoléances lorsque ma mère est décédée.... tres touchant |
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nath_29Inscrit le : |
Merci Nickye c'est vraiment de toute beauté ce poème et véridique. Et merci a toutes pour vos petites pensées sa fait chaud au coeur!
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Gabrielle123Inscrit le : |
Je t'offre mes sympathies moi aussi, dure épreuve...
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nickyeInscrit le : |
Toutes mes sympathies ma chère.
Donne toi le temps de faire ton deuil, donne toi le temps de pleurer lorsque tu en ressens le besoin, parle à ta mère lorsque tu sens que tu aurais besoin d'elle, demande lui de t'aider, elle est toujours là pour toi. Je veux partager avec toi le poême qui était accroché sur le mur à côté de la chambre où ma mère a passé ses derniers jours à l'hopital. Après avoir perdu mon père, je perdais ma mère 5 ans plus tard. Je relis souvent ce poême lorsque j'en ressens le besoin, en espérant qu'il pourra t'aider un peu. La mort n'est rien : je suis simplement passé Dans la pièce à côté Je suis moi. Tu es toi Ce que nous étions l'un pour l'autre, nous le sommes toujours. Donne-moi le nom que tu m'as toujours donné. Parle-moi comme tu l'as toujours fait. N'emploie pas un ton différent. Ne prends pas un air solennel et triste. Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble. Prie. Souris. Pense à moi. Prie pour moi. Que mon nom soit prononcé à la maison comme il a toujours été : sans emphase d'aucune sorte et sans trace d'ombre. Le fil n'est pas coupé. Pourquoi serais-je hors de ta pensée, simplement parce que je suis hors de ta vue? Je t'attends. Je ne suis pas loin? Juste de l'autre côté du chemin. Tu vois? tout est bien. |
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ÉtincelleInscrit le : |
Mes sympathies à toi et ta famille...
Bon courage... |
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mimijojoInscrit le : |
désolée Nath,
vous avez l'air très courageuse toi et ta soeur. bon courage |
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AnonymeInscrit le : |
Mes plus sincères condoléances...
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anick01Inscrit le : |
Toutes mes sympathies Nath et bon courage! Je te fais un gros câlin et pense très fort à toi! -xox-
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SkyeInscrit le : |
Toutes mes sympathie Nat...
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Elsam123Inscrit le : |
Toutes mes sympathies...
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nath_29Inscrit le : |
Bonjour a vous toutes et un gros merci pour vos encouragement.
Je ne vous ai pas écrit pour vous redonnez des nouvelles de ma mère car tout a été trp vite. Finalement on a pas eu le temps de savoir comment vivre avec cette maladie car ma mère est décédé il y a déja 1 mois. Et oui le diagnostics avait tombé le 25 juin et ma mère est parti le 24 aout. C'est l'enfer cette maladie la comment ca peut vite progresser. Mais je suis tres fiere de nous( moi et ma soeur) car nous avions réussi a faire la dernière volonté de notre mere c'est a dire mourrir a la maison. Elle s'est tellement battu c'est l'enfer elle vait toujours dit qu'elle ne mourra pas a l'hopital et bien lorsqu'on est parti a la maison( une fois toute les ressources trouvées) sa faisait 26 jours qu'elle ne mangeait plus rien. Elle était méconnaissable a la fin et on est entrer a la maison le vendredi et puis dans la nuit de dimanche a lundi elle nous a quitté. En 2 mois c'est difficile d'y croire ca c'est passer trop vite et vraiment je crois que c'est la deuxième chose la plus difficile a vivre est la perte de sa mère ( la première étant bien entendu la perte d'un enfant car ma grand-mere a 82 ans et a perdu sa première fille sont ainé de ses 7 enfants) Maintenant c'est de reprendre la vie ou elle était du mieux qu'on peut. encore merci Nath |
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mimijojoInscrit le : |
salut nath,
ton histoire me touche beaucoup car ma belle-mère (la mère de ma femme) a aussi le cancer du pancréas et a le même âge que ta mère. ma blonde a une soeur qui a une petite fille de 2 ans et demi et nous, nous sommes en essais FIV. Elle a été diagnostiquée en janvier-février et elle aussi fait de la chimio. elle n'a pas trop d'effets secondaires non plus. Sauf que la semaine passée elle était aux urgences pour 3 jours car elle a fait une occlusion intestinale et elle était complètement dans les patates. elle mange à peine. on a cru que c'était vraiment la fin de nos espoirs, car il y a quand même une chance qu'on puisse l'opérer si la chimio réduit le cancer mais c minime. maintenant elle a des nodules au foie et aux poumons. mais l'oncologue dit qu'elle peut continuer la chimio dans 10 jours, une fois remise de son occlusion. c'est vraiment terrible. On vit en sursis. j'ai peur de la voir. moi j'essaie juste de soutenir ma blonde comme je peux. Et on essaye de rester positive pour nos essais. Car on a réfléchi: est-ce qu'on arrête ou on continue les FIV? finalement on s'est dit qu'elle préférait nous voir continuer notre vie. et puis peut être aura-t-elle la chance de voir le bébé ? alors je te souhaite du courage. en tout cas je pense comprendre ta situation, par l'intermédiaire du vécu de ma femme, même si ce n'est pas à ma maman que ça arrive. pensées mimi |
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mimi33Inscrit le : |
Salut Nath...
Je suis en rémission du cancer du rein, mais je peux peut-être t'expliquer pourquoi ta mère ne parle pas. Moi je ne parlais pas trop et je suis une vraie mémère qui parle de ses émotions, qui dit les vraies choses... bla bla bla... Quand on a peur de mourir, on est comme "gelé" et on sent que peu importe ce qu'on dira, ça ne servira à rien dutout (c'est plus fort que lorsqu'on a une petite crotte sur le coeur)... on veut aussi éviter que tout le monde nous rabâche les mêmes phrases: "il faut que tu te battes", "ne lâche pas", "soit positive" "tu sais, il parrait que quand tu es positif, ça marche..." "tu ne vas pas mourir" "ça va aller"... d'un autre côté, on n'a pas envie non plus de se faire dire "ben oui, tu va peut-être mourir...!!!". On n'a pas non plus envie de se faire dire: "je comprends", car on sait que l'autre ne comprend pas dutout ce qu'on vit. On est paralysé par la peur... on regarde nos enfants, les arbres, les fleurs, le gazon... et on se dit que tout ça sera fini et qu'on ne vera pas la suite... etc. On se sent terriblement seule et, même si on parle, on sait que ça ne changera rien dutout. Je te le dit: c'est ÉPOUVENTABLE. On se sent comme si tous les mûrs se rapprochait de nous et allaient nous écraser... qu'on savait que ça arrivera et qu'il n'y a aucune sortie possible... on sera écraser (comme un cauchemard ou le réveil n'est pas possible): on a peur, on souffre, on panique, on pleur, on capote, on voit notre vie défilée devant nous et celle qu'on ne verra pas, on souhaite se réveiller, mais ça ne vient pas... on sait qu'on va souffrire attrocement et que tout ça... c'est réelle et non un rêve. Alors, les "pense positif"... on les a bien loin! Alors, j'espère que je t'ai un peu aider à comprendre une infime partie de ce qu'on peut ressentir. Si je peux te rassurer, tu n'es vraiment pas obliger de parler: respecte le silence de ta mère en lui soulignant seulement que tu es là... que tu l'aime et que si elle veut pleurer ou parler, tu es là et que tu ne lui dira rien! Ça reste mon vécu personnel, mais je pense que plusieurs le vive ainsi. -Le site de la société canadienne du cancer n'est pas super, mais si tu les appelles, ils peuvent t'envoyer de la documentation, dont un petit livre qui explique beaucoup de chose sur le cancer (physiquement et psychologiquement), sur la personne qui en est atteinte et sur l'impacte sur l'entourage... la famille! C'est super bien fait. -Il y a aussi un bon livre... je crois que c'est aux éditions de Ste-Justine (tsé les petits livres). -Un livre qui ne parle pas du cancer, mais du deuil (pas nécessairement pour la mort): toutes les sortes de deuil (séparations, maladies, mortalité, perte d'emploi, perte d'un rêve)... Il est simple et si bien fait... Il fait du bien à l'âme: Aimer, perdre et grandir. Voilà... espérant t'avoir aider un petit peu!!! bonne chance surtout! xx |
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DafizouInscrit le : Localisation : |
Salut nath_29....
Je te lis et je suis toute boulversée, je m'explique: Ma mère a eu le diagnostic du cancer du pancréas le 25 mai 2006 et est malheureusement décédée le 1 novembre 2006, elle avais 54 ans. Une fois le verdic tombé les médecins lui avaient donné 6 mois, elle en a fais 5.Elle a seulement fais 2 traitement de chimio, car ça la rendais plus malade et comme son médecin lui avais dit que ça lui donnerais a peu près seulement 1 mois de plus a vivre, elle voulais pas gâcher le peu de qualité de vie qui lui restais. Ce que je peut te dire, c'Est que même si tu n'es pas une très grande communicatrice, ta présence est très importante pour ta mère, et si ta mère ne parle pas beaucoup pour le moment, c'est tout a fair normal ,elle passe par différentes étapes. Moi je sais bien qu'avec ma mère, on jasais de pleins de choses concernant mon enfance et aussi de son enfance a elle, elle venait avec des étoiles dans les yeux... J'ai été avec ma mère jusqu'a la fin ( je lui tenais la main losqu'elle a rendu son dernier souffle) et je sais qu'elle a beaucoup apprécier ma présence même si a la fin elle étais complètement comateuse a cause des médicaments et qu'elle n'avais plus aucune réaction. C,est pas des moments qui sont facile, mais si tu as la chance de passé du temps avec elle, prfotite-en le plus que tu peux, et vie une journée a la fois. Ce que je trouve le plus difficile c'est que maintenant je suis maman d'une petite fille de 8 mois et que je ne peux pas partagé cette joie là avec ma mère... Si tu veux jaser gêne toi pas : boudha8816@hotmail.com bonne chance  Daphné |
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julieaInscrit le : |
nath_29 a écrit Ce qu'il est le pire pour moi c'est que ma mere est tellement refermer sur elle meme depuis la dernière semaine. Elle ne nous parle pas du tout.. et ca j'ai de la misère car moi je suis loin d'etre une bonne communicatrice... Bref, je vis le tout une journee a la fois et on verra ou sa nous mene... C'est normal. Ta mère passera par plusieurs étapes du deuil avant d'en arriver à l'acceptation. Tu sais, tu n'as pas besoin d'être une bonne communicatrice pour l'accompagner. Ta présence et ton amour suffiront. Parfois, on essaie de trouver des mots, mais seulement s'asseoir à côté de l'être cher et lui prendre la main, lui faire sentir qu'on est là, et qu'on sera là peu importe ce qui arrive, ça vaut tout autant... sinon plus. Oui, une journée à la fois, je crois que tu as trouvé la bonne ''recette''. Il y aura des mauvaises journées, mais d'autres seront plus faciles. Profitez de chaque belle journée, chaque beau moment qui passe. Bonne chance |
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nath_29Inscrit le : |
Bonjour les filles et merci de votre encouragement.
Ma mere en ais a sa deuxieme chimio et a date elle le tolère bien. J'ai fini par etre bonne de parler au medecin et de m'en faire expliquer pas mal. C'est certain comme dit Maria que c'est un deuil meme avant la mort car on m'a bien fait comprendre que la chimio ne servait qu'a la ( prolonger....) au lieu d'avoir une rémission. Maintenant tout son enveloppe abdominale est atteint mais pas les organes. Mais la ils ont des doutes sur l'estomac et en plus sa fait une semaine qu'elle ne mange plus rien et elle ne garde rien non plus. Ce qu'il est le pire pour moi c'est que ma mere est tellement refermer sur elle meme depuis la dernière semaine. Elle ne nous parle pas du tout.. et ca j'ai de la misère car moi je suis loin d'etre une bonne communicatrice... Bref, je vis le tout une journee a la fois et on verra ou sa nous mene... Merci encore et je vais vous redonnez des nouvelles Nath |
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jolie_nancyInscrit le : |
Des histoires de cancer il ya des cauchemards et d'autre qui finissent bien,
mon conjoint a eu le diagnostic d'un cancer du larynx stade 4 ( le plus avancé ) par contre aucune métastases répandue dans le corps donc incompréhensible pour les médecins et c'est se qui rend parfois les traitements difficile car pour un meme cancer il peut se manifester différemment d'une personne a l'autre, j'étais avec lui quand le médecin lui a annoncé, dison que ca fait tomber en bas de notre chaise... il a eu 3 chirurgies dont la premiere avec une trachéotomie temporaire http://fr.wikipedia.org/wiki/Trach%C3%A9otomie, quelques traitements de radiothérapie, il voit sa spécialiste dans 3 mois pour évaluation, a date ca s'enligne pour une rémission, il a aussi eu la chance d'avoir se livre d'un ami, qui propose des alternatives naturels puissante en plus des traitements conventionnel http://www.librairiepantoute.com/livre.asp?id=ababsaugisdju&/anticancer/david-servan-schreiber/9782221108710 Comme Stéphane dit , la partie n'est jamais fini t'en que la cloche de la 3ieme période n'as pas sonné!!! Bonne chance a toute ta famille |
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*Maria*Inscrit le : |
Je comprends tellement ce que tu vis...
Il y a plus de 3 ans maintenant, le lendemain de ma fête, j'apprenais que ma mère, âgée de 58 ans, avait un cancer super agressif, galoppant, et plein d'autre termes aussi catastrophique pour qualifier un cancer. Après s'être fait ''charcuter'' pendant 1 mois, ils ont dit que c'était un cancer du poumon à Sherbrook et un cancer du tymus à Québec. Elle n'avait que 3 jours à vivre selon leur diagnostique. Elle a fait de la radio, 2 sortes de chimio et un jour ils ont décidé que ça ne fonctionnait pas et que ça ne vallait plus la peine. Ça fait 3 ans et elle est toujours en vie! Ils n'en comprennent rien. Le cancer de ma mère était sous forme de masse sous son omoplate, de la forme d'un melon de 10 cm de diamètre. Cette masse touchait à la veine jugulaire, au poumon et au tymus et était bien emballé de vaisseaux sanguins. Il était donc impossible de l'opérer. Avec le temps, j'ai fini par dire à ma mère que son cancer était comme dans un ziploc. Il est là mais le plastique l'empêche d'étendre des métastases partout dans son corps pour se loger dans un autre organe. Elle s'est mise à raconter cette histoire à tout le monde. Bref, tout ça pour dire que oui, on passe par toutes les émotions; frustrations, colère, impuissance et j'en passe mais elle doit s'accrocher à quelque chose au présent qui lui fait du bien. Une image, un souhait, n'importe quoi, c'est comme une forme d'imagerie positive. Je sais que ça l'air facile à dire comme ça mais, prenez le temps de vivre ce deuil (oui le cancer est une sorte de deuil avant même d'affronter la mort) et ensuite tournez vous vers du positif. Et si le pire survenait, voyez ça comme était de beaux jours que vous aurez passé ensemble et si ça n'arrive pas, ben vous serez dans un élan de positivisme malgré la maladie! Bon courage... *Maria* |
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audreyfleurieInscrit le : |
bonjour nath 29, moi j'ai 28 ans et l'an dernier, j'ai accompagné ma mère de 48 ans dans son combat contre le cancer...qu'elle aura malheureusement perdu. j'étais enceinte de mon 1er bébé quand elle est décédée. C'était un cancer de la plève (enveloppe du poumon) qui s'est généralisé bien trop vite. Je te dirais qu'on est jamais préparé à affronter des épreuves comme celle là et que même tous les livres du monde ne serons jamais assez pour t'aider. C'est d'y aller 1 jour à la fois et de profiter des petits moments... J'ai été avec ma mère jusqu'au dernier souffle et ce que je regrette le plus c'est de ne pas lui avoir parlé de sa maladie, ne pas lui avoir demandé si elle avait peur...je savais qu'elle était heureuse d'être grand-mère et on se concentrait là-dessus..elle savait que j'attendais un petit garçon et elle connaissait son nom. La chimio c'est vraiment difficile, mais on espère toujours que ça vaut la peine de souffrir quand ça te permet de survivre au bout de la ligne, mais c'est des pertes d'appétit, des vomissements, des pertes d'équilibre et j'en passe...On ne peut pas être prêt à vivre ça, mais quand il le faut, on trouve des forces qu'on ne savait même pas qu'on avait. J'ai dû donner son bain à ma mère, l'habiller, la changer de couches....j'ai eu beaucoup de misère à faire tout ça, mais après tout, c'est tout naturel de t'occuper de quelqu'un qui a pris soin de toi pour t'arranger que ses derniers jours soient le plus douillet et confortables possibles.À la fin ma mère n'était plus toute là, trop de morphine, mais quand je lui disait à quel point je l'aimais, elle trouvait la force de me répondre moi aussi. Elle me manque énormément aujourd'hui, mais pour rien au monde je n'aurais voulu passer à côté de ses moments là avec elle.
Si tu veux m'en parler, c'est audreyfleurie@hotmail.com Bon courage |
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SkyeInscrit le : |
Je comprend ce n'est vraiment pas facile. Mon conjoint a perdu son pere il y a 10. Mon chum n'avait que 23 ans a l'epoque!
Appelle au 811 et parle a Info-Social, je suis certaine qu'elles pourront te guider! |
Dossier de la semaine
L'alimentation durant la grossesse
